𝙁𝙪𝙘𝙠𝙞𝙣𝙜 𝙈𝙖𝙠𝙣𝙖𝙚 ☪︎ᴊᴋ

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Une semaine est passé depuis cette épisode.
Je n'ai plus remit les pieds dans cet endroit.
Je ne voulais plus y remettre de toutes façons,  Ça me mettait mal d'être dans la même pièce que lui, J avais l'impression que j'allai flancher  chaque fois qu'il parlait ou qu'il faisait quelque chose.

Il est devenu néfaste pour mon mental.

Mais ce dernier remarquait à peine ma présence. Comme s'il faisait semblant de ne pas me voir ce qui me frustrait bien que ça m'arrangeait d'un côté.

Les autres membres du groupe ne m'ont pas posés plus de questions sur mes agissements trop occupé du cas du plus jeune pour mon grand bien car je ne me vois pas leur fouttre des vents ou feindre l'innocence, leur regards d'inquiétudes, d'incomprehensions, et d'interrogations qu'ils me lanceient en étaient la preuve qu'ils n'arrivaient pas à me cerner, je ne me voyais pas aussi leur mentir car moi non plus je ne sais pas trop ce qui ne cloche pas chez moi,  je me préoccupe beaucoup trop du cas du brun, chaque chose auquel je pense me ramène toujours à lui en ce moment alors qu'avant je m'en foutais royalement de ce qui pouvait bien lui arriver et franchement ça ne me plaît pas du tout ce qui est entrain de m'arriver là.
Ma conscience se préoccupe du brun contre mon gré.

Le couple Jeon est rentré à Busan après avoir menacé les autres membres et le PD-nim selon les messages de V et de J-Hope.
 
V m'a aussi dit que le Maknae se portait bien à présent et avait reprit des douleurs hors ce dernier est d'humeur toujours aussi froid, distant, sec et colérique, peu bavard alors qu'avant il était une pile électrique qu'on pouvait cesser t'entendre qu'une fois éteint c'est à dire lorsqu'il s'endormait, mais d'après V ils osent à peine l'approcher car il fait peur, ça me fit lorsque je m'étais imaginé un JungKook colérique, sec, froid et distant.

Seokjin venait souvent dans ma chambre pour prendre de mes nouvelles cas je passais désormais mon temps à trois endroits: Ma chambre, la salle de sport et la salle d'entraînement, c'était bien essayé de sa part d'absolument vouloir prendre soin des autres en cachant ses propres ressentis car lui-même il allait mal ça se voyait juste avec ces volumes de chaires sous ses yeux. Cette situation le dépassait plus que nous autres et on sait tous que la culpabilité qui se lit dans ses yeux ne change pas grand chose, heureusement pour lui qu'il y a le papa du groupe qui s'occupe de lui aussi, je n'ai jamais vu Namjun aussi attentionné envers l'un d'entre nous plus qu'il ne l'est avec la eomma du groupe mais bon ce ne sont pas mes affaires là encore et ils font ce qu'ils veulent.

Le dortoir est devenu silencieux depuis l'accident de JungKook, c'est à peine si je parle aux autres qui se parlent à peine entre eux. Une pièce de puzzle a été retiré de la mosaïque et rien que cette pièce a détruit toute la beauté de l'oeuvre. JungKook était un rayon de soleil qui - on doit se l'avouer - illuminait notre dortoir, il était la source de nos sourires et rire, chaque moments passés avec lui était amusant bien qu'ennuyant des fois, nous aimions celà, vivre sans se soucier du futur, rire sans savoir que ces sourires seront arrachés plus tard, respirer quand on le pouvait, en profiter tant quil était encore temps jusqu'à ce que la tempête vienne semé le chaos et tout emporter avec elle tout ce que nous avions construit ensemble pendant quatre ans.

Mais ça a changé. Ça va changé. Il a changé.

Un accident peut réellement changé tout une personnalité apparemment, mais qu'est-ce que j'en ai rien à foutre de si son caractère a changé ou pas? Il fait sa vie je fais la mienne et basta !

Nous étions Samedi.
Ah oui.C'est aujourd'hui qu'il allait revenir et pour dire vrai je ne suis absolument pas près à l'affronter.
Tout les autres membres sont en ce moment avec lui et moi je suis ici entrain de me défouler à la danse. Merde alors?

Mais pour oublier que c'était le jour de son retours au dortoir je me tuais à la salle d'entraînement pour perfectionner mes pas de danse bien que les autres membres ne cessent de me répéter que je sais très bien danser par rapport à il y à cinq ans.

La danse pour moi est une manière de porter un masquer que nul ne peut percer, une manière d'oublier tout ce qui m'entours, de ne faire qu'un avec mes mouvements, c'est une façon de me cacher, de cacher ce que je ressens au plus profond de mon être derrière des mouvements coordonnés.

Mon corps était mouillé de transpiration dû à l'effort mais ce n'était pas désagréable pour autant,  j'aimais cette sensation de m'enflammer, avoir cette impression que je vol dans le ciel comme un oiseau libre. Nous rêvons tous de la liberté dans un monde où il y en a de moins en moins.
Un monde où les plus forts imposent leur lois.
Un monde où la cruauté gagne de plus en plus du terrain.
Les hommes déversent leur colère sur ce monde, nous vivons dans la peur constamment, la concurrence d'être le plus puissant des nations et à posséder des armes pour mettre à genous les plus faibles nous fait douter de la sécurité des peuples.
Nous sommes déjà des fantômes errants avant d'être touché par la cupidité et l'avidité de l'homme.

Trop concentré dans mes mouvements, je ne fis pas attention à la porte qui venait de s'ouvrir doucement me stoppant dans mon entraînement,  alors essouffler et tout transpirant je me tourne vers les nouveaux venus.
Et j'aurai dû m'en douter.

La liberté est devenu un rêve.
Porter un masque pour ne pas qu'on te perce est le seul moyen pour ne pas être atteint alors le mien je fairais en sorte de le garder pendant aussi longtemps qu'il le faut pour le bien du groupe, pour le tien et le mien puisque les plus faibles sont ceux qui abondonnent  sans s'être battus de toute leur force.
Je suis un lâche qui n'a pas de force en sois.