Vivre pour courser

-33-

Rachel

Faut croire que j'avais du sommeil à rattraper car j'ai dormis toute l'après-midi. Pendant les premières secondes de mon réveil, j'étais sereine, je ne pensais plus à mon cul sur le web. La réalité m'a frappé aussi rapidement qu'une voiture de course. Mon père m'a laissé une note sur la table de chevet pour me dire qu'il était parti explorer le village. Je n'avais même pas eu connaissance qu'il était revenu après diner. Comme tout bon père il m'avait couvert d'une couverture. De la le surplus de confort. Mon estomac gronde, ce qui me force à regarder l'heure. Il est rendu dix-huit heures, je peux bien avoir faim. Je vois également que Max a essayé de m'appeler, je lui envois un message à mon tour.

Salut, désolée j'étais bruler, j'ai dormi toute l'après-midi.

Max :

Aucun problème, tu viens manger avec moi à ma chambre, je vais appeler le service aux chambres? Comme ça on sera tranquille pour discuter.

Moi : D'accord laisse-moi me doucher et j'arrive.

Max : Parfait, je suis à la chambre 33, je t'attends

J'ai essayé de lire son humeur dans nos messages, mais rien n'a donner le moindre indice.

J'ai opté pour un look un peu plus relax, je n'ai pas l'impression que notre rencontre sera des plus plaisante. J'ai mis des shorts en jeans et une camisole blanche. Rien de trop sexy non plus. Les portes de l'ascenseur sur un groupe d'adolescent. Ils parlent entre eux sans trop porter attention a mon entrée. À l'exception d'un d'entre eux, il tape sur l'épaule d'un de ses amis et lui fait signe de regarder vers moi. Tous se tournent vers moi, le regard insistant. Je me sens gêner, j'ai le reflex de croisées les bras devant moi comme pour me protéger. Je n'ai pas besoin de poussé la réflexion si loin pour deviner qu'ils ont vu la photo. Je m'appuis contre le mur de l'ascenseur et attend patiemment qu'elle arrive au troisième étage, où se trouve la chambre de Max. Je pourrais facilement gagner un record pour la fille qui quitta l'ascenseur le plus rapidement. Je marche en direction de la chambre et arrête d'un coup sec lorsque je me trouve devant sa porte. J'expire et cogne a la porte.

Max

Je vois une Rachel plutôt timide devant moi, clairement je la rends mal à l'aise. Pour me reprendre de ce matin, je l'attire vers moi et la prend dans mes bras. Sitôt sa tête sur mon torse je la sens tremblée. Je passe ma main dans ses cheveux pour la soutenir, et c'est la que j'entend ses sanglots. Elle pleure, habituellement, je ne suis pas à l'aise avec la l'expression de sentiment, cependant cette fois tout me viens naturellement. Je referme la porte derrière nous et je la soulève et la porte a mon lit.

Ce que j'ai pu faire vivre à cette pauvre fille, après j'ai la prétention de me dire que j'en suis amoureux.

Je lui laisse le temps de tout évacuer sa peine. Même moi par moment, je sens mes yeux devenir humides. Elle ne méritait pas ce qu'il lui arrive.

­-Je suis tellement désolé, si tu savais comment je m'en veux.

Je flatte son dos en réconfort. Elle lève les yeux vers moi et laisse sortir son premier mot de la soirée :

-Je ne t'en veux pas, ce n'est pas plus de ta faute que de la mienne.

Je vois toute de suite qu'elle essaie de me soulager moi, plutôt qu'elle.

-Bébé, c'est à cause de moi que cette image se retrouve partout, si je n'étais pas connu, personne n'aurait accordé de la valeur a cette photo.

J'appuie ma tête contre la sienne, putain que j'ai envie de l'embrasser, mais je ne sais pas si c'est une si bonne idée. Elle est pas mal ébranlées, et je sais que ce que je dois lui dire risque d'empiré les choses :

-As-tu parler avec Christian ? Me demande-t-elle.

Elle m'ouvre la porte, je dois lui en faire part tout de suite, sinon je n'en aurais jamais le courage.

-Oui, il a fait beaucoup de contrôle de dommage aujourd'hui, les commanditaires n'étaient pas très heureux. Il m'a laisser courir pour eux mais a quelques conditions.

Je vois son sourire grandir dans son visage, j'y lis même du soulagement.

-Je suis tellement contente, j'étais tellement inquiète de te nuire.

Elle met ses mains autour de mon visage et me tire vers elle. Avant que je puisse l'éviter, nous bouchent entre en contact. À partir de ce moment, je ne contrôle plus rien. Évidement que ma queue entre en scène, elle est dure comme de la roche. Rachel me pousse vers l'arrière pour me coucher sur mon lit. Elle embarque sur moi tout en continuant son attaque de baiser. Clairement elle a senti mon mini, qui frictionne entre ses jambes :

-Rachel... nous... ne devrions... pas faire ça. Je réussis à articuler entre deux baisers, toujours plus cochon les uns des autres. Sa bouche aspire ma lèvre et mon bassin se soulève en réaction.

-Tu en a envie autant que moi! Je le sens sur moi. Gémit-elle bruyamment.

Oh Mon dieu, je vais aller en enfer pour ça, Putain c'est évident que je veux être en elle, sa chatte et ma queue fond un mariage parfait.

Je la fais descendre de sur moi, pour aller chercher un condom dans mon sac, le temps de me retourner elle s'est déjà dénudée sur mon lit. Elle est couchée sur le dos les jambes bien ouvertes.

Bordel je rêve ou elle est en train de s'auto satisfaire?

Ses doigts la pénètrent et là l'autre main elle se masse la poitrine. Les yeux mi-clos et mord sa lèvre.

-Tu es la plus belle chose au monde bébé, te voir comme ça...Ouf!

Je me dévêtis dans le temps de le dire, je m'approche d'elle tranquillement, je profite du spectacle. Ses petits grondements font sursauter ma queue. J'arrive pour me toucher, mais je suis tellement excité que je préfère vivre mon plaisir à l'intérieur de Rachel.

Je pose mon genou sur le lit et prend place entre ses jambes. Je laisse une trainer de baiser de sa jambe a son entre-cuisses. Ma langue prend la place de sa main et je déguste.

Si c'est pour être la dernière fois que je peux vivre se plaisir, je vais en profiter pleinement.

En ce moment, rien n'est plus important que son plaisir a elle, ni la course, ni les patrons, seulement elle. J'aspire tranquillement son petit bouton nervuré et elle cambre les hanches.

-Maxxx...Putain que c'est bon.

Je passe proche venir sur le lit directement quand je l'entends jurer ainsi...

Elle met ses mains dans mes cheveux et guide les mouvements. Je sens ses jambes se resserré autour de moi. Ses cries s'intensifient, je sais qu'elle est en train de jouir solidement sur mon visage, je continue mes caresses jusqu'à ce qu'elle redescende.

-C'était...c'était... Mon dieu, je ne trouve même pas de mot assez fort pour décrire ce qui vient de se passer. Marmonne-t-elle à bout de souffle.

Je me soulève pour l'embrasser tendrement, elle prend ma queue dans sa main et m'offre le plus sérieusement du monde :

-Laisse moi te retourner l'appareil, je veux te baiser avec ma bouche.

Pourquoi faut-il qu'elle me dise des choses comme ça, je suis un homme mort.

Je la regarde entre deux caresses de ses mains et lui offre doucement :

-Rachel, autant que je n'aime rien de plus que ta bouche autour de ma queue, j'aimerais te faire l'amour, si tu me le permet...