Je vous poste un autre chapitre parce que je viens d'écrire le chapitre 59 et je suis en pleure alors je voulais vous faire plaisir avant que vous pleurer aussi ;(
Je sors en courant et demande au voiturier la voiture. Il m'annonce que les garçons sont partis avec et qu'il serait ravi de m'appeler un taxi. Je hoche la tête et attend le taxi. j'espère qu'ils sont à la maison.
Tout le trajet je stress, je fais tourner la bague sur mon doigt en espérant qu'ils vont m'écouter et me pardonner.
Je rentre dans la villa en courant et ils sont tous devant la porte. Gabriel prend la parole:
- qu'est ce que tu fait la?
- bah c'est moi et je voulais vous parler.
- On ne veut pas parler à une menteuse, répondit Raphaël.
Je baisse la tête et c'est seulement à se moment la que je voit leur valise:
- qu'est ce que vous faites avec vos valises?
- on rentre chez nous. On t'enverra tes affaires ne t'inquiète pas ce n'est pas la peine de rentrer. C'est ici chez toi maintenant.
Ces mots sont comme des couteaux qu'on me plante dans le cœur. J'essaie de les arrêter mais rien à faire. Ils rentrent dans les voitures et partent. Je reste seule sur le porche de ma maison. Je m'écroule au sol en larme et j'entend une voiture se garer dans l'allée. Je ne fais pas attention et cache mon visage avec mes mains. Les sanglots redoublent. Je sens des mains se mettre sur mes épaules et quand je relève la tête je tombe sur le regard de ma mère.
Je tombe en larme dans ses bras et mon père vient l'aider à me lever. Ils m'amènent dans ma chambre et mon père sort avant de m'embrasser. Je m'allonge sur mon lit et je sens ma mère me retirer mes chaussures. Elle s'allonge à côté de moi et je ne peux pas m'empêcher de la prendre dans les bras. Je lui explique tout ce qu'il c'est passé et ce que les garçons représentent pour moi.
- tout va s'arranger, tu verras. Qui doit se retrouver se retrouvera. Patience.
- Je ne veux pas patienter, je ne peux pas. Je ne suis rien sans eux. Je ne pourrais pas... je... je les aime... Je l'aime tellement. Il m'a sauvé, il m'a soigné et je ne peux pas vivre loin de lui.
- On s'habitue à tout et tu n'as besoin de personne pour vivre ma fille. Maintenant si tu l'aime c'est autre chose. Je te conseille de dormir et demain nous irons avec toi au mexique. Tu vas réussir à leur parler ne t'inquiète pas. S' ils t'aiment autant que tu les aimes, ils te pardonneront.
Je la remercie et m'endors dans ses bras, les larmes qui coulent sur mes joues. C'est la première interactions que j'ai avec ma mère et je ne sais pas si c'est l'instinct ou un 6eme sens qui nous lie à notre mère mais j'ai l'impression de l'avoir toujours connu.
J'ai passé une très mauvaise nuit. Je me suis réveillé pour me démaquiller et me mettre en pyjama et je n'ai pas réussi à dormir. J'ai pleuré toute les larmes de mon corps et je pense ne plus avoir d'eau.
Je me suis levée à 7 heures et depuis je suis assise sur le canapé, ma valise à côté de moi. J'attend mes parents pour partir. Ils arrivent vers 8h30 et nous partons en direction de l'aéroport.
J'ai les yeux rouges et gonflés je le sais. Je touche ma bague tout le trajet. Je suis angoissée et toutes sortes de scénarios passent dans ma tête. Je l'aime et je sais que je ne pourrais pas vivre sans lui. Sans eux. Mes frères. Je ne pensais pas les aimer autant, je ne pensais pas mettre attaché autant mais je me rends compte maintenant qu'une vie sans eux n'est pas une vie.
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Tristesse (terminée)
Teen Fiction« He je le connais depuis un bon bout de temps. Même si je vais lui parle tu vas rester ici un petit peu alors n'hésite pas à le rendre chèvre. Il faut que tu le rende fou ». « Je t'avais demandé de le rendre fou pour qu'il en ai marre de toi pas d...