ᴄᴏᴍᴍᴇ ᴜɴ ᴊᴏᴜʀ ɴᴏʀᴍᴀʟ | ᵇᵃʲⁱᶠᵘʸᵘ |

Chapitre 27

Quelques jours s'étaient écoulés depuis la dernière fois. Son visage était rétabli des blessures qu'il avait eu lors de sa dernière bataille. Cependant malgré ce qu'il disait, je le trouvais beau, je trouvais même que cela lui rajouter un charme.

Mais enfin, il souriait, il blaguait, je le trouvais magnifique... il était enfin redevenu lui-même. Je m'en contentai comme à mon habitude. Peut-être, encore plus que d'habitude. Son bonheur était quelque chose de chérissable à prendre en considération. Il mérité tout ses petits soins.

Il disposait de toute ma personne.

Chifuyu, n'était qu'autre que resplendissant, et son anniversaire approchait à grands pas. Il allait enfin avoir ses dix-neuf ans. Cette journée de décembre s'annonçait être la plus froide.

Le gel régnait dans toute la ville, la météo annonçait de la neige. Les températures étaient tellement froides que mon chauffage ne me suffisait plus à chauffer la pièce.

Le temps était long dans cet appartement, les murs manquaient cruellement de chaleur humaine, Le sol manquait de désordre, les pièces manquaient de vie. Oui, et cette journée plus que froide, empêchant toute interaction sociale, l'ennuie avait fait son apparition, et je trouvais le temps horriblement long.

J'avais fini d'emballer son cadeau, et d'avoir écrit sur un morceau de carte quelques mots, j'espère ne pas avoir fais de fautes...

Je fixai désespérément la télévision, espérant trouver quelques petites réponses, mais rien, mis à part ce silence, le calme régnait avant la tempête. Le temps était comme figé, comme si depuis ce matin l'heure. Tout était comme fixait.

Je me sentais seul dans cette civilisation. Le monde semblait avoir disparue. 

Je voulais tellement sortir, profitez un peu de l'air frais, afin de me balader et de sillonner dans les villes affublées de monde e' temps ordinaire, de voir ce petit monde s'affoler, se ruant dans les magasins et les stands pour pouvoir acheter quelques petites babioles et cadeaux, en vue des festivités qui approchaient.

Un jour de décembre comme les autres, ou lorsqu'il fait froid, et ou les intempéries approchaient à grand pas, on craignait tout, l'aventure ne pouvait se produire.

On ne sortait pas préférant s'enfermer chez soi. Je me sentais comme isolé du monde, incapable de pouvoir communiquer, et de transmettre de bonnes ondes.

Oui, ce fut clair dans mon esprit, aujourd'hui j'allais m'ennuyer, et je ne pouvais rien faire pour lutter. Je pourrais lire...

Allant vers ma bibliothèque, afin de choisir un livre, et de passé une espèce d'après-midi ou soirée plus ou moins potable, une étrange tension se répartie dans les pièces, une baisse de tension arriva.

Je me trouvais dans le noir...

Le ciel se mit soudainement à s'assombrir, laissant place dans le ciel à des nuages gris, le vent montait de plus en plus fort, il n'y avait plus personne dehors. 

Mon courant fut soudainement coupé, plus aucune source d'électricité était restée dans l'appartement, petit à petit un air glacial s'invitait dans la pièce.

Je commençais à grelotter, plus de chauffage, d'électricité, plus d'eau... je devenais un sans domicile dans ma propre maison.

Fais chier... ces merdes n'arrive toujours qu'à moi...

Mon téléphone se mit subitement à sonner, me retirant de mes pensées déjà à deux doigts de se mettre à s'énerver, de s'affoler et s'emporter.