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Max

Je ne peux pas croire que j'ai fait ça, baiser dans un stationnement. Si mon agent apprend ça je suis mort. J'ai aucune résistance par rapport à cette fille. Ce n'est pas une blague quand je crois qu'elle a jeter un sort a ma queue. La voir mal à l'aise dans sa voiture en route pour l'hôtel, m'a tué, je me sentais tellement comme une merde de l'avoir baiser et m'en aller de mon côté. Pour la deuxième fois en plus. J'ai vu ses yeux tristes lorsqu'elle m'a souhaité bonne nuit, j'ai su toute de suite que je ne veux pas qu'elle parte se soir :

-Passe la nuit avec moi? Lui répétais-je.

-Je ne sais pas, tu es crevé. Tu as besoin de repos.

Elle me donne la porte de sortie parfaite pourtant comme un épais je ne l'a prends pas.

-On ne fera que dormir, promis.

Un petit sourire timide apparait sur ses lèvres, elle va me dire oui c'est certain. Comment pouvait-elle passer à bête de sexe à fille timide?

-D'accord je veux bien mais tu dois dormir, tu as une journée d'essaie demain. Cette fois, n'invente pas de problèmes sur ma voiture, j'ai travaillé fort.

Je sais que j'ai été con inventé ça, mais c'est la seule option que j'avais. Je ne voulais pas aller achaler les ressources humaines et faire partir une rumeur. Déjà que Sergio m'a passé un commentaire au lancement. Je n'ai vraiment pas besoin de crée un buzz avec ça.

-Promis maman je vais dormir.

Je l'embrasse encore et la tiens contre moi en quittant le stationnement. J'avais au moins une tête de plus qu'elle alors tout le long du chemin jusqu'à ma chambre j'hume l'odeur de cheveux au mélange d'agrumes. Une odeur pour me rendre fou. Au moins a cette heure je ne risque pas de croiser personne dans les couloirs. J'ouvre la porte sur la chambre. Rachel reste ébahie :

-Ils vous font dormir dans ces piètres conditions?

J'ai appris qu'avec Rachel, le sarcasme est de mise. Ma chambre n'a rien d'une suite mais elle est quand même beaucoup plus grande que les chambres communes. Elle est composée d'un grand lit King, un salon peint en gris, une immense salle de bain moderne et le clou du spectacle, une fenêtre longeant le côté droit de la chambre.

-Oui je sais, on est vraiment mal traités. Viens voir, même la vue est affreuse.

Je fais glisser le rideau sur le rail, la vue sur les prairies autours, pas beaucoup d'édifices. Seulement une petite forteresse au loin illuminé. Tout semble calme en bas :

-Le matin, avant d'aller m'entrainer, je prends mon café juste ici, désignant mon petit fauteuil en suède bleu turquoise, face à la fenêtre et je relax.

Elle s'avance, s'appuie la tête sur mon épaule.

-C'est vraiment magnifique. C'est sûr qu'a l'heure que tu te lèves le soleil ne doit pas encore être debout, mais j'imagine qu'au petit matin c'est toute aussi beau.

-Tu serais surprise, surtout que hier et ce soir, une femme fatale m'a empêché de coucher aussitôt qu'à mes habitudes.

Elle aime que je le compliment car, sa confiance revient. Si je continue je sais que je vais allumer un feu. Il est mieux qu'il reste éteint pour se soir. Elle a raison je dois dormir j'ai les essaies demain. Je dépose un baiser sur sa tête et la guide vers mon lit :

-Viens on va aller dormir. Comme tu le dis si bien j'ai besoin de mes forces.

J'ouvre ma valise et lui lance un de mes chandails de gym.

-Si tu dors en sous-vêtements, toutes espoirs de repos vont s'évaporés.

Je me tourne pendant qu'elle l'enfile, je ne dois pas voir son corps sexy aussi près de moi question de pouvoir dormir. Juste le fait d'y pense je suis déjà bien dur. Faut se calmer petit gars, tu as eu ta gâterie, maintenant dodo. Comme si le fait de parler à ma queue va changer le fait que Rachel est bandante. Je me mets en boxer et me glisse sous le duvet.

-C'est bon je suis présentable.

Je me tourne vers elle.

-Putain, moi qui croyais que te donner mon chandail, allait calmer ma queue, erreur sous toute la ligne. Tu es encore plus sexy. Le désespoir m'emporte et je mets ma tête entre mes mains. Elle me rejoint sous la couverture.

-Couché cowboy, cette nuit pas de minette pour toi.

Je fais semblant de bouder, elle m'embrasse tranquillement sur la joue et se tourne dos a moi dans le lit.

Je me tourne vers elle et passe mon bras sur sa hanche, la tension sexuelle est encore très présente mais je me contente de me coller contre elle. Peu de temps après je m'endors sur le doux son de sa respiration.

À quatre heures trente, mon alarme de téléphone me sort du sommeil, je me dépêche d'éteindre la sonnerie pour ne pas réveiller Rachel. Elle est couchée face à moi. Je me permets de l'observer silencieusement. J'embrasse le bout de son nez et quitte le lit. Je dois vraiment aller sous la douche, l'odeur de sexe est encore une fois collée a ma peau. Une fois la porte de la douche fermée, je pars l'eau froide, c'est plus facile éveillé mes muscles de cette façon. Parlant d'éveil, j'en connais un qui est très en forme, dû à la vision de la bombe sexuelle qui a partagé mon lit cette nuit. Je n'ai pas le choix de relâcher la tension, sinon je vais encore passer la journée en érection, et c'est vraiment inconfortable dans la combine. J'entoure ma queue de ma main et commence à me caresser, j'imagine Rachel en train de travailler sur ma voiture penchée par en avant. J'approche et je masse son petit cul bien bombé. Elle se retourne vers moi et se met à genoux et me prend au complet dans sa bouche. Merde, l'image de sa bouche entourant ma queue est si intense que je jouie directement sur le carrelage de la douche. Moi qui ne voulais me concentrer sur la course. Je sens qu'elle va être une très grande distraction.

Je sors de la douche, met ma combine et, je prends un petit bout de papier ou j'écris un petit message à Rachel. Je la regarde dormir paisiblement.

Oui je suis vraiment dans la merde !!!!!

Vivre pour courserOù les histoires vivent. Découvrez maintenant