CHAPITRE 57: le protecteur de Valérie

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Je suis fière de vous annoncer que le dernier chapitre à trouver sa fin( par contre pas l'avant dernier(oui j'ai pas écrit dans l'ordre et alors ?)) et j'écris l'avant dernier un peu tout les jours depuis la rentrée.

D'ailleurs parenthèses sur la rentrée, C NUL, VOILÀ SURTOUT LA PROF DE FRANÇAIS, rendez moi celle de l'année dernière la nouvelle je ne peux pas me la voir.
Et ma classe n'en parlons pas ya vrm 1 quart qui passe voilà, donc mes potes et encore heureux que j'ai un grand groupe de potes, plus grand que mon avenir le groupe de potes d'ailleurs. Par contre, l'emploi du temps j'ai été béni.

J'espère d'ailleurs que de votre côté ça c'est bien passé.

Et avec le titre je parie que vous savez qui sait.

Bref passons à l'histoire.

Bonne lecture 👋🏻 🫶🏻

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Une heure plus tard Gabriel arriva au parlement pour y retrouver Valérie.

Il ne prêta attention à rien ni personne, il fonça tête baissée vers le bureau de Valérie.

Quand il arriva devant la porte il toqua timidement espérant trouver son amie à l'intérieur et par chance elle était encore là et elle lui donna l'autorisation d'entrée.

Il ouvrit donc et quand il l'a vu assise là, lui adressant un grand sourire son cœur se réchauffa.

Elle était radieuse, elle souriait et ne semblait pas fatiguée, elle avait l'air bien, elle dégageait de la bonne humeur, cette bonne humeur que j'avais si peu vue chez elle depuis longtemps. Je me précipita vers elle et la prit dans mes bras. J'avais si peu été là pour elle que je n'avais pas pu voir à quel point elle était devenue heureuse, je m'en voulais terriblement.

Lorsque Gabriel se détacha d'elle elle put voir que ses yeux étaient rouges.

- Gabriel ça va ?

Il était touché de son intention et il se rendit compte d'a quel point elle lui avait manqué, elle et leur amitié si particulière.

- ça va ne t'en fait pas

Il posa ses mains contre les joues de Valérie la forçant ainsi à le regarder avant de continuer.
( Ma pote fait ça aussi, mais si ce n'était qu'elle, NON, ça sœur aussi, SA PETITE SŒUR, je n'ai aucune autorité c'est outrageant)

- je suis tellement désolé, je t'ai totalement oublié alors que je devrais être ton ami, je me suis très mal comporter, je t'ai toujours répéter que tu étais ma priorité et au final je ne t'ai prêté aucune attention mais maintenant j'ai compris peut-être trop tard mais n'oublies jamais que quoi qu'il arrive, quoi que tu fasses je serais toujours derrière toi, je ne te jugerai jamais, tu peux m'appeler à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit je répondrais toujours, jamais je ne te laisserai d'accord ? Jamais ? Je suis ton confident, tu te souviens ?

Valérie prit Gabriel dans ses bras pour le rassurer voyant qu'il peinait à retenir ses larmes.

- Gabriel je le sais, je n'en ai jamais douté

Valérie le rassura un moment avant qu'il ne se soit calmer et qu'il arrive à dire une phrase cohérente.

- je suis désolée que tu m'ai cru capable de t'interdire quelque chose

- m'interdire quoi ?

Et c'est à la fin de cette phrase qu'entra dans la pièce François-Xavier qui interrompit la scène au moment où Gabriel allait avouer à Valérie qu'il savait pour son histoire.

Valérie Hayer × François-Xavier Bellamy Où les histoires vivent. Découvrez maintenant