CHAPITRE 50 : I was made...

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La première scène c'est vraiment en bonus MAIS ce sera utile pour la suite

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( Point de vue Nicolas)

Je me promenais dans les rues depuis une heure maintenant, c'était devenu une habitude pour moi. Pendant ces moments là où je regardais uniquement les lumières éclairer les bâtiments rien ne me contrariait, je me vidais l'esprit.

je m'attardais sur l'immensité du ciel et je ne faisais plus attention à ou je mettais les pieds quand au moment où je dû tourner au coin d'une rue je percuta un homme. Je vacilla mais au lieu de s'énerver il me rattrapa par le bras et me redressa avant que je ne tombe.

En relevant les yeux je rencontra son regard, ses yeux noir plongèrent dans les miens, je ne pouvais pas détacher mon regard du sien, ses yeux capturait les miens d'une manière que je n'avais jamais connu. Un sourire se dessina sur son visage avant de me parler.

- vous auriez pu trouver plus original pour m'aborder

Sa voix était la voix la plus suave que j'ai entendu de ma vie, elle m'avait déstabilisée, rien qu'entendre de brin de cette voix quelques secondes m'avait fait frissonner.

- je,je n'ai pas fait exprès pa-pardon

À peine avais-je fini ma phrase qu'il tira mon bras près de lui, je me retrouvais à présent collé contre son torse, j'avais l'impression que ses yeux pouvaient me brûler à tout moment.

Son souffle chaud venait s'écraser sur ma nuque et ses lèvres qui touchaient mon oreille s'ouvrir pour laisser encore une fois cette voix magnifique arrivée jusqu'à moi.

- vous avez quelqu'un dans votre vie?

Sa question était directe et montrait clairement ses intentions mais je ne doutais pas de ma réponse.

- oui

Malgré cette réponse que j'avais espéré le dissuadrai de s'approcher de moi mais il resta toujours aussi proche.

Je profitais de cet instant pour le regarder plus attentivement, il avait quelques centimètres de plus que moi et certainement une dizaine d'années de plus.
( Nicolas à 29 ans)

- vous l'aimez ?

Grand silence, je ne savais pas quoi répondre, je ne m'étais jamais posé la question en fait, Alexander c'était interressé à moi et moi aussi alors on se rapprochait mais je ne savais pas si je l'aimais vraiment.

- ah vous voyez, j'ai peut être encore une chance alors

Il enleva toute la prise qu'il avait sur moi et il baissa la tête pour me murmurer en frôlant mes lèvres.

- surtout dès que j'ai la moindre chance appelé moi

Et il glissa un petit papier dans ma poche avant de se redresser mais avant de partir il ajouta.

- ah oui j'oubliais moi c'est Stéphane Séjourné et habitué vous à entendre se nom de famille parce qu'un jour vous le porterez

Et il était parti après ça, m'adressant un regard malicieux que je n'étais pas près d'oublier.

***

Le lendemain après avoir passé une partie de la matinée ensemble François-Xavier et Valérie s'étaient rendus ensemble au parlement européen et s'étaient séparés pour aller chacun de leur côté sans leur bureau respectifs.

Quand François-Xavier entra dans son bureau il eut un mauvais pressentiment, il essaya tout de même de l'ignorer et de se rassurer en essayant de se convaincre que c'était peut-être dû à l'absence d'Alexander mais quand il posa ses affaires et s'installa il remarqua une enveloppe posé en haut de sa pile de dossier.

Il la prit et la regarda en détail mais rien n'était marqué dessus, il l'ouvrit donc intrigué par ce qui allait encore lui tomber dessus( jamais 2 sans 3 ).

Il y avait un petit mot accompagné d'une carte du loup Garou représentant cupidon.

* Je n'abandonnerai pas aussi vite qu'elle, je n'en ai pas fini avec vous *

Ce n'était vraiment pas rassurant mais que pouvais-je y faire ?

Rien.

Appart en parler à Valérie, il n' avait rien à faire.

François-Xavier continua donc de travailler jusqu'à midi où il décida d'aller manger.

Il mit le mot qu'il avait trouvé dans sa poche histoire que personne ne tombe dessus puis quitta son bureau.

Après avoir tourné à l'angle d'un couloir j'aperçus Valérie au téléphone qui elle aussi à ma grande surprise prenait visiblement une pause.

Elle était dos à moi étant donné qu'il n'y avait personne j'attendis qu'elle finisse son appel pour me rapprocher d'elle et la prendre dans mes bras par derrière.

Elle sursauta quand je posa mes mains sur ses hanches mais quand je mit ma tête dans le creux de son cou elle me reconnut et posa sa main sur ma joue. J'embrassa ses cheveux avant de profiter de l'instant pour lui parler de la lettre que j'avais reçue.

- tiens Valérie j'ai trouvé ce mot à l'intérieur d'une enveloppe dans mon bureau

Elle regarda le papier avant de me regarder avec un sourire visible ça ne l'atteignait pas.

- décidément ils ont plusieurs cartes à jouer

- c'est tout ce que ça te fait ?

- bah oui tu veux que ça me fasse quoi ? mais bon le côté positif c'est qu'on peut en déduire que c'est quelqu'un de très proche ou quelqu'un qui travaille ici et de ton côté encore une fois

- attends tu veux dire quoi par là

- on vas bien découvrir qui a écrit ça ?

- ah non, tu vas rester en dehors de ça comme moi d'ailleurs on ne vas pas prêter attention à ça

- mais pourquoi ?

- on à déjà assez subis à cause de ça

( Enfin "on" c'est ta faute mais t mignon alors on te pardonne)

François-Xavier avait pris mon visage entre ses mains, j'avais remarqué qu'il faisait tout le temps ça quand il était stressé. Je posa donc mes mains sur les siennes et les caressa.

- d'accord comme tu veux

Je l'ai pris dans mes bras en passant mes mains dans son dos pour le rassurer et il s'était détendu. Nous avions ensuite décidé d'aller manger ensemble avec quelques collègues.

Valérie Hayer × François-Xavier Bellamy Où les histoires vivent. Découvrez maintenant