Une vie stable, un quotidien banale, une existence ordinaire dans sa cité. Pourtant Sheirazade l'ignore mais cette rencontre fera prendre un tournent décisif à sa vie.
Ce regard et tout change. Ce regard et rien ne sera plus pareil...Cette rencontr...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
❦
[...] Lendemain...
Je me réveille à 7h, je prend mon phone et là je vois que j'ai reçu un message de Ramata.
Je l'ouvre et ça dit.
« Salam Sheiraz, je c ke t enkor vénère contre mwa ms j'aimerais ke tu me pardonne mtn ça fs déjà plusieurs mois ke tu me parle tjrs pls et tu commence réellement à me manker. Jc ke cke g fs ça c'fs ps mais wllh je m'en excuse sincèrement. J'espère ke tu me pardonnera vite ».
J'ai relus le message une 2eme fois et franchement je sais pas quoi penser. Je sais qu'un jours je l'a pardonnerais mais pas maintenant j'en ai marre qu'on me dise que je pardonne vite.
Je repose mon téléphone et par me doucher etc... Ensuite je m'habille pour aller au taf.
(...) Je fini à 18h, je marchais vers l'arrêt de bus pour rentrer quand une voiture me klaxonne, je m'avance et c'était Youssef.
- Moi : Ah salam.
Il hoche la tête pour me rendre mon salam, il a l'air bizzare.
- Moi : Ça va?
- Youssef : Ouais monte dans la voiture.
Je monte et met ma ceinture puis il commence à rouler.
- Youssef : J'peux te confier les clefs de chez moi?
- Moi : Bah ouais s'tu veux. Pourquoi?
- Youssef : Demain je vais en Arabie Saoudite.
- Moi : Ah finalement tu va y aller pour prendre des vacance?
- Youssef : Nan pour l'enterrement de Nesrine.
- Moi : Ah...
Je savais pas quoi dire, il avait l'air atristé. Je ne dit rien et on continue de rouler je n'sais où.
Quelques minutes après.
- Moi : On va où?
- Youssef : J'sais pas tu veux aller où?
- Moi : On va voir Fatou à l'hôpital?
- Youssef : Nan t'haleur j'y suis passé et y'a trop de fils de pute.
- Moi : Hein?
- Youssef : Y'a tout les Redouane et t'ça là.
- Moi : Ah ok.
- Youssef : Bah viens on va chez moi tu m'aide à faire mes valises hefek.
- Moi : D'accord.
Il conduit jusqu'à chez lui, on sort de la voiture et on monte dans son bloc.
Bref arrivé à son étage, il ouvre et on entre et vous savez quoi? C'était le même bordel que la dernière fois.