NOTRE BÉBÉ, NOTRE AMOUR - TERMINÉE -

Chapitre 40

3 mois plus tard...

PDV Sarah

J'étais entrain de marcher tranquillement pour aller à l'épicerie quand je vois de loin Katherine, avec un homme, un homme je dirais beau et très différent, hindou ou pas! Je fais comme si je ne les avais pas vu mais j'observe, elle a l'air de l'apprécier et aussi c'était un rire sincère, elle était habillé différemment de d'habitude, je veux dire comme moi, banalement, jeans délavés, un t-shirt noir plaqué, des converses noirs, naturelle quoi et je dois vous dire que je suis assez étonné et contente parce qu'elle est elle-même.

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Quelques minutes après, je sors de l'épicerie, ils étaient toujours là, assis dans un coin à discuter, ils vont tellement bien ensemble, j'ai remarqué qu'elle ne trainait plus avec Rose, ce qui était très bizarre vu que cette dernière à complètement disparu de la surface de la terre, tant mieux mais ce qui m'arrange pas le plus, c'est que Léna aussi a disparu et cela fait maintenant trois mois, j'ai essayé de l'appeler mais aucun signe de vie, son numéro n'existe plus, je ne sais pas ce qui se passe mais je commence à m'inquiéter, Spencer, je suis allée lui parler d'une rumeur qui courrait comme quoi il a profité de Léna et qu'il est le supposé père de l'enfant que porte Rose Hamilton, au début je ne voulais pas y croire, puis il a fini par me le confirmer, je ne pouvais pas le juger parce que je n'étais au courant de rien, mais Léna était mon amie et il n'avait pas le droit de lui faire sa mais je ne suis pas rester fâché longtemps avec lui parce qu'il allait vraiment très mal, il n'est plus lui même, il se renferme sur lui-même, il ne parle presque pas à Théo, il ne sort presque jamais de chez lui, il ne va pas bien du tout, enfin!

-Quoi! Cria une voix derrière moi.

Je me retourne et vois Katherine dans tous ses états, son portable à ses oreilles, son ami essayant de la calmer.

-Non! Elle ne peut pas abandonné ! J'arrive !

Elle raccroche et pleure dans les bras du jeune homme, qui essaye de lui rassurer que sa va aller et qu'il va chercher la voiture, je pense que je ne peux pas rester comme sa.

-Katherine ! L'appellais-je. Est-ce que tu vas bien?

-Non! Je dois me rendre à l'hôpital de suite! Paniqua-t-elle.

-Allons-y, je vous amène, ma voiture est juste là! Proposais-je.

Ils acquiescent de suite et me suis jusqu'à ma voiture, je démarre de vitesse la voiture et en moins de cinq minutes, nous étions déjà devant l'hôpital, je descends avec eux pour les suivre, je ne sais pas mais je me dois d'être là avec elle, elle n'a l'air pas très bien du tout, elle pleure, elle panique, je ne veux pas la laisser toute seule dans cette situation.

Je m'en fous de qui elle est ou pas, je me dois de l'aider!