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Il s'est approché de moi et il a sécher mes larmes tout en me disant.

- Redouane : (en chuchotant) T'aurais pu être ma femme mais j'suis pas fait pour être le mari idéal pour toi. InshaAllah on se reverra et je te jure qu'à ce moment là t'aurais déjà trouvé meilleure que moi.

Il me fait un bisou sur le front.

- Redouane : Je t'aime princesse.

Et c'est après ce mot là qu'il s'en est aller avec sa voiture, je le regardais partir les larmes aux yeux, son véhicule qui s'éloignait de plus en plus jusqu'à c'que je l'a voit disparaitre derrière les bâtiments.

À ce moment je savais même plus quoi faire. Je suis qu'un grosse conne j'aurais dû lui répondre depuis bien avant mais je l'ai pas fait. Il a raison je faisais que de rester à la fois avec Youssef puis avec lui. Je faisais la girouette je m'étais pas rendu compte que ça le déplaisait autant.

En vrai si j'aurais dû faire un choix je sais pas qui j'aurais choisis. Déjà Youssef je restais avec lui parce que je lui avais promis et je me suis senti obligé de rester avec lui parce que quand je me sentais seul il était là pour moi. Quand les filles me parlaient plus, quand Redouane était en prison, quand Chaïma venait d'avoir sa maladie pendant tout ces moments je me sentais mal tellement mal. Je faisais que déprimer et lui Youssef il a été là pour moi donc je lui doit déjà ça. Surtout que sa fille est décédée, sa seule fille, il se sent tellement mal je peux pas le laisser. C'est pour ça que je reste avec Youssef.

Mais Redouane lui c'est pire. Lui je l'aime et je l'aimerais toute ma vie! Jamais je pourrais passer à autre chose c'est le premier homme dont je suis tombée amoureuse et c'est le seul. Je peux pas vivre sans lui c'est juste impossible. J'aurais aimé reculer le temps et effacer toute les histoires qui y'a eu, comme ça il ne m'aurait jamais frappé dans la forêt, on se serais jamais séparé. Ça c'trouve on serait mariés, on aurait déjà eu un enfant. Mon Dieu quand j'y pense j'ai chaud au cœur.

Je suis direct rentré chez moi, devant mon bloc j'ai bien séché mes larmes puis j'ai pris l'ascenseur.

Arrivé à ma porte c'est Mohnem qui ouvre, j'entre et direct je vais dans ma chambre. Je me suis mise en pyjama et je me suis allongé sur mon lit.

Quand la porte de ma chambre s'ouvre, je me redresse et c'était Mohnem.

- Mohamed : Wesh toi.

Depuis quand il me reparle lui?

- Moi : Ah salam.

- Mohamed : (en entrant) Qu'est-ce t'a?

- Moi : J'ai rien.

- Mohamed : Kedeba, belek (menteuse peut-être) t'a pleurer?

- Moi : Nan j'ai juste mal au yeux.

- Mohamed : Hum, enfaite l'autre jours tu m'avais dit que t'a parlé avec Nessra.

Sheirazade - Les destins liés Où les histoires vivent. Découvrez maintenant