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Lundi 29 Mai 2017, Paris.

PDV NÉLIA.

J'étais renter à l'appartement pas très longtemps après que je sois sortie sur le balcon laissant Ken à la soirée. Moh m'avait assuré qu'il le surveillerait et qu'il veillerait à ce qu'il ne fasse aucune connerie.

Il était 4 heures et Louis venait de rentrer comme il me l'avait prédis quelques heures plus tôt par message.
J'étais assise dans le canapé à côté de mon grand frère qui retirer d'abord ces chaussures puis son bomber d'où il sortait sa cons' pour rouler.

- Comment ça se fait que tu dort pas encore toi ?

- J'y arrive pas. J'hausse les épaules. Ken est pas encore rentré.

- Tu la laisser seul à la soirée ?
Il leva un sourcil et me regarda sous un air interrogateur, il doit se douter qu'on s'est pris la tête puisque jamais je ne partirai d'une soirée chez Moh où il y a des tas de meuf en chien sur lui.

- Il s'est passé un truc ?

- J'ai croisé Alex toute a l'heure.

- Alex ? Mais il foutait quoi la ?
Il dit surpris que se prénom soit sorti de ma bouche.

- Aucune idée. J'ai pas parlé beaucoup avec lui, je l'ai juste croisé en allant à l'église brulait un cierge pour mamie. Bref, à la soirée je l'ai dis à Ken et il m'a v'la fait une crise de jalousie alors qui a pas de quoi.

- Écoute Nélia, il est tard j'ai fumé, ta un peu bu alors je me laisser aller au confidence. Ce mec T'AIME bordel ! Si il te fait chier sur ta façon de t'habiller ou sur où tu sort, avec qui, ce que tu fume, ce que tu boit et qu'il te pète des crises de jalousie, c'est juste par ce que ce gars est fou amoureux de toi. Tu te souviens de comment j'étais avec Sam ?
J'hoche la tête, c'est son ex Sam.

- Bah c'est pascque j'étais fou amoureux moi aussi a l'époque que j'étais comme sa. Et puis c'est un gars bien, le laisse pas filé. Fait pas comme moi.

- Tu l'aime Ken hein ?

- Plus que l'autre la. Je sais même plus comment il s'appelle le babtou avec qui tes rester trois ans. Ce bâtard.
J'avais oublié à quel point Louis a pu détester Manuel à la fin de ma relation avec lui.

Et sur c'est sur ces belles paroles de mon frère, que je pris conscience des choses. Ken était le seul que j'aimais vraiment.
Je pris mon téléphone et bloqua le numéro de Manuel avant de d'inspirer un grand coup et d'envoyer un message à Ken.

À : Homme de ma life ❣

Ken ?

J'attend quelques minutes sa réponse.

De : Homme de ma life ❣

Oui ?

À : Homme de ma life ❣

Tu peux rentrer ?

De : Homme de ma life ❣

Y a un problème ? J'arrive.

À : Homme de ma life ❣

Non aucun, juste tu me manque.

Je pose mon téléphone sur la table basse et part dans la cuisine préparer un bol de céréales à Louis qui se plein d'avoir faim depuis a peut prés dix minutes. Une fois celui-ci près, je lui pose également sur la table basse avec un verre de jus d'orange et m'assois à côté de lui avant de poser mon regard sur lui.
Il avait retiré son tee shirt et d'où où j'étais je pouvais apercevoir des traces violette sur son torse et son ventre. À mon avis, il a du passer une bonne soirée. Je ne pu m'empêcher de faire une remarque.

- Dit lui qu'elle te suce autre chose la prochaine fois.
Dis je en appuyant sur un de ces suçons ce qui lui arracha un cri aigu.

- Touche pas sa fait mal wesh ! Et t'inquiète, elle fait les deux.
Je lève les yeux au ciel et ouvre la fenêtre pour éviter que le salon ne se transforme en aquarium géant à cause de la fumé que dégager son joint d'herbe.

Quelques minutes plus tard, je le laisse dans le salon devant Dragon Ball Z et lui dis de dire à Ken de me rejoindre des qu'il arrivera, ce qu'il devrait normalement ne plus tarder à faire.
Je ne pris même pas le temps de me démaquiller et mis juste un tee shirt à Ken deux fois trop grand pour moi et me glisse sous les draps froid de notre lit. Il manquait terriblement de chaleur sans la présence de Ken à mes côtés.
Alors que j'étais plonger dans mes pensées je sentis une main se poser sur ma hanche et des lèvres se déposer sur mon cou, ces lèvres me faisait sursoter.

- Tes de mon côté beauté.

- Tu m'en veux ?

- Pourquoi je t'en voudrais ?

- Pour être parti de la soirée toute a l'heure et t'avoir laisser la bas.
Dis je alors que mes yeux se remplirent de larmes. Moi même je ne comptais pas pourquoi, sans doute j'avais besoin d'évacuer.

- Non, je t'en veux, bien sur que non. C'est plutôt à moi te m'excuser d'avoir réagit comme sa, je suis trop con.

- C'est pas grave.
Dis je en ouvrant mes bras pour qu'il vienne me faire un câlin, ce qu'il n'hésitait pas à faire une seconde.

- Pleure pas. Je t'aime.
Il dit en embrassant mes lèvres à plusieurs reprises, il niche sa tête dans mon cou, j'inspirais​ son parfum à plusieurs reprises, cela me calma assez vite. Je pouvais sentir son souffle chaud dans ma nuque, me provocant des milliers de frissons.

Je fini par le lâcher quelques minutes plus tard et me lève pour me diriger vers la salle de bain pour me démaquiller suivit de près par Ken qui laisse tomber au sol chacun de ses vêtements pour rentrer dans la douche. Vraiment aucune gêne ce mec.

- Ta vu comme je suis tanquer maintenant.
Il dit en observant son reflet dans le miroir où j'étais entrain de me demaquiller après être sorti de la douche. Je lève les yeux au ciel et sourit malgré moi au compliment qu'il vient de se faire à lui même.

- Ça va les chevilles ?

- Ça va plutôt bien ouais. C'est cool que tu demande, par contre je l'ai trouve un peu gonflé un petit massage me ferait pas de mal.

- Dans tes rêves.
Je souffle et rigole avant de me tourner pour me diriger vers le lit.

PDV KEN.

- Dans tes rêves.
Elle souffle et rigole avant de se diriger vers notre lit. Je ne pu m'empêcher bien longtemps de siffler et de faire une réfléxion.

- Jolie seufs.
Elle ne dit rien mais je la connais tellement bien que je peux deviner qu'elle lève les yeux au ciel en ce moment même. Je la regarde se laisser tomber sur le lit et fait la même chose mais sur elle, pour la faire chier.

- Putain casse toi Ken.

- Si tu me fait un massage. Sinon non.

- Je te massserais pas les chevilles ta craquer toi !

- Pas les chevilles débile, le dos.

- Tu me casse les couilles.

- T'en a pas.

- Je m'en bat les couilles.
Je rigole et après quelques minutes de négociation j'arrive finalement à avoir mon massage.
Elle s'assoit sur mes fesses après que j'ai mis un caleçon et commence. C'est putain d'agréables, elle est entrain de me montrer ces talents d'esthéticienne mais pas détenant.
Non, sa aurait quelqu'un d'autre je me serai probablement endormi, mais quand il s'agit de Nélia c'est une autre histoire.
Ces massages m'empêche de m'assagir. La dernière fois qu'elle m'a fait un massage sa c'est terminé sous la couette et Dieu c'est que je ne vais plus pouvoir me tenir dans les quelques minutes qui vont suivre.

F. E. UOù les histoires vivent. Découvrez maintenant