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SEPTEMBRE 2017, PARIS.

PDV KEN.

Je souffle et passe une main dans mes cheveux avant de reposer ma casquette sur ma tête. Je sonne, et attend impatiemment que quelqu'un vienne m'ouvrir. Qu'elle vienne m'ouvrir.
Au moment où la porte s'ouvre, mon souffle se coupe, je m'y attendais pas à celle-la.

- Bah qu'est ce tu fais la toi ?

- C'est pas plutôt à moi de te poser cette question ?
Elle souffle a son tour et pose sa main sur sa hanche.

- J'crois que tu t'es trompé d'appart, le nôtre il est à l'étage au dessus.
Je dis comme si j'attendais une réponse positive de sa part. Elle se gratte la nuque, et se mord la lèvre inférieure.

- J'allais rentrer Ken je te promet..

- J'en ai rien à branler, tu te fou bien de ma gueule toi, "Ouais je l'aime plus c'est fini", et une semaine après je te retrouve a ouvrir la porte à moitié a poil chez lui! Je m'en fou que tu le fréquente, mais me ment plus jamais comme ca !
Mon ton s'était élever en même temps que mes mots, j'avais peu d'heures de sommeil, et mon dieu que ma patiente avait des limites.

- Il se passe quoi la ?
Dit une voix alors que je fixais ma sœur attendant une quelconque réaction de sa part. Je ne prend pas la peine de tourner la tête et la pousse à l'intérieur.

- Rhabille toi, dépêche toi.

- Tu compte me répondre un jour ou c'est comment ?

- C'est l'hôpital qui se fou de la charité.
Je dis en tournant mon visage vers elle.

- Pardon ?

- Je t'ai appeler trois fois aujourd'hui, ta jamais dénié répondre.

- Moi j'ai mes raisons, alors calme tes hormones Samaras, sinon c'est moi qui vais te calmer et ca risque d'être moins drôle pour tes parties génitale.
J'avais oublié a quel point son caractère me plaisait.
Bon elle à raison, je vais calmer mes hormones.

- Ca ma juste fait mal au coeur que tu me réponde pas.

- Ca ma juste fait mal au coeur que t'ai baiser une fille presque à côté de moi alors que tu m'avait supplier pour que je vienne.

- Mais bon, c'est la vie.
Elle rajoute au moment ou ma soeur ouvre la porte rhabiller.

- Monte j'arrive.
Lui dis je.

- T'était au courant pour eux deux ?

- Bah ouais, comment ne pas s'en douter.
Bah moi j'ai rien vu.

- Mais bon, comme tu vois que ce que veux voir, c'est un peu compliqué.
Elle rajoute encore une fois.
Elle avait clairement envie de me casser aujourd'hui.

- C'est tout ce que t'avait a me dire ?

- Non, fin je voulais savoir si tu venait ce soir ?
Elle soupire mais quand ses yeux tombent sur les miens, elle cède.

- Oui. Mais je te préviens, pas de conneries Ken.

- Promis, pas de conneries.
Je dis en reculant pendant qu'elle rentre dans son appart. Je monte les escaliers, bien décider à avoir une discussion avec Anaïs.

PDV NÉLIA.

- Non mais ta vu, comment elle lui as obéi ? Limite on aurait dit que c'était sa chienne.
S'énerve Louis en sortant de quoi rouler un joint.

- C'est son grand frère en même temps. Moi tu me choppe chez un gars a moitié a poil, j'aurais fermé ma gueule comme elle.
C'est vrai, qu'on aurait dit qu'elle avait un peu peur de lui sur le coup.

- Et, Louis sérieux t'abuse. T'aurait pu la niquer ailleurs si Ken serait pas arrivé c'est moi qui serait rentrer et qui l'aurait vu.

- Ballec.

- En plus ta le culot de me dire qu'il se passe rien hier ? Encore ca je m'en fou, mais je t'ai dit clairement que je voulais pas la voir ici, et toi tu fais quoi ? Bah tu la nique ici tout va bien.

- Nelia crie pas s'il te plait, j'ai mal à la tête.

- On en reparlera, crois moi.
Rare était les fois ou je crier sur Louis mais la, lui plus l'autre Barbie, ca en était trop.

23h00, appartement de Ken.

J'avais simplement enfiler un jean et un débardeur noir et j'étais monter.
Je n'avais déjà plus les idées clair, j'avais déjà fumer plusieurs joints. J'étais entrer sans frapper, par habitude, j'avais dis bonjour a Moh et à Antoine trouver dans la cuisine et m'était diriger vers les chambres ou on m'avait indiquer la présence du Grecque qui me servais d'ex.
Je longe le couloir et trouve la seul porte qui était entrouverte, dans notre ancienne appart à l'étage au dessus, c'était notre chambre. Je rentre discrètement puisqu'il ne semblait pas m'avoir entendu et m'adosse sur le mur derrière lui, il était assis à son bureau, la tête penché vers des feuilles,un sylo a la main, des feuilles étaient éparpillé par terre, ca me rappelle des souvenirs.

- T'écrit quoi ?
Je le vois sursoter, ce qui me fait ricaner, son stylo tombe sur son bureau.

- Comment t'es rentrer ? Je t'ai pas entendu.

- Bah par la porte elle était ouverte.

- Je commençais à me dire que tu viendrait pas.

- Bah si, je suis la.

- Ta fumé ?
Mes sourcils se fronce.

- Comment tu le sait ?

- Ta voix, ta pas la même voix.
Ce gars me connaît par coeur.
Mes pieds parcourent quelques pas pour poser mes fesses sur le lit trônant au milieu de la pièce.
Il finit par tourner la tête vers moi, et m'adresse un timide sourir que je lui rend.
Il se lève, et viens s'assoir à côté de moi, les mains sur les cuisses, la tête baissée sur ses chaussures.

- Je suis content que tu soit la.

- Profite-en.

PDV KEN.

- Profite-en.
Je relève ma tête timidement vers elle, et l'aperçois me regardait.
Elle était tellement belle, attirante, comment j'ai pu la quitter pendant un an.
Mes yeux, passe de ses magnifique yeux bleu, a ses lèvres, aussi pulpeuse qu' avant. Elle n'était pas du tout maquiller, et pourtant je pourrais jurer que c'est la plus belle fille de la soirée.

- Embrasse moi.
Ni une, ni deux, ces mots sorti de sa bouche, la mienne atterri violement sur la siennes, me procurent des milliers de plaisirs. Elle ne met pas longtemps à intensifier ce baiser, et plus les secondes passer plus je sentais la chaleur de son corps se dégager sur le mien, plus elle me donnait envie.

Par je ne sais quel miracle la porte était fermer, elle me poussa, histoire de m'allonger sur le lit et mis ses deux jambes autour de mon bassin pour pouvoir s'assoir sur moi. Mes mains parcoure ses belles hanches et soulève son débardeur, que je jete a l'autre bout de la pièce, elle fit pareil avec le miens, et se penche vers moi pour re-embrassez mes lèvres qui ne demande que son corps pendant que je deboutonner son jean, je la fis passer en dessous de moi, lui enleva et fis pareil avec le miens, alors que nos deux corps pratiquement nu, coller l'un un a l'autre, ne demander que l'autre, ma bouche embrasser passionnément son cou a plusieurs reprise lui déposant quelques jolies marques.

- J'ai jamais cesser de t'aimer.
Je relève ma tête pour pouvoir la regarder dans les yeix histoires de savoir si ce n'es pas les deux verres bu qui me monter à la tête, mai non, elle s'était ouverte a moi, en première.

- Moi non plus.
Dis je avec le plus de sincérité possible.

J'allais passé la nuit dans les bras de la femme que j'aime depuis deux ans, et elle s'annoncer magnifique.

F. E. UOù les histoires vivent. Découvrez maintenant