Vivre pour courser

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Rachel

À voir le nombre de burger qu'il mange, je ne comprends pas vraiment sa forme physique :

-Dis-moi, es ce que tu avais mangé dans les six derniers mois? Je ne me rappelle pas la dernière fois que j'ai vu quelqu'un engloutir autant de bouffe.

Il ne peut même pas me répondre tant il a la bouche pleine. Il se contente de sourire. Je le regarde finir son quatrième burger et j'essaie de le regarder subtilement. Suivre la forme de son torse, son coup tellement musclé. En formule 1, les pilotes avaient un entrainement spécial pour leurs muscles du cou, pour les préparer a toute impacts pendant les courses. J'ai juste envie d'y passer mes mains sur la nuque et de remonter jusqu'à ses cheveux. En revanche, je me doute que si j'entreprend un moindre contact, l'embrasement va commencer. Je suis pris en flagrant délit :

-Tu vois quelque chose qui te plais? Murmure-t-il.

Sans m'en rendre compte, je serre les cuisses, je reste toujours surprise de l'effet qu'il a sur moi.

-Je me disais simplement que j'aimerais passer ma main dans tes cheveux. Dis-je gêné.

-Qu'es ce qui t'empêche de le faire?

-Tu sais autant que moi, qu'a la minute que je vais te toucher tu seras beaucoup trop existé, et je vais te devenir irrésistible. Dis-je en battant des paupières.

Je prends soins de descendre la fermeture éclaire de mon manteau, le fait glisser de mes épaules. Je passe mon polo de travail par-dessus ma tête. Me voila en petite camisole, qui met très clairement mes atouts en valeur.

Il s'assoit droit sur le siège, sa respiration accélère et il me fixe ardemment, je remarque sa pupille dilatée par son désir. J'approche tranquillement ma main sur sa nuque, arrivée au cuir chevelu, je tire légèrement ses cheveux, tout en mordant ma mordant ma lèvre inférieur :

-Tu es une sorcière, tu as clairement jeté un sort à ma queue, aussitôt que tu me regarde, je bande comme un cheval.

J'approche mes lèvres sur son oreille et chuchote :

-Imagine, comment ma culotte est mouillée présentement. En prononçant le dernier mot ma langue se loge sous son oreille, je le liche et suce son lobe.

Il n'en faut pas plus pour éveiller la bête. La seconde d'après je suis à cheval sur Max dans ma voiture. On s'embrasse passionnément en lâchant quelques gémissements par ci par là. Sa main se promène sur mon corps, effleure mes seins et ma taille. Ses mains empoignent mes fesses et guide leurs mouvements contre lui. À bout de souffle il lâche :

-J'ai vraiment envie de toi Rachel.

-Qu'es ce qui t'en empêche? Haletai-je

-Regarde autour de toi, on est dans une putain de stationnement public.

Je continue mon attaque de bassin sur lui, il n'était pas question que je l'abandonne l'idée de l'avoir en moi.

-Oui, mais il est presque vingt-trois heures, il fait noir et personne autour. De plus je ne crois pas que personne ne croira que c'est Max Verstappen qui baise dans une Prius.

Il rigole, qu'il est beau quand il me sourit. Je crois pendant un instant avoir perdu la bagarre car, il me replace sur mon siège passager :

-Ôte ton jeans si tu me veux en toi, je peux croire que ma queue est puissante, mais pas assez pour traverser le denim.

Je suis la consigne et reprend aussitôt ma place sur ses genoux, comme deux aimants attirés l'un à l'autre.

-Bordel, ce que tu me fais faire femme.

Je passe mes mains sous son chandail, il est chaud, ses muscles sont contractés. Dieu merci son pantalon de sport n'est pas difficile à baisser. Je ne fais que passer sous l'élastique, il est tellement dure que mini Max est presque entièrement sortie de lui-même. Je le serre doucement être mes doigts, le libère de tout tissus. Il grogne contre ma bouche et continue de m'embrasser sauvagement. Ses doigts écartent lentement ma culotte et me pénètrent.

-La probabilité de te faire prendre t'excite vraiment. Je n'en reviens pas comment tu es déjà prête.

Je le regarde droit dans les yeux quand je lui dis :

-Non c'est toi qui m'excites comme ça.

Je sens son membre pulsé sous mes caresses. La danse qu'effectuent ses doigts en moi, me rendre au bord de l'orgasme. La décharge de plaisir m'électrise.

Max m'indique de prendre son porte-monnaie dans le porte gobelet du véhicule et d'y sortir le condom. Je suis heureuse de sa vigilance, car en se moment la protection ne m'avait pas effleuré l'esprit tellement j'étais excitée. Je le lui enfile, d'une vitesse surhumaine, car je ne peux plus attendre. Il m'aide a baissé ma culotte. Je le guide vers l'entrée de mon corps et je me laisse glisser contre lui. Sa tête plonge vers l'arrière les yeux bien fermés.

-Oh mon dieu, c'est tellement bon Rachel.

Sa voix rauque me procure autant de plaisir que ses coups de bassins. Ses mains agrippent mes hanches et guide ma cadence :

-Il faut faire vite, pas se faire prendre. Me susurre Max.

Il accélère le rythme, se cabre encore et encore pour atteindre le point sensible de ma chatte. Je sens la vague de plaisir approchée. Les paupières fermées je gémis sans relâche à son oreille.

-C'est ça, je veux t'entendre Rachel.

Son souffle dans mon cou, est juste ce qu'il faut pour me faire basculer dans le tourbillon de sensation qu'est un orgasme. Il me serre contre lui et s'enfonce brutalement en moi une dernière fois avant de figer et de jouir bruyamment à son tour.

-Quel magnifique son vous faite quand vous jouissez Mr, Verstappen.

Avec un sourire de soulagement, il m'embrasse encore et encore. Plus tendrement cette fois. Je flatte ses cheveux et me soulève doucement de lui :

-Au moins cette fois je vais repartir avec mes sous-vêtements. Il rigole et me les tends

Après s'être rhabiller, on est en silence et on regarde tous les deux chacun par notre fenêtre. Un léger malaise c'est installé. Je n'ai pas envie d'avoir l'air de la fille accroché dépendante alors je lui offre :

-Tu veut que ma bagnole et moi on te dépose quelque part?

Mon offre le sort de sa tête. Il me répond simplement :

-Oui mon hôtel s'il te plait.

Je sens une distance dans sa voix, je ne sais pas ce qui a pu se passer dans les dernières minutes. Es ce que j'ai fait quelque chose de mal? Il entre l'adresse d'hôtel dans mon Gps, pars le moteur et prend la route.

Le reste du voyage se fait en silence. Je n'ose pas parler, j'ai peur de le contrarié. Il se gare dans le parking sous-terrain. Je sors de la voiture pour aller prendre le coté conducteur. Il arrive à l'arrière de la voiture en même temps que moi, me prend la main pour m'arrêter. Il plonge son regard dans mes yeux :

-Je suis désolé, je suis complétement vidé d'énergie, je ne voulais pas être bête avec toi.

-Pas de problème, c'était une grosse journée. Une bonne nuit de sommeil va te faire tu bien. Monte te coucher. J'ai dit ça avec une bonne assurance, mais a l'intérieur je me sentais fragile, je ne sais pas pourquoi.

Il soulève son menton vers lui, dépose un petit baiser timide sur mes lèvres et me demande tout doucement :

-Passe la nuit avec moi Rachel!