Margaux

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Margaux ...


Margaux, c'est comme un vent qu'on ne peut amadouer

Dessinant d'un radieux sourire l'horizon

Pour y planter des roses aux couleurs de l'été

Et planter des forêts au milieu du goudron.

(Margaux !)

Margaux c'est le regard onirique océan

Qui de ces yeux font échouer les voiliers humains

Diable, d'un bleu lagon où se baignent les enfants

Laissant hagard mon triste cœur un peu badin.

(Margaux !)

Margaux c'est le sourire au travers la tempête

Qui dissipe le brouillard d'un éclat de rire

Elle a le cœur charnu mais l'allure fluette

Elle est des beautés qu'on ne peut laisser partir.

(Margaux !)

Margaux c'est l'étoile aux lumières inaccessibles

Au commun des mortels, à nous les pauvres gueux

Elle fait tomber les pluies sur les terres arides

Et pourrait convertir le plus fervent des pieux.

(Margaux !)

Si par chance tu la croises un jour des faubourgs

Tu verras camus, comme elle est divine et belle

A faire clamer les cœurs au son des tambours

Dans une valse folâtre avec les hirondelles.

(La la lala), dans une valse folâtre

(La la lala) avec les hirondelles

(La la lala) dans une valse folâtre

(La la lala) avec les hirondelles.

(La la lala) comme pièce de théâtre

(La la lala) comme un péché mortel

(La la lala) nos cœurs à se débattre

(La la lala) pour l'amour éternel.

(La la lala) nos cœurs à combattre

(La la lala) les nuages du ciel

(La la lala) dans une valse folâtre

(La la lala) avec les hirondelles.

Recueil de poésiesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant