Un jour alors que j'étais en plein travail, le manager de Marlon entre.
- Bonjour monsieur
- Mais qui voilà !
- Que puis-je faire pour vous ?
Il s'approche de moi en me regardant de la tête aux pieds.
- Si tu savais. J'ai pleins d'idées en tête.
Je sens mon pouls s'accélérer alors que je réalise que la situation prend une tournure inquiétante. Le sourire du manager me met encore plus mal à l'aise, et je cherche rapidement une issue à cette conversation dérangeante.
- Je suis désolé, monsieur, mais je ne suis pas intéressé par ce genre de proposition. Je vous demande de partir immédiatement. Ma voix tremble légèrement, mais je tente de rester ferme. Le manager, cependant, semble déterminé à poursuivre.
- Allons, ne sois pas si prude. Je sais reconnaître le talent quand je le vois, et tu es plein de potentiel. Marlon ne te mérite pas à lui seul.
Je fronce les sourcils, de plus en plus mal à l'aise face à ses commentaires inappropriés.
- C'est inacceptable. Je vous demande une fois de plus de partir maintenant.
Ne m'écoutant pas, il continu de se rapprocher de moi.
- Ce n'est pas une petite souris comme toi qui me fais peur. J'en ai connu de bien plus rebelle que toi qui ont finis par céder et adorer.
Mon cœur bat la chamade alors que la situation devient de plus en plus tendue. Je recule légèrement, sentant le stress monter en moi face à l'insistance du manager. Mes pensées s'embrouillent, mais je lutte pour garder mon sang-froid.
- Je vous préviens, monsieur, vous êtes en train de franchir une limite. Je vous demande de reculer et de partir immédiatement.
Son sourire s'agrandit, comme s'il prenait plaisir à me voir mal à l'aise.
- Tu es mignonne quand tu t'énerves. Mais tu devrais apprendre à être plus... coopérative.
Je sens l'adrénaline monter en moi alors que je réalise que je dois agir rapidement pour me sortir de cette situation. Sans réfléchir, je me saisis du téléphone sur mon bureau.
- Si vous ne partez pas tout de suite, je vais être contrainte d'appeler la sécurité.
Le manager semble enfin prendre conscience de la gravité de la situation, et son expression se durcit légèrement.
- Tu ne sais pas à qui tu as affaire, petite et tu ne me fais pas peur.
La tension entre le manager et moi atteint un pic. Je maintiens mon regard fixe sur lui, essayant de dissimuler le tremblement de mes mains et de garder mon sang-froid malgré la peur qui me tenaille.- Partez, si vous n'avez pas de tenus pour Marlon à prendre. J'ai du travail.
Ma voix tremble légèrement, mais j'essaie de rester ferme, refusant de céder à ses intimidations. Le manager semble momentanément surpris par ma réponse, mais son expression se durcit rapidement.
- Tu sais que tu ne pourras pas me fuir bien longtemps.
Sa menace implicite fait monter encore d'un cran mon anxiété, mais je refuse de lui montrer ma vulnérabilité.
- J'ai déjà dit que je n'étais pas intéressé par vos propositions. Si vous n'avez rien de professionnel à dire, je vous demande une fois de plus de partir immédiatement.
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Tu es ma haine
RomanceSophie une étudiante en stylisme va gagné le concours que son école organise. Elle va devoir créer pour Marlon un mannequin de renommé. Celui-ci la déteste sans la connaitre. Il va tout faire pour qu'elle arrête la mode.