Valérie Hayer × François-Xavier Bellamy

CHAPITRE 2: mise au clair

Le lendemain Valérie se réveilla sans grande envie d'aller travailler mais essaya quand même de positiver pour se lever, c'est à ce moment que son compagnon se réveilla lui aussi, à cause des mouvements de Valérie.

-putain tu sais être discrète ou pas? Y'en a qui on un vrai travail et qui essaie de dormir pour travailler parce qu'ils ne sont pas des assistés

Son compagnon lacha ça d'un trait, sans remords et ne se retourna même pas.
Depuis quelque temps le couple se portait mal.
Valérie n'avait plus la force de riposter ou de se défendre à force elle avait juste apris à accepter sans rien dire.

Elle se leva directement ne supportant pas d'être dans la même piece que son compagnon. Elle fila de chez elle dans la foulée. Au moins elle avait trouvé une motivation pour aller travailler.

Elle passa sa mâtiné à travailler, il ne c'était rien passé, c'était une de ses journées ennuyante entourée de papier à traiter, sans action.

À midi elle et son équipe se décidèrent à aller manger, après un moment elle reçut un appel, elle s'attendait à voir le nom de Gabriel mais elle vu le prénom de son compagnon, elle décrocha immédiatement non sans souffler avant.

"Oui hallo?"

"Oui c juste pour t'avertir que je ne rentrerai pas se soir donc ne m'attends pas"-

Il raccrocha immédiatement sans laisser le temps à Valérie de répondre.
Le cœur de Valérie se serrait à chaque fois qu'il faisait quelque chose comme ça, mais elle ne l'avouerait jamais surtout pas à lui.
Ces pensées n'étaient plus joyeuses, des milliards de questions fusaient dans sa tête.
_qu'allait t'il faire? Ou? Pourquoi ne me préviens t'il que maintenant ?_
Ces pensées furent stoppées quand elle se rendit compte que tout les regards de ses collègues étaient braqués sur elle, ils avaient en effet remarqué qu'elle ne parlait plus depuis l'appel qu'elle avait reçu.

"Valérie ça va ?"
"Tout va bien?"
"Tu as besoin de quelque chose ?

Elle les regarda avec un sourire faible mais sincère elle aimait sincèrement ses collègues et le fait qu'ils fassent attention à elle la réconfortait.

-oui ça va bien merci, par contre je vais y aller, excusez-moi.

Elle partit sans plus d'explications.
Une fois arrivée chez elle, elle regarda son appartement,vide, elle ressonngea à son compagnon, elle prit le temps de s'installer sur son canapé puis réfléchit à son couple.
_il est tellement imbuvable avec moi, il ne fait que me rabaisser et se soir il ne rentre même pas, lorsque nous nous sommes rencontrés toute était tellement parfait, notre vie semblait tout tracé, sans prise de tête, mais après les élections, tout à mal tourné, je l'aimais tellement, c impossible que je ne l'aime plus, si? Après tout je pense que lui aussi ne m'aime plus_

Elle fut interrompue par le bruit de sa sonnerie(non se n'ai toujours pas Gabriel imbécile) elle s'attendait raisonnement à voir le nom de Gabriel mais c'est celui de François-Xavier qui était affiché. Un sourire se forma directement sur son visage, elle décrocha immédiatement.

"Valerie?"

"Oui François-Xavier, pourquoi m'appelle-tu? Ça va?"

D'ordinaire elle n'aurait pas posé cette question mais comme elle avait remarqué le ton de voix fébrile de François-Xavier elle lui posa une question.

"C'est plutôt à toi que je devrais poser la question, toi et ton équipe avait été pris en photo par des paparazzis, tu es parti en ayant l'air déstabilisé je me fais du soucis"

Le cœur de Valérie fonda en entendant la réponse de François-Xavier.

"Merci de t'inquiéter de la sorte François-Xavier ça me touche beaucoup, mais ne t'inquiètes pas tout va bien"

" Valerie je ne suis pas aveugle tu sais j'ai bien vu que tu n'étais pas dans ton état normal depuis 1 mois"

Aïe touché pile le moment où sa relation s'était dégradée.

"C'est passagé ne t'inquiètes pas "

"Valérie tu peux tout me dire tu sais, je peux te comprendre, je t'ecouterai pendant des heures si tu en as besoin "

Valérie avait les larmes aux yeux, François-Xavier avait toujours été doux, patients et respectueux avec elle, elle savait parfaitement qu'elle pouvait lui faire confiance mais simplement sur ce sujet là elle ne voulait pas.

"Écoute ce sera bientôt réglé "

Valérie venait de se faire la promesse à elle-même et à François-Xavier qu'elle règlerait au plus vite ses problèmes de couple.

"Très bien, alors je te fais confiance"

La voix de François-Xavier sonnait comme une défaite, le cœur de Valérie se serra la dernière personne qu'elle voulait blessé était François-Xavier mais elle n'avait pas le choix.

" Je le ferai, pour toi, prends soin de toi, à bientôt"

Et elle raccrocha.

François-Xavier était ému de la réaction de Valérie, elle l'avait toujours accepté dans sa vie, il espérait vraiment qu'elle irait mieux, la voir mal était un crève cœur pour lui, d'autant qu'il ne pouvait pas être auprès d'elle comme il le souhaitais étant donné leur situation politique.

Valerie avait fait une promesse mais comment allait t'elle la tenir? Elle ne savait pas comment elle allait faire ni comment son couple allait s'en sortir, mais elle avait fait une promesse à François-Xavier et elle allait la tenir elle ne pouvait pas le décevoir.

Son téléphone resonna cette fois si c'était Gabriel. Elle décrocha avec une pointe de curiosité et d'anxiété.

"Bonjour Valérie"

"Bonjour Gabriel"

"Je t'appelle pour te parler de votre prochaine séance au parlement, il y a un texte auquel je porte une grande importance je voudrais en discuter avec toi pour que tu défendes ce texte comme je l'entends"

La suite de l'appel se concentra uniquement sur le texte jusqu'à ce que Gabriel décide de revenir sur leur discussion d'hier.

"Très bien, d'accord on fait comme ça. Euh attend Valérie?"

"Oui?"

"On peut revenir sur hier ?"

"...sur quoi"

Gabriel attal se stoppa net de parler quand il entendit un bruit sourd du côté de Valérie. Il tendit l'oreille et reconnut la voie de marc,le compagnon de Valérie, qu'il connaissait à son goût que trop, il n'avait jamais aimé le compagnon de Valérie et pourtant il avait essayé mais il avait toujours vu en lui le parfait manipulateur, égocentrique.