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Rachel

Seule ma petite Prius se trouvent dans le stationnement du Racing center. Par chance le garde de sécurité me reconnais et vient me débarré la porte.

-Madame Rachel, vous n'étiez pas en vacances cette semaine?

-Oui Raoul, mais je viens régler un petit pépin sur les véhicules, je ne devrais pas en avoir pour trop longtemps.

Le regard plein de compassion, il m'ouvra la barrière pour accéder aux pièces de montage. Une fois entrée, je tire sur le premier interrupteur à ma droite, Les centaines de néons s'allument les uns après les autres. Au centre se trouvent mes deux bébés. La voiture numéro 11 de Sergio et la 33 de Max. En passant à côté de la 33 je ne peux m'empêcher de passer à main sur bolide. Quelques heures au pare avant mon pilote sexy, suait sa vie juste ici dans le cockpit. Sur la table près des bolides, il y avait le plan de production. J'ouvre l'ordinateur sur le plan de travail et commence à lire les chiffres qui défilent devant moi. J'ai les données de tous les pratiques de ce midi devant moi. Je ne comprends pas ou Max à trouver qu'il perdait de la puissance. J'ouvre le moteur de l'engin sort la boite électrique et la connecte à mon ordinateur. Les formules sont pourtant les bonnes, je sais que Max à la réputation d'être plus sévère envers les voitures, mais je ne vois vraiment pas quel semble être le problème avec celle-ci. Je m'assoie sur le siège et fixe la voiture, peut-être que la réponse allait m'apparaitre par magie. La porte du garage s'ouvre :

-Je n'ai pas encore terminée Raoul, je n'ai même pas identifié le problème encore. Mon désespoir résonnait dans l'entrepôt.

-C'est probablement parce qu'il n'y en a pas! Dit une voix qui n'est clairement pas Raoul, même que si je n'étais pas si fatiguée, je croirais reconnaitre Max.

La silhouette s'avança tranquillement vers la lumière. Plus il avançait plus ses traits se définissait. J'ai vu juste, c'est bien lui. Je connais que lui pour être sexy dans une tenue de sport. Pantalon de toile noir et t-shirt blanc. Sous sa manche on peut apercevoir la fin d'un tatouage, une partie de son corps que je n'avais pas encore exploré. Il s'arrête juste devant moi et me souris. Pendant quelques secondes j'en oublie même ce que je viens faire ici. Je suis assise devant lui et je reste sans mot. Jusqu'à temps que sa dernière phrase me revient en tête :

-Que veut tu dire, par il n'y a pas de problème?

-Je n'avais pas ton numéro, ni ton adresse, donc aucun moyen d'entrer en contact avec toi. Comme je sais que l'aérodynamie est ta spécialité je me doutais, du moins j'espérais que Roger te demanderai de régler ca ce soir, avant les essaies de demain.

Mon corps est divisé en deux partie, ma tête qui est fâchée qu'il m'est fait me déplacer jusqu'ici, que mon patron croit que j'aie fait une erreur sur un véhicule et mon entre-jambe, lui criait victoire de le revoir. Clairement il voit l'effet qu'il a sur moi. Il se penche vers moi et me chuchote à l'oreille :

-Depuis hier, je n'arrête pas de pensé à toi et à notre échange dans le placard. J'ai passé une bonne partie de la journée en érection. Je ne sais pas si tu sais mais enfiler une combine de course bandée ce n'est pas ce qu'il y a de plus évident. C'est tellement moulant que j'ai eu peur de me faire prendre, j'ai presque été obligé de me soulager dans le vestiaire après l'essai.

Moi qui pensais que le fait d'avoir libéré nos pulsions allait nous rendre l'ambiance de travail plus légère, je ne pouvais pas plus me tromper. Une fois que j'ai gouté a mini Max, je ne pourrais pu m'en passé.

-Je vais te donner mon numéro, question que la prochaine fois tu ne dises pas à mon patron que je me suis tromper dans mon travail. Dis-je en essayant d'avoir l'air un peu fâchée de la situation. Quand en réalité depuis qu'il s'était mis devant moi je ne pensais qu'à lui arracher ses vêtements.

Vivre pour courserOù les histoires vivent. Découvrez maintenant