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PDV RAFAEL: (les dialogues se font en espagnol)

- PUTAIN DE MIERDA DE MERDE. Comment ça ils sont mort depuis si longtemps et je vient de l'apprendre? Qui les a tuer?

- Je ne sais pas patron mais ils avaient une fille

- Je m'en contre bas les couilles de sa fille putain. Comment mon business va fonctionner en Amérique si il n'est plus là ba HEIN JE PEUX SAVOIR? TU AS UNE PUTAIN DE RÉPONSE À ME DONNER PEDRO?

- No patron no jefe je ne sais pas.

- Sort.

Et il sortit avec la crainte dans ces yeux que je ne le bute. Putain de mierda. Il va falloir que j'aille sur place. Je déteste LA.  Je déteste leur plage pourrie. Je déteste leur putain d'accent quand il essaie de parler espagnol. Je déteste leur bouffe. Je déteste leur météo. Je déteste leur chicas. Je déteste tout et putain je vais devoir y aller à cause d'un connard qui a buter l'homme qui bossait pour moi la ba.

Je m'enfonçai un peu plus dans le siège en cuir de mon bureau. Je me masser les tempes avec mes mains noircit d'encre. Putain de mierda. Je sors une clope et la brûle. La fumée rentre dans mes poumons et me détend. Mais pas assez. Ce n'était pas assez j'en avais besoin de plus. Alors j'attrape un joint et sort de mon bureau en claquant la porte. Je sors de cette baraque, monte dans ma caisse et roule jusqu'à cette petite maison à la limite de la ville. Je jetai la voiture dehors et sortis en continuant de taffer sur mon joint.

Une maison close

Ma maison close.

Voilà où j'avais atterrie. Je rentra dans la maison. Plusieurs signes de tête pour me saluer se font auxquels je ne réponds que par de simple coup d'œil. Je monte aux deuxième étage et vais vers la chambres 25.

21..22...23...24

- salut tu veux rentrer?

Ha 25 voilà je rentre dans la chambre en ignorant la pute qui m'a arrêter. J'irais la baiser plus tard. Pour l'instant la seule pute que je voulais était dans la chambre 25.

A peine rentré qu'elle se jette sur moi. Je ne dis rien et je laisse faire. J'avais besoin d'oublier. J'avais besoin de me calmer. Parce que si je ne me calmait pas j'allais buter du monde. Du beau monde. Pas que cela me dérange bien au contraire. J'aime sa. J'aime enlever la vie à des gens innocents. Ou pas d'ailleurs. Peu m'importe. J'aime voir dans leurs yeux au dernier moment une lueur d'espoir. L'espoir que j'ai pitié et que je les épargne. Ça n'est jamais arrivé. J'aime voir dans leurs yeux les larmes. J'aime les voir et les entendre me supplier d'arrêter. Me supplier de leur laisser la vie sauve. Et c'est à ce moment que je donne le coup de grâce. Une balle. Il suffit d'une seule balle pour tuer. Pour enlever toute vie humaine. Un si petit bout de plomb peut faire si mal. Un si petit bout de plomb peut engendrer tellement de conséquences. Tout peut partir de ce simple morceau de plomb.

Elle est toujours sur moi alors je profite pour finir mon joint. Chose faite, je prends les choses en main. Je la retourne et me mets sur elle. Je vois qu'elle essaye de m'embrasser mais c'est mort. Je ne fais pas dans le sentimentale. Je suis pas là pour t'embrasser et te dire que tout va bien se passer. Je suis là pour te baiser. Et c'est exactement se que je vais faire.

Et elle le comprend. Elle comprend que je n'ai pas changé alors elle se rallonge et ne dit rien et moi je pénètre en elle.

Elle crie.

Sa n'a rien de passionnel c'est purement sexuelle, animal.

Une fois fini, je me rhabille et je sort. Je vais dans le bureau du fond voir l'homme qui s'occupe de gérer ce bordel pour moi. Je le trouve avec des filles autour de lui. Comment résister quand vous travaillez ici.

Tristesse (terminée)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant