Chapitre 65

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Je n'aime pas la rentrée, j'en ai marre de l'école en fait. Mais bon, au moins j'ai eu mes examens et Chifuyu aussi. Le gérant de l'animalerie m'avait embauché et franchement, m'occuper de chat, de chien et de tous ses animaux, ça me plaisait tellement.

Les cours était long et le prof parlait des résultats foireux de certains. Chifuyu lui était sur son téléphone et parler à son meilleur ami. Il avait décidé de travailler cet été dans un café.

« Vient, après les cours on révise comme à notre première pour notre première rencontre ? » je lui fis un clin d'œil.

« Hein ? »

Il s'exclama si fort, qu'un mec qui avait des vues sur lui, se retourna pour nous fixer. J'étais à deux doigts de l'embrasser pour qu'il dégage, mais bon... je finis par reprendre :

« Ouais, tu me donneras un dernier cours ! » lui chuchotai-je dans un clin d'œil.

« Hum... mais enlèves-moi ces lunettes immondes de ton visage... »

Je n'aime pas la rentrée, j'en ai marre de l'école en fait. Mais bon, au moins j'ai eu mes examens et Chifuyu aussi. Le gérant de l'animalerie m'avait embauché et franchement, m'occuper de chat, de chien et de tous ses animaux me plaisais tellement.

« Bébé, je t'aime. » lui chuchotai-je dans le creux de son oreille

Les cours était long et le prof parlait des résultats foireux de certains. Chifuyu lui était sur son téléphone et parler à son meilleur ami. Il avait décidé de travailler cet été dans un café. Mais bon, je le faisais aussi.

Il lâcha son téléphone pour me regardant amoureusement. Il me paraissait ailleurs, alors une idée me vint en tête.

« Baji... » sa tête se bouscula en arrière pour revenir très vite en avant, incapable d'empêcher mon geste.

Ma main se dirigea vers cette cuisse un peu solitaire, pour pouvoir s'y poser et faire quelques caresses frissonnantes.

« Donc, c'est pour cela qu'un bal de promo aura lieux... Monsieur Keisuke, bien que vous soyez loin. Je vous vois importuner votre voisin. »

Importuner... ce n'est pas de ma faute si je lui fais autant d'effet...

Il était aussi rouge qu'une tomate, et il m'avait décoiffé et retiré mes lunettes, alors toutes les filles émerveillèrent leurs yeux sur moi. Ce qui attira un regard furieux de Chifuyu.

« Monsieur, je ne fais rien d'importun. » Chifuyu sourit gravement, pour me regardait les yeux luisants.

« Ne me... Monsieur Keisuke... »

Quelques filles pouffèrent, et je sentais le regard en colère de mon amant. je m'abaissais vers lui pour lui embrasser le cou.

« Bébé, elles ne ma plaisent pas... En revanche toi... » je m'abaissais pour faire semblant de refaire mon lacet, tout en profitant de lui toucher l'entre-jambe. Il frémit.

« Vous me tapez sur le système ! » continua ce professeur.

« Putain... Baji... » chuchotait-il.

[. . .]

Mais qu'est-ce qui lui prend à Baji, déjà que naturellement il me fait de l'effet, là, avec cette pression de ma jambe proche de mon entre-jambe, je me mis à être aussi rouge qu'une tomate.

À peine la rentrée commencée, on se fait déjà remarquer et les filles commencent à devenir dingue de mon noiraud.

« Monsieur Keisuke, vu que tout le monde vous regarde, veuillez sortir de mon cours... Ce n'est pas une foire ici. Monsieur Matsuno saura se débrouiller seul. »

ᴄᴏᴍᴍᴇ ᴜɴ ᴊᴏᴜʀ ɴᴏʀᴍᴀʟ | ᵇᵃʲⁱᶠᵘʸᵘ |Où les histoires vivent. Découvrez maintenant