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Rachel

J'aime voir Max perdre le contrôle, jusqu'à maintenant il réussit à le conserver. En revanche je sens qu'il n'en manque pas beaucoup pour laisser sortir la bête en lui. Il me fixe intensément et j'ai une idée. Je passe ma main doucement sur ma cuisse pour feignant l'envie de me gratter, le mouvement de ma main vers l'intérieur de ma cuisse fait surélever un peu ma robe. Je savais que j'avais besoin de quelque chose de léger, vu la température d'ici. Je m'en étais acheter quelques-unes à l'aéroport. J'avais payer cher, cependant la façon qu'avait Max a fixé tous mes mouvements, en valaient amplement le prix déboursé.

-Je ne sais pas pourquoi mais le tissu semble irrité ma cuisse juste ici...

Je remonte le tissu tout doucement pour lui donner une meilleure vue, je le vois ravaler sa salive et levé les yeux au ciel. Je m'approche lentement de lui :

-Rachel putain qu'es ce que tu fais?

Un pas après l'autre j'approche et je fini par être face a lui. Il est beaucoup plus grand que moi, alors il doit baisser la tête pour me regarder. Je sens son souffle sur mon visage.

-Tu aimerais mieux que je retourne dans mon coin?

Je le vois se débattre mentalement, je pose ma main sur son torse. Son cœur bat a tout rompre contre moi :

-Tu joue avec le feu ma belle... Fais attention tu pourrais te bruler. Il pèse ses mots un a un. Sa lèvre frôle mon front. Il y dépose un petit baiser.

-J'adore la chaleur, encore plus celle qui est dangereuse.

-J'ai cru remarquer, tu es allumé à toutes les fois que tu sais qu'il y a des chances de se faire prendre.

-ça ne t'excite pas toi?

-Oh tu n'as pas idées comment, être personne de connu, je te lèverai la robe maintenant et peu importe l'issue de la soirée, ma queue se retrouverai en toi ici entre les quatre portes de cette merde d'ascenseur. Tu n'as pas idées la retenue qu'il me faut en ce moment.

Je ressens de la fierté d'avoir allumé Max comme ça, remarque que j'étais aussi en feu que lui. Je ne souhaitais en rien me donner en spectacle. Pourtant, chaque fois que je me trouvais à ses côtés, j'ai de la difficulté à exercer de la retenu. Je me tiens sur le bout des pieds pour me rendre à sa bouche. J'ai envie de l'embrasser plus que tout. Sa main se pose sur ma joue et tendrement il m'embrasse en retour. Nous marchons sur des coquilles d'œuf, on jongle entre la passion et la tendresse. Comme je ressens une envie de passer mes mains sous son chandail, le ding de l'ascenseur retentit. On s'éloigne l'un de l'autre laissant passer les gens qui souhaitent monter dans l'ascenseur. Il ne nous reste que 2 étages avant d'être arrivé au lobby.

Enfin sorti de cette petite espace, nous sortons également de l'hôtel, question de respecter la consigne de mon père, je recherche un petit kiosque de nourriture. Je n'ai pas super faim, mais je sais que je dois manger un petit quelque chose. Max m'indique un petit stand à sandwich à notre gauche. Il est fier de son coup lorsqu'il remarque qu'ils servent des burgers. Je m'engage dans la ligne pour commander. Il attend sagement avec moi et mon envie de me coller est présente mais je résiste du au fait qu'on est en public :

-Merci de me faire sortir, c'est vrai que l'air frais fait du bien. Je lui envois un sourire.

Il ouvre la bouche pour me dire quelque chose mais on est interrompu :

-Hey, Tu es le pilote de Redbull...Verstappen!

Je m'éloigne de lui, question de lui laisser le champ libre avec ses fans, de toute façon je dois commander mon sandwich, il ne m'a pas dit s'il en voulait un, mais je ne prendrais pas de chance, je lui commande un semblable a c que nous avons mangé plutôt dans la semaine. Je paye et le regarde répondre et prendre des photos avec les gens. Ils l'aiment vraiment. Tous le monde est très souriant. Même moi, quand je le regarde je me dis qu'il possède tout pour être aimer. Le jour, ou je serai de trop dans sa vie, et c'est sûr que ça arrivera, je vais tomber de haut. Malgré mes mises en garde personnelle, je n'ai pas pu m'empêcher d'éprouver des sentiments pour lui. A chaque fois que je le vois, ils se développent de plus en plus. Il termine ses discussions et photos et me repère assis sur un petit banc de parc. Il me rejoint sans attendre. Il porte une belle veste noire à capuche, et sa casquette orange ne passe pas inaperçue. Il est vraiment beau :

-Pourquoi tu me regarde comme ça ma belle?

-Je me disais simplement a quelle point tu étais chaud. Je réponds.

Il s'assoit à mes côtés et vois les burgers, je lui fais signe qu'il en bien un pour lui. Je ne m'étais pas tromper, il avait faim, du moins il mangerait ce burger.

-Si je suis chaud, il n'y a pas de qualificatif assez fort pour parler de toi. Il me dit ça la bouche pleine mais le plus sérieusement du monde.

Je suis touchée par ses paroles mais le visage qu'il fait est si marrant que je m'esclaffe. Je prends une autre bouchée de mon burger et je sens la sauce s'étendre sur ma joue. C'est son tour de rire de moi, il prend doucement sa main et doucement enlève l'assaisonnement de sur ma joue.

-Tu te rappel cette semaine, lorsque tu m'as dit être jaloux de mon burger?

-Oh oui comment je pourrais l'oublier, c'était vraiment hot comme moment.

-Eh bien ce soir, c'est à mon tour d'être envieuse de ton burger, j'aurai envie moi aussi d'être proche de tes lèvres.

Max

Je vois une lueur de tristesse dans ses yeux et sa me pince directement au cœur, je ne sais pas pourquoi elle semble triste. Je regarde autour, personne que je connais n'est vraiment dans mon champ de vision, alors putain pourquoi je me priverais d'embrasser cette fille si parfaite. Clairement elle n'attend que ça. Je dépose mon burger, m'approche d'elle et prends son visage entre mes mains. Elle me regarde droit dans les yeux :

-Max que fais-tu? On est en plein milieu d'un parc...

Je bloque ma bouche contre la sienne, quand sa langue touche la mienne, je le ressens la décharge jusqu'au bout de ma queue. Putain qu'elle m'allume, mais ce baiser est différent des autres. Es ce que c'est parce qu'on est en public, ou simplement car dans les dernières heures, j'avais commencé à comprendre ce qu'elle représentait pour moi. Je m'éloigne d'elle avant que ça dégénère :

-ça c'était vachement mieux que mon burger, tu n'as plus à le jalousé. Je la prends dans mes bras et continue de manger mon sandwich. Elle était revenue heureuse, moins pensive.

-ça te dis de passer par une boutique, acheter un maillot avec moi? Car je repense à ton invitation au Spa, et j'aimerais bien me détendre dans l'eau chaude avec toi.

Ma queue se gonfle automatiquement... Je commence à avoir mal tellement je bande souvent ces derniers jours.

-Avec plaisir, la seule chose, je ne suis pas dans la possibilité de me lever de se banc tout de suite...

Son regard se penche vers mon entre-jambe et elle se met à rire aux éclats. Elle tire sur ma veste pour me forcer à me lever. J'obéis et discrètement je replace ma fourche. Je la suis dans le quartier a la recherche de son putain de maillot, auquel je me ferais un plaisir de lui enlever...

Vivre pour courserOù les histoires vivent. Découvrez maintenant