Stéphane et Valérie passèrent la durée du trajet à écouter du Taylor Swift, c'était l'habitude de Séjourné, détendre l'atmosphère avec de la musique, il avait toujours fait ça avec Valérie.
Une fois arrivé Stéphane descendit de la voiture avec Valérie et demanda à son chauffeur de l'attendre un moment.
- Val si jamais il y a quoi que se soit tu m'envoies un message
Valérie posa sa main sur l'épaule de Stéphane avant de le rassurer.
- ne t'inquiètes pas je n'ai rien à craindre de lui
- bon ok de toute façon je vais marcher un peu dans les rues je serais pas loin
Valérie lui adressa un sourire doux, reconnaissante de la manière dont il se préoccupait d'elle.
Elle monta ensuite les escaliers et une fois arrivé devant la porte elle posa sa main sur la clenche et comme d'habitude elle était ouverte, elle l'ouvrit alors et tomba face à François assis en face de l'entrée, il avait la tête baissée, il semblait perdu dans ses pensées.
Lorsqu'il l'a vu son visage s'illumina, il était entrain de penser à elle et la voilà qui se tenait maintenant là, devant lui comme par magie ou plutôt comme un miracle. Oui, pour lui, Valérie était le miracle de sa vie, un ange qu'on lui avait envoyé.
François-Xavier se leva pour aller la prendre dans ses bras mais elle mit sa main entre eux.
J'avais rapidement compris qu'elle voulait que je reste assis alors j'étais retourné m'asseoir, elle semblait vouloir parler alors je la laissa commencer.
- okay tout d'abord je sais tout, n'essaie pas de t'expliquer ou quoi que se soit c'est une perte de temps
- quoi ? Comment ça tu sais tout??
- Éric, c'est lui qui m'a tout raconter
François-Xavier fut un peu rassuré de savoir que c'était lui qui lui avait raconté puisqu'il savait que lui au moins il était digne de confiance.
Cependant un certain nombre de questions lui vinrent en tête.
- et c'est à cause de vous les trucs sur Pécresse qui tourne dans tout les médias ?
- oui ça c'est entièrement notre faute
Ils se sourirent après cette réponse, c'était un sourire complice, ils étaient presque fiers d'avoir traversé tout ça.
Valérie s'approcha un peu plus de lui avant de continuer.
- et pour finir, tu aurais dû me le dire, on aurait trouvé une solution ensemble même si probablement on aurait choisi de s'éloigner mais au moins j'aurais su
Valérie s'approchait de François-Xavier tout doucement comme si chaque mètre qu'elle faisait correspondait un sujet qu'elle voulait aborder, à une vérité qui allait sortir.
- je suis désolé, elle m'a tellement rabâché depuis des années que je ne savais rien faire tout seul que quand elle m'a proposé se dilemme j'étais comme pris au piège, je croyais pouvoir m'en sortir tout seul, tu vois ?
- oui je vois et je comprends je ne t'en veux absolument pas
C'était vraiment un ange, comment ne pouvait t'elle pas m'en vouloir alors que moi même je me détestais en voyant ce à quoi ressemble maintenant notre vie. À sa place j'aurais fui sans essayer de comprendre mais elle ne l'avait pas fait, c'était réellement un ange, mon ange.- tu n'es pas obligé de me pardonner tu peux prendre ton temps si tu -
- tais toi
Sans que je n'ai pu finir ma phrase Valérie était déjà entre mes jambes, ses mains posées de chaque côté de mon cou et ses lèvres étaient à quelques centimètres des miennes.
Je souria en rencontrant son regard, j'avais vraiment envie qu'elle m'embrasse et sans que je n'ai pas besoin de dire quoi que se soit la seconde d'après nos lèvres se rencontraient.
L'une de ses mains remontaient dans mes cheveux pour m'attirer encore plus près d'elle et la deuxième descendit pour s'arrêter sur ma cravate qu'elle dressera habilement, avant de complètement me l'enlever elle se recula un peu pour me regarder dans les yeux, elle cherchait mon approbation que je lui donna d'un signe de tête.
Elle me releva alors en tirant sur mon col et elle me plaqua contre la porte de ma chambre pour défaire les boutons de ma chemise. Ses mains glissaient sur ma peau comme si nos corps avaient été faits pour être l'un contre l'autre.
Après m'avoir enlevé ma chemise elle avait ouvert la porte et m'avait fait tomber sur mon lit.
Elle était maintenant assise à califourchon sur moi, elle tenait mon menton et au moment de déboucler ma ceinture elle tourna mon visage vers le sien.- je peux ?
- oui oui fait le
Elle avait donc enlevé ma ceinture avec ses mains expertes, ses doigts tremblaient d'envie et son visage ressemblait au visage que j'avais toujours aimé voir. Un sourire enfantin y était affiché, elle était heureuse en étant avec moi, rien de plus beau ne pouvait m'arriver que de savoir qu'elle était bien avec moi.
Elle m'avait dominé tout le long mais cela ne m'avait pas dérangé, elle s'était préoccuper du plaisir que j'avais pu ressentir comme personne ne l'avait fait avant.
Elle m'avait fait ressentir en deux rapports plus de plaisir que je n'en avais eu depuis ma première fois.Nous étions restés enlacés après pendant longtemps, avoir son corps chaud contre le mien ne me dérangeait pas, son corps ne m'avait jamais déranger ou gêné, c'était la première fois. J'apprenais encore à savourer le bien être d'être avec quelqu'un que j'aime vraiment.
Je m'étais finalement endormie après qu'elle ai remarqué que je commençais à être fatigué, elle m'avait laissé m'endormir sur elle, j'avais pris sa main dans la mienne avant de fermer les yeux, j'étais apaisé de la savoir avec moi.
J'avais trouvé bien plus que le sommeil cette nuit-là, j'avais surtout trouvé le repos. Je l'avais retrouvé, je savais qu'aucun de nous n'allait partir. J'étais avec elle et c'est tout ce qui comptait. Rien n'allait nous séparer à présent.
Cette nuit-là, nos corps s'étaient unis comme nous nous étions réunis.
Nos corps s'étaient rencontrés dans une tension qui avait ensuite laissé place à la douceur comme lorsque nous nous sommes rencontrés.
François-Xavier avait appris à faire confiance.
Valérie avait appris à être patiente.
Ils avaient réussi.
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Valérie Hayer × François-Xavier Bellamy
Fiksi PenggemarJe sais pas quoi mettre la seule chose à dire c'est que ceci est une fanfiction entre Valérie Hayer et François-Xavier Bellamy