Chapitre 62: La chambre....

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J'étais fatiguée. Épuisée. Je... Je... Je suis tellement faible. Je suis pourtant une fille si travaillante. Regardez tout le trajet que je poursuis depuis ses années. J'ai vue, vécue tellement de choses horribles et je suis encore debout, sur mes deux jambes affaiblient. Mais l'important, s'est que j'ai encore toute ma tête. J'ai peut être viellis. J'ai peut être moins le corps d'une jeune adolescente. J'ai maintenant celui d'une adulte. Je n'ai plus non plus cette envie fougeuse de désobéhir. J'ai fais tellement. J'ai l'impression que chaques fois que ma vie semble bien aller ou va un peu mieux. Quelqu'un ou quelque chose me fais tomber. S'est dur, mais chaques fois je me relève. Mais cette fois, je n'ai pas la force de me lever seule. Il faut que je m'appuie sur quelqu'un. Cette personne était Zayn... Et si je dois lui rappeller sa vie chaques matins..je... je... je n'y arriverai jamais.

Je suis là. Seule dans l'ambulance. Debout depuis plusieurs minutes. Imaginez. Je n'avais même pas la foce de pleurer. Je regarde, les paupières lourdes autours de moi. J'avance lentement, chambranlante, passant délicatement ma main froide contre les murs bosselés de l'ambulance. Je me place dans le cadre de porte. Devant moi était installé un pont en descente pour fasiliter la débarquation des sivières. Je le descend tranquillement, mes mains gelées cachés dans les poches de mon short. Le soleil se couchait. La nuit apparaissait peu à peu. J'avance tremblante vers l'hôpital. Le soir était froid. Très froid. Une légère fumée blanche sortait de mon nez. L'automne approche à grand pas. Les soirs se font frais. J'attrape la poingnée de la porte et ouvre celle-ci. Une vague de chauffage se blottit contre mes bras dénudés. Les larmes aux yeux, je regarde aux alentours et analyse chaques personnes signant des papiers sur des bancs de cuirs gris. Je m'approche du comptoir où se tient une vielle femme aux cheveux blancs, à l'air sympathique. Je m'accote sur le comptoir de granite, une mélange de vert kaki et de gris sale. Je l'a regarde, cette dame qui me sourit.

<Que puis-je faire pour vous aidez?> Me demande t'elle souriante.

<Je...Vous...> Je passe une main dans mon visage. Puis, voilà que tout remontre. Je commence à pleurer. La dame, surprise, me dit:

<Mademoiselle, allez-y lentement. Et je ferrai tout se que je peux pour vous aidez...>  Me lance t'elle me tendant gentilement une boite de mouchoirs.

J'en attrape un, mais ne me mouche pas, j'essuis seulement les larmes sous mes yeux.

<Je...J'ai eu un accident de voiture. Et..>

La dame me coupe la parole.

<Alors pourquoi vous n'êtes pas dans l'ambulance?> Me demande t'elle curieuse.

<Les ambulanciers mon juger inapte à prendre l'ambulance. Hum... Je n'ai aucune séquelles.>

Elle racle sa gorge et me fais signe de continuer.

<Hum...Et mon copain à eu une grosse comossion et j'ignore quoi faire.. J'ai... Je..> Je ferme lourdement les'paupières.

Il eut un moment de silence.

<Connaissez-vous quelqu'un qui pourrait vous dirigez?> Me dit t'elle.

<Oui... Hum..> Je repense à son prénom. <Un ambulancier... Vicent.>

Elle me sourit.

<Oui. Oui. Je vois.. Attendez un instant.>

Elle attrape un téléphone et compose trois numéros. Elle place l'appareil contre son oreille est attend quelques secondes.

<Oui, le poste 46B s'il vous plait.> Lance t'elle me regardant. <Oui. Vicent. J'ai une jeune fille ici... Hum..> Elle me regarde et pose le téléphone sur son épaule. <Quel est votre nom?>

<Elisabeth Jones.> Dis-je.

Elle reprend le téléphone. <Elisabeth. Elle a eu un accident il y a pas très longtemps et son copain à..> Elle s'arrête. <Oh.. Tu sais de qui je parle.> Elle me regarde. <Vient la chercher, elle est seule. Occupe toi d'elle, met la dans une chambre, je ne suis pas certaine qu'elle n'est aucunes séquelles.> Elle me regarde <Sans vouloir vous vexez.> Chuchote t'elle. <Ok je lui dis. Merci>

Elle repose le téléphone et me sourit.

<Il sera là dans 5 minutes. Il est aller porter votre copain aux urgences et il arrive.>

Je l'a remercie.

<Par contre, je vais prendre en note votre prénom et votre nom> Ajoute t'il ouvrant son ordinateur.

<D'accord..>

<Donc...Elisabeth Jones.> Lance t'elle à voix basse en tapant le clavier de son ordinateur. Puis, elle clique sur (enter)

Un long fichier s'apparait sur son écran. Ses yeux s'agrandissent, puis elle me regarde.

<Vous avez eux un autre accident?>

J'hoche la tête.

<Oui... Sa fait étrange de revenir ici..> Lui dis-je regardant autours de moi.

Elle me sourit avec compatit et note le fait que je sois de retour ici.

<Le voila.> Lance t'il pointant derrière moi.

Je me retourne et vois Vicent. Je recommence à pleurer, j'accélaire le pas vers lui et me place dans ses bras. La respiration s'accadée, je le remercie.

<Merci.... merci...merci milles fois.> Lui dis-je pleurant.

Je me recule, les yeux remplis d'eaux.

<Venez, je vais vous montrer une chambre.>

J'hoche la tête.

Il me fait signe de le suivre. Il marche plus d'un mètre devant moi. Je le suis, chambranlante et tremblante. Nous entrons dans l'ascenceur. Je regardais ses couleurs ternes, me levant le coeur. Des couleurs tristes et déprimantes. Je reste la mine basse, regardant mes pieds. Les portes s'ouvrent. Nous sortons et avançons. Voyant que marchais très lentement, Vicent ralentit le pas et m'aida à marcher. J'étais impuissante. Nous arrivons devant une chambre. Vicent sort une clé de sa poche et l'ouvre. Je fais un pas dans la chambre et relève les yeux. Vicent se tennait derrière moi. Mon coeur s'arrête.

Je commence à hurler. Je me retourne mais fonce dans Vicent. J'essais de passer à côté mais il me bloque le chemin. Je pleurs tellement que plus rien ne sortait de ma bouche. J'étais comme en trens. J'hurlais, je revoyais d'horribles moments du passé. Je poussais et frapper le torse de Vicent pour qu'il me laisse passer.

<Elisabeth qu'es qui se passe?!?!> Criait Vicent.

<ENLÈVE TOI JE T'EN SUPPLIS!!> Hurlais-je.

Il s'enlève. Je sors de la chambre et m'accote contre le mur d'en face. Mes deux bras accotés aux murs, je fixais le sol, reprenant ma respiration. Vicent s'approche de moi et place sa main dans mon dos.

<Qu'es qui s'est passé dans cette chambre Elisabeth?> Me demande t'il.

Je le regarde, les yeux remplis de larmes.

<Vicent! Tu ne me fais plus jamais entrer dans cette chambre! Je ne veux plus jamais voir le corps de mes parents même en flash back! Tu me comprends?> Criais-je.

Sa bouche s'ouvrit.

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L'héritière 2 (One direction fan fiction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant