F. E. U

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22 Aout 2017, Paris.

PDV NELIA.

- Ca fait un an qu'on se connaît aujourd'hui. Je regarde Ken qui venait a peine d'ouvrir les yeux et lui sourit. C'est vrai, j'y penser plus mais ca fait un an qu'on se connaît. Un an bordel.

- C'est ouf.  Dis je en m'asseyant sur le rebord de notre lui.

- Grave. Il marque une pause. On le prend a quel heure le train déjà ?

- A 14 heures. Dis je en baillant. Je vais aller lever Louis sinon dans deux heures il dort encore.

Je me lève et traverse la chambre ainsi que le couloir et entre dans la chambre de mon frère. Il dormait encore comme un bébé. Je m'allonge et essaye de le réveiller le plus en douceur possible.

- Ca m'avait manquer ca. Il dit sa parce que avant que Ken ne revienne je le réveillait tout les matins comme ca. Je lui fait un bisou sur la joue et lève en me dirigeant vers la cuisine. Je saisie mon téléphone et regarde mes messages.

De : Jonas.

Wesh vous bougez chez oim après demain ? Rée-soi.

De : Maman.

Je t'aime.

De : Sabine.

Tu passe à la maison quand vous arrivez ? Lydie est la. Je t'aime ma chérie. 

A : Sabine.

Oui on passe ce soir ca te va ? Je t'aime ma tata d'amour.

Sabine est ma tante, je la considère comme ma mère, je l'aime tellement je pourrai tout donner pour elle. Elle habite dans une ville a côté de Nîmes.

A : Jonas.

Ca marche.

A : Maman.

Moi aussi.

18 heures, Nîmes.

- Quel beau jeune homme en tout cas. Dit ma tante en regardant Ken qui s'asseyait a côté de moi sur le canapé de ma tante.

- Ta vu sa. Dis je en lui souriant.

- Je suis contente de vous voir en tout cas.

- Ouais ca fait un moment qu'on s'est pas vu. Rajoute Thierry, le mari de ma tante.

- Grave.

- Alors comment ce passe votre vie a Paris ? Ta mère ma dit que sa vous plaisez beaucoup.

- C'est GÉNIAL. On a déménagé dans un bel appart ou on a assez de place pour tout les trois, moi j'ai enfin fini l'école et j'ai mon diplôme comme je t'ai dis au téléphone fin la belle vie quoi!

- Et elle a trouver un magnifique copain. Je lève les yeux au ciel face à la réflexion de Ken. Il fallait qu'on face semblant d'être en couple devant mes parents et ma famille. La merde quoi. Nous connaissant ca va partir en couilles au bout de deux jours.

- Et toi tu fait quoi Ken ?

- Je fais de la musique.

- Ah oui! Lydie ma dit.

- C'est bien ça, ça te plait ?

- Oh oui, c'est ma passion depuis des années j'ai tout envoyé baladé pour pouvoir fair ca. Mon oncle lui sourit et boit une gorgée de son verre.

22 heures.

- Bébé ?

- Arrête de m'appeler bébé, ils ne sont pas la. Dis je en parlant de mes parents.  Il lève quand même les yeux au ciel et me fait signe de venir entre ces jambes. Je nageais jusqu'à lui et entoure finalement mes jambes autour de sa taille. Mon bassin contre le sien. Mes bras passèrent autour de son cou et sa tête vien s'écraser contre ma poitrine.

- Putain. Je l'entend grogner une chose incompréhensible ensuite et mort ma peau, je pousse à mon tour un cri aigu et d'appuyer mon bassin un peu plus contre le sien pour l'embêter.

- Putain Nel' arrête bordel.

- T'aime  pas ?

- J'aime un peu trop c'est ça le problème. 

- J'en est l'habitude de ça.

- Alors, très bien. Je sent ces mains glisser le long de ma taille et descendre jusqu'a mes fesses, je ricane en le sentant ce redire contre moi. Il ne s'arrête pas la et me fait déplier les jambes pour enlever mon bas de maillot de bain. Mes mains font automatiquement la même chose avec le sien et mes jambes se rattache à son bassin, je le sent rentrer en moi et commencer ces vas et viens.
Mes gémissement se faisait de plus en plus fort et je remerciai le ciel qu'il n'y est personne dans la maison de mes parents à cet heure ci.

- Je te fais toujours autant d'effet on dirait. Il chuchote a mon oreil dans un dernier grognement. Il se retire de moi et on sort de la piscine assez rapidement.

Pendant que Ken prend une douche, j'en profite pour aller faire un tour dans la chambre de Louis, il a un lit aussi grand que le mien dans lequel j'ai beaucoup dormi, en face si trouve un petit dressing ou on reigner pendant des années des dizaine de bouteilles d'alcool vide. Elles ont disparu quelques temps après mes seize ans, après un grave accident de voiture qu'a eu Louis, le laissant dans le coma artifielle pendant quelques semaines.
C'est un battant mon frère.