Valérie Hayer × François-Xavier Bellamy

CHAPITRE 52: la fille du con

C'est le dernier chapitre avec une écriture médiocre après vous verrez c'est bien mieux.

(PS : le chapitre est inutile c'est juste pour 🤷🏻‍♀️ enfin vous verrez quand on découvrira qui est • l'inconnu(e) • )

Ah oui et aussi sachez que oui c'est bientôt la rentrée pour moi aussi et que je vais me concentrer là dessus.

Nan je rigole j'men fou mais vas y si je fais pas attention on va m'attraper.

Mais c'est pas pour ça que j'abandonne l'histoire. J'écris jour et nuit pour être sûr de finir avant la rentrée donc il y aura sûrement des chapitres publiés après ma rentrée mais ils seront déjà terminés depuis un certain temps.

Enfin bref soyez tranquilles l'histoire et bientôt terminé et vous n'aurez pas une fin bâclé c'est promis.

Enfin bref

Bonne lecture quand-même 👋🏻 🫶🏻
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En milieu d'après-midi alors que je travaillais Alexander ouvrit la porte et derrière lui se tenait une fille qu'il laissa entrer.

- salut François euh j'avais donné rendez-vous à ma pote et ben elle est à l'heure contrairement à moi je vous laisse 15 minutes le temps de finir un truc et après je reviens

- oui pas de problème

La fille s'installa sur une chaise non loin de François-Xavier et sortit son téléphone. Elle resta un moment dessus avant de commencer à engager une discussion.

- j'espère que je ne vous dérange pas pour travailler ?

François-Xavier releva la tête pour être poli et accordé de l'attention à la personne en face de lui.

- non non ne vous inquiétez pas

- oh ok sinon vous connaissez depuis longtemps Alexander  ?

- euh six ans environ et vous ?

-  deux ans

François-Xavier lui souria en guise de réponse, la discussion était loin d'être fluide, c'était plutôt une discussion forcé comme quand ta mère à force a parler à sa tante la folle qui te tire les joues.

Quand François-Xavier se reconcentra sur son ordinateur il sentit la fille en face de lui se lever, il jeta un coup d'oeil vers la porte pour voir si Alexander était revenu ce qui expliquerait pourquoi elle se lève mais non il n'était pas là.

Au lieu de sortir elle s'approchait de lui.

Son regard me transperçait, j'avais l'impression de voir l'incarnation de mes cauchemars, ses yeux m'inspiraient uniquement la peur. J'exagère sûrement mais au cas où je prit mon téléphone et envoya un message à Valérie pour lui dire de venir me rejoindre. J'avais développé la même habitude qu'elle qui était de toujours avoir mon téléphone près de moi et je pense qu'en ce moment j'avais bien fait.

Je regardais mon écran espérant qu'elle voit le message mais rien ne s'affichait, pire, la fille s'approchait de moi au point d'être au bout de mon bureau. Je ne pût même pas lui dire de reculer qu'elle m'arracha mon téléphone des mains.

La fille s'approchait dangereusement de François-Xavier, il était assis et elle débout, il était coincé.

Le message de François-Xavier m'avait paniqué, ce n'était vraiment pas dans ses habitudes de me demander de venir sans raison. J'avais donc immédiatement quitté mon bureau et j'étais monté à son étage en quelques secondes seulement.

J'ouvris la porte sans demander l'autorisation et je vis une femme la main posé contre le torse de François-Xavier.

J'aurais vraiment pû m'arrêter à ça et me dire qu'il était juste tombé dans les bras d'une autre femme mais quand son regard se posa sur moi je vis plus de la peur, de la panique. Si je ne le connaissais pas si bien j'aurais pensé qu'il était effrayé que je voie dans cette position, mais non il avait peur de la femme au dessus de lui.

Sans réfléchir plus que ça je fonça sur la femme et lui attrapa de poignet pour enlevé sa main du torse de François-Xavier.

Je m'apprêtais à lui hurler dessus mais c'est le moment qu'Alexander avait choisi pour rentrer comme une fleur. Il regarda l'entièreté de la pièce comme s'il jouait au jeu des sept erreurs ce qui m'agaça.

- Alexander c'est qui elle

Elle me regarda comme si je l'avais insulté de ne pas avoir trouvé son nom mais je m'en fichais, je l'aurais sûrement égorgé si Alex ne serait pas entré alors elle allait se contenter de ça.

- c'est ma pote pardon

- qu'es qu'elle fait ici

- on devait se retrouver ici lâche la t'inquiètes

Je la lâcha après lui avoir lancé un regard noir.
Alexander la rattrapa et la fit sortir avant de retourner vers l'intérieur de la pièce.

- pardon elle est un peu erotomane je pensais pas qu'elle te sauterai dessus François

- dégage Alexander

- je m'excuse vraiment si tu savais

- SI TU SAVAIS QU'ELLE AVAIT UN PROBLÈME TU AURAIS DU LUI DIRE T'ES COMPLÈTEMENT INCONSCIENT

Il baissa la tête et se retourna sans oser m'adresser un regard de plus.

Après avoir soufflé un bon coup pour calmer la colère que je ressentais je me tournai vers François-Xavier. Il était toujours assis et regardait le vide. Je m'accroupis près de lui et pris ses mains dans les miennes.

- ça va ?

Sa voix était douce, elle l'était à chaque fois qu'elle s'adressait à moi. Mais cette fois en particulier elle l'était encore plus, comme si elle avait peur de me briser rien qu'avec des mots.

/

Il tourna sa tête vers moi et me regarda avec tendresse comme il le faisait à chaque fois, son visage s'était légèrement adouci.

- oui ça va

- elle ne t'a rien fait ?

Cette question me touchait en plein cœur. Elle avait toujours été si compréhensive vis a vis de mes peurs qu'au début je pensais qu'elle se moquait de moi mais avec le temps j'avais compris que se que je ressentais l'intéressait vraiment.

Elle avait été si patiente avec moi, elle me rappelait sans cesse que je devais penser à moi avant tout, j'avais oublié ce qu'était la bienveillance avant de la rencontrer.

- non ne t'inquiètes pas

(Pdv Valou)
Dit t'il d'une voix rassurante. Il voulait me calmer de quoi ? J'en sais rien.

(Pdv FX)
Je voulais éviter qu'elle ne retourne aller attraper la fille, je savais que quand il s'agissait de moi elle pouvait se montrer assez protectrice alors j'avais rendu le ton de ma voix le plus rassurant possible pour qu'elle ne sois pas inquiétée.

(Pdv Valou)
Je lui souria contente de cette réponse vraiment rassurante pour le coup avant de jeter un coup d'œil à ma montre.

- viens la journée à été assez longue, on rentre

- ensemble ?

- oui