Texte by corine2donpe
Ça fait aujourd’hui la 2e semaine de classe que je suis arrivée à l’université ce monde nouveau pour moi où tout met inconnu. Je n’ai pas l’habitude d’arriver souvent en retard en class donc je stressais beaucoup puisqu’il est déjà 8h30 et je ne suis pas. Puisque mon papa m’avait accompagné ce jour là nous sommes calé dans les bouchons à plusieurs reprises. Donc je montais les marche de l’école soudain j'entends une voix m'appeler tout en me saluant :
- bonjour Aby … disait il, c’était une personne dont la voix ne m’était pas familier.
Je me tournais en le répondant d’un air surprise et timide tout en forçant sourire. C’était lui le garçons de 1e année de l’autre classe donc mon cœur était conquis et sur son emprise. Il était parmi les garçons de 1e année de l’autre classe qui était venus nous apporter les bancs le 1er jour. Depuis ce jour lorsqu’on se voyait on se salue tout en se taquinant.
Le 22 ce mois il s'écria le matin tout en disant : bonjour coucou bien dodo ? en ajoutant que c’etais lui , je lisais tout le sourire aux lèvre et répondis : ‘’bonjour ‘’. Mon amie Grévin ne vus rire et s’approcha vers moi et me disais qu’il était venu demande mon numéro chez lui, je continu à sourire, ‘’ fait attention mon amie ‘’ dit il d’un ère protecteur ‘’ tout en s'éloignant pour rejoindre le reste de la classe. Ce fut le début d’une belle histoire, moi qui disais que je n’allais jamais sortir avec un garçon de mon école je venais là de briser la glace avec l’un de mes principes. On ne se quittent plus et passaient tout les jours a causé des heures et des heures sans jamais se fatigue certes il y avait des jour qu’on se fâchait mais on trouvaient toujours les moyennes pour s’expliquer. Je me rappel encore ce jour où il était entré en classe commença à saluer du côté gauche tout en venant vers moi. Lorsqu’il vint près de moi, il me regardait tout en souriant, je lui demandais s’il ne me salue pas aussi.’’ ao ‘’ dit il et mes camarades se mirent à rire ainsi que moi. Même s’il n’avait pas dit ce que je pensais entendre, il venait de m'arracher le sourire et quand j’y pense encore à cette scène je ne peux m'empêcher de continuer toujour à rire.
C’était le 30, la fin du moi de décembre, ce jour où tout allait basculé que je me rendu compte que ça faisait déjà près de 2 semaine mon amoureux ne rentrais plus avec moi et n’avais plus trop mon temps.
Grévin me vu triste et s'approcha vers en me posant des questions mais je lui disais que tout allait bien tout en le rassurant. Soudain j’aperçu le belle homme au regard envoûtant qui me paralysait et je pouvais pas m'empêcher de sourire tout en le regardant d’un ère pensif en me posant des questions. Des jours passaient et il se passait des scènes donc l’un en ma présence. Il était 19h quand Lucie et moi nous nous apprêtons à rentrer quand soudain on entendirent une voix qui criait nous demandant de l’attendre, on se tournaient et c'était lui. Vu qu’il perdait le temps mon amie vint l’appeler et il descendait avec une fille. Au moment de prendre le taxi, il me laissa et partis avec là fille et je rentrais sans lui. Je décidais qu’il fallait qu’on s’explique mais il me fuyais tout le temps, prenais des prétextes et rentrais sans me dire.
Le mercredi mon amie Mia et désiraient de l’envoyé un message pour le faire réagir. Il vint m’appeler, puis on partir s’expliquer et il rentra.
Je partis continue causé avec mon amie Mia puis mon téléphone retentir c’était le bruit qui signalait un nouveau message, je pris mon téléphone c’était lui disait il :
- les situations comme ça je n’aime pas y être
- je préférais qu’on arrête là même si tu me déteste tout ce que je te demande c’est de respecter ma décision
ajoutait il : ‘’ je ne peux pas te regardé dans les yeux en te disant sa ‘’
il venait de me quitté, je partis m’asseoir aux escaliers et je répondais à ses messages tout en pleurant comme si le monde me t'est tombé sur la tête tout d’un coup. Mia remarquait que je ne venais pas, elle sortit de la classe et m’aperçu pleuré, se précipitait pour me réconforté en demande ce qui y a, je là tendrias le téléphone et se mit à lire, me serrait si fort dans ses bras, de ses mains doux de bébé elle m'essuyer les yeux pleins de larmes qui ne cessait de couler. Je me récessif puis je partir arranger mes affaires pour rentrer tout en étant triste mon Mia m’accompagna et me mire dans le taxi.
En fin vint à la maison, je m’introduire en doux par la porte du derrière qui mène jusqu'à ma chambre pour que mes frères ne voyez pas mes pas mes yeux rouge qui devait gros comme les boule de neige. J’entrais dans ma chambre en le fermant de nouveau. Je me glissais sur mon lit dans la couverture tout en serrant très fort dans mes bras mon gros ours, j’écoutais cette musique que j’aimais tant tout en me gémissant sur ma tristesse. Tout à coup j'entends des gouttes d’eau et c’était la pluie, les orages se déchaînent et j’en sursaute même a chaque coups de tonnerres mais je pouvais toujours voir son sourire et entendre sa voix, un vide se créa en moi et je pensais à tous ses beaux moment passé avec même après tous la souffrances qu’il m’avait infligé. Je passa tout la nuit a me lamenter. Je réussir à m’endormir un peux, le matin venu je me pressa de m'apprêter et je mis beaucoup de maquillage pour cacher mes yeux. En classe une fille vint m’appeler surprise ne sachant pas qui s’est, je sortais tout en traînant les pas, c'était Starr son nouveau amour elle me demandais si on pouvait causer, curieuse, je la suivais et on partait causé dans restaurant et elle m'expliquait qu’ils sont ensemble et que c’est pas maintenant ça dur depuis un moi. Un mot qui croyait en ses belles paroles et je m'effondrai en cœur tout en restant fort à ses yeux pour qu’elle ne voyez pas comment je souffre. Les jours passaient mais la blessure était toujours, je passais des nuits blanches à me lamenter qui ne se sentaient pas heureux de m’avoir et j’avais donné mon cœur et qui me l'avait remis en petit morceau. Je passais tout journée a reste dans coins en regardant le ciel ou en le professeur, j'empruntais les rue de mon quartier sur des longue colline au coucher du soleil tout en me promettant de ne plus jamais m'adresser la parole. Et j’appris à ne donner de mon cœur, restant toujours seul et j'étais devenue la petite fille de classe qui restait toujours dans sans oser dire un mot.
