F. E. U

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De : Ken.

Je peux passer ?

À : Ken.

Oui.

La soirée était passé, et je venais de rentrer chez moi. Il ne m'avait pas adresser un mot, juste des regards en coin mais rien de plus.
En attendant Ken, je décide de m'allumer une clope sur mon balcon, il n'était pas très grand mais pour nous trois sa nous suffisait largement quand Ken habiter encore ici.

Alors que je tirais une dernière taffe, je vis la silhouette de Ken apparaître au loin, les mains dans les poches et la tête baissé. Je me lève et me recoiffe vite fait devant le miroir de mon entrée. À peine quelques secondes plus tard, la sonnette retentit m'anoncant son arrivé. Je souffle et ouvre, il me regarde quelques secondes et se décide à entré en me voyant me décaler pour le laisser passer.

- Pourquoi tes pas venu me voir à la soirée ?
Dis je une fois la porte fermé.

- Y avait trop de gens,je voulais qu'on soit tranquille.

- Ah.
Il retire sa veste et la pose sur le canapé, comme il le faisait à chaque fois qu'il rentrait quand on était encore ensemble.

- Tu veux boire quelque chose ?

- Non, t'inquiète.
J'hoche la tête et m'assois à côté de lui dans le canapé.

- Que me vaux ta visite ?

- Tu me manques.

- C'est trop facile sa Ken.

- Je sais, mais c'est juste la vérité.

- Moi je veux la vrai vérité.
Il tourne la tête vers moi et ses yeux se plissent en signe d'incompréhension.

- Je veux savoir pourquoi tu m'a trompé ? Je comprend pas, je t'aimais moi.

- C'est plus le cas ?

- C'est pas la question.

- J'ai pas d'excuse.

- Tu te fou de moi j'espère ?

- Non.
Il dit dans un raclement de gorge.

- Don tu m'a trompé comme sa ? C'est la vérité ou c'est par ce qu'elle te manquait ?

- Non, j'étais perdu, j'avais juste besoin de réfléchir et elle met tomber dessus, elle c'est très bien qu'elle gagne toujours dans les moments de faiblesses. Sa fait longtemps que je l'ai oublié.

- Encore mieux.

- Je suis désolé. 
Je tourne le regard vers la fenêtre et laisse mes cheveux recouvrir une partie de mon visage, voulant cacher mes yeux qui commencer à se remplir de larmes.

- Pleure pas.
Je sent sa main venir caresser ma joue puis de son pouce venir enlever les premières larmes qui coulent, il me connait trop bien.

- C'est facile pour toi de dire sa.

- Crois moi, je m'en veux sûrement beaucoup plus à moi même de t'avoir fait sa que toi.

- Tu m'aime ?
Besoin vital de poser la question.

- J'ai jamais cessé de t'aimer.

- Alors aide moi ?

- À quoi beauté ?

- À arrêter de souffrir à cause de toi.
Dis je en chuchautant.

PDV KEN.

"Aide moi arrêter de souffrir à cause de toi", je ne savais pas se qu'elle voulait exprécément me dire, mais pour moi, sa voulait dire qu'elle me laissait une chance, de la conquérir à nouveau.
Elle s'était endormi dans mes bras, après qu'elle mes dit cette phrase.
Je la souleva comme une princesse et l'amena jusqu'à dans son lit ou je pris soin de la mettre sous les couvertures.  Je ne voulais pas insisté, ou paraître trop collant, je décida donc de partir, mais avant je saisisa​ un des nombreux papiers posé sur mon bureau encore présent dans la chambre et lui écrit un mot.

"Beauté,
Merci de me laisser encore une chance, je t'appelle demain, je t'aime"

Je me sentais obliger de lui dire, même si elle ne va certainement pas me croire, je l'aime quand même.

PDV NÉLIA.

Je me réveillais, un horrible mâle de crâne déjà présent dans ma tête m'empêchait d'ouvrir correctement les yeux.
Je me rémora les souvenirs de la veille, moi qui pleure, ses bras, son parfum, tous se qui m'avait manquer chez lui, j'en avais eu un bref goût hier soir.

Je me lève tant bien que mal et me frotte les yeux en essayant de reprendre mes esprits, je n'avais portant pas bu la veille.
J'étais à peine rentrée dans mon salon que la sonnette de la porte d'entrée, retentitait déjà. Et au cris présent derrière celle ci d'entrée je pouvais facilement reconnaître touts mes zoulous.
Sans grande détermination je me dirige vers la porte et sourit à Deen qui se trouve devant moi le visage pas très ouvert sans doute à cause d'Anaïs qui vine