A cette époque, lors du deuxième règne du roi Stark II, les femmes avaient commencées à réclamer des droit. Avec raison, évidemment. Natasha, la meilleur amie du seigneur, avait réussi à lui faire voir leur point de vue. Après une courte entrevue entre les deux, Tony avait appelé son messager, lui demandant de répandre les nouvelles chez la population : Les femmes pouvaient à présent devenir chevalière, ou tout autre métier avant réservé aux hommes. Par la même occasion, il annonça son futur mariage, qui aura lieu dans le grand jardin du palais.
Dans une petite maison de bourgeois, une jeune femme fut ravie de la nouvelle. Décidée à devenir une guerrière, elle s'engagea avec les chevalier du roi, commençant un entraînement intensif. En arrivant parmi tout les hommes, elle fut surprise de n'apercevoir aucune autre femme l'accompagnant. Elles avaient peut-être préféré attendre ? Ou elles n'avaient pas reçu la nouvelle pour le moment ? Bref, n'y faisant pas plus attention que ça, elle enfila une armure de chevalier pour aller s'entraîner au combat, dans la grande prairie réservée à l'entraînement.
Au début, elle fut rejetée. La plupart des autres chevalier prenaient extrêmement mal le fait qu'elle puisse avoir accès à leur métier. Ils se moquaient d'elle à la moindre erreur, appuyant bien sur le fait qu'elle était seule et que les autre femmes avaient bien compris que ce métier n'était pas fait pour elles.
"CAROL ! S'exclama son chef de groupe; Viens voir ici !"
Supposant qu'elle avait encore mal réalisé quelque chose, ses camarades du sexe opposés se mirent à rigoler en se fichant d'elle. Elle n'y prêta guère attention et marcha d'un pas décidé vers le plus haut gradé, qui la regarda s'approcher, en lançant un regard noir aux moqueurs derrière elle qui stoppèrent leur hilarité.
"Oui, chef ?
-La princesse Morgan voudrait vous voir. Lui indiqua-t-il; Elle se trouve en compagnie de sa marraine, au niveau de la salle du trône."
Carol acquiesça et baissa respectueusement sa tête en se déplaçant dans le bruit de l'armure insupportable, en direction du palais. En quelques minutes seulement, elle débarqua dans la salle du trône et se courba devant le roi, assis dans son trône.
"Relevez-vous, chevalière. Lui indiqua-t-il; Ma fille voudrait vous parler."
La soldate se releva, un visage sérieux, et déposa son regard sur la princesse qui, du haut de ses quinze ans, faisait plus vieille que son âge. Le décès de sa mère, la défunte reine Pepper Potts, l'avait fait grandir plus vite que prévue et elle s'approcha de Carol en souriant.
"J'aime beaucoup vous regarder vous entraîner du haut de ma chambre. Commença Morgan; Cependant, j'ai eut l'impression que cette armure n'était pas bien taillé pour votre corpulence."
Un ricanement au fond de la pièce retentit, provenant d'un chevalier, sûrement également blessé dans son égo, et la princesse le fit taire d'un regard. Il baissa sa tête en signe de soumission et Morgan reporta aussitôt son attention sur la chevalière en face d'elle.
"Je pensais vous réaliser votre propre armure taillé parfaitement pour vous. Cela vous plairait-il ?
-Je dois avouer que cela me serait plus pratique. Indiqua Carol; Je vous remercie de faire attention à ces petits détails, votre majesté.
-Ne vous en faites pas, c'est avec plaisir que je le fait. Ma marraine, derrière moi, vient de commencer à apprendre à travailler à la forge. Peut-être pourra-t-elle réaliser votre future armure, qu'en dîtes-vous ?
-C'est une très bonne idée." Acquiesça Carol en lançant un regard à la dîtes marraine, derrière Morgan.
Elle était très belle. Ses cheveux roux étaient tressés sur son épaule droite et ses yeux étaient profond et hypnotisant. En sortir fut un vrai combat pour la soldate blonde et elle fit un signe de tête en reculant, pour saluer les deux membres de la famille royale en s'éclipsant de la pièce.
VOUS LISEZ
Fiction In Suspension
Ficción GeneralUn recueil contenant plein de nouvelles que j'ai écrite dans le temps, étalés sur mes deux précédents comptes. Il y aura des débuts de fanfiction jamais continuées, que peut-être un jour je reprendrai si vous le voulez ? Ou si j'en ai l'envie ? Quo...