Quand tu étais triste, moi je voulais te chanter
L'espoir et puis l'amour que nous avions trouvé
Ici quand le ciel pleure, c'est la seine qui chante
Qui met de la beauté, sous nos étoiles fuyantes.
Et le soir sur les quais, aux méandres bleutés
Les lumières de Paris reflètent dans cette eau,
Pour rappeler aux hommes tel un ciel étoilé
Qu'elle reste un espoir tel l'envol de l'oiseau.
Mais cet oiseau c'est elle, et t'es partie au loin,
Tu as quitté la scène, pour briser d'autres cœurs,
Qui auront vu en toi, dans tes yeux cette lueur
Qui m'a anéanti, quand je levais le poing.
Il ne reste que Seine, qui s'écoule toujours
Quand le temps lui se fige, quand le temps lui est mort,
Car il a perdu, son amour des premiers jours
Il a perdu la vie, quand elle quitta le port.
Elle était infinie vagabondant de port en port
Quand elle s'écrie c'est fini raisonnant pour toujours
Dans ma tête et mon cœur, pourquoi ce triste sort ?
Je suis comme un musicien qui d'un coup devient sourd
Quand l'un contre l'autre se caressant de pores en pores
Entre les soupirs on s'était jurés pour toujours
Mais aujourd'hui t'aimer c'est hurler à la mort
Car dans ta beauté je suis mort, mort de notre amour...
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Recueil de poésies
PoetryCorpus de poèmes personnels tant dans la description du monde qui nous entoure, que dans l'expression de sentiments et de pensées personnelles. Une certaine vision du monde, d'une époque. De l'espoir à la tristesse, de la rage à la mélancolie, je v...