Métamorphose

Chapitre 12

Je viens de faire une grosse sieste et me voilà en meilleur forme.

Je tente un nouvel essai pour me lever.

Au bout de bien dix minutes, je réussi enfin à être assise sur mon lit. Mon corps protestant contre l'effort que je viens de faire.

Je voudrais hurlé de douleur.
Mais je me mort la lèvre pour éviter de faire du bruit.

Il faut que je devienne plus forte. Sinon je mourrai. Parce que les hommes qui me pourchasse pour une raison que j'ignore, ne feront qu'une boucher de moi.
Et il faudrait que je trouve la raison pour laquelle ils me pourchassent. Parxe qu'à ma connaissance, ils n'ont pas reattaqué les jeunes metamorphes qui sont toujours en vie, alors que moi cela fait déjà trois fois. Je dois avoir quelque chose en plus. Mais quoi ?

J'ai deux transformation mais ça personne le savait avant que je me transforme, donc se n'est pas cela, même si je me doute que c'est maintenant une excuse de plus qu'ils ont pour me tuer.

Donc se n'est pas pour ma magie qu'ils me courent après aussi obstinément. Je ne leur est rien à fait à par ne pas mourir mais c'est pareil pour les autres victimes.

Le seul truc qui pourrait avoir un impacté serait mon arbre généalogique. Mais je ne sais strictement rien d'eux. J'ai seulement un collier de ma mère. Peut être un indice qui pourrait l'a retrouvé ?

Il faudrait que j'étudie cet piste.

.......

Deux jours. Voilà deux jours que je suis cloué au lit. J'ai heureusement plus mal à la tête, mais je suis encore courbaturé et ma magie est aussi absente que des feuilles d'arbre en pleine hivers.

Je tente un nouvel essai aujourd'hui pour me lever.

Le dernier n'étant pas concluant du tout. Je me suis retrouvé par terre, quant ameuté toute la maison à cause du bruit de mon corps s'écrasant sur le parquet.
Vous imaginez bien la suite, plus rouge que jamais de gêne face à deux regards compatissant et un abruti plié en quatre de rire.

Bref. Après mettre mis sur mes deux jambes. J'essaye de marcher. On pourrait dire que je ressemble à un petit qui apprend à marcher ou à une grand mère incapable de se déplacé. Au choix.

Après un bon quart d'heure je réussi à aller à la porte de ma chambre sans terminer par terre. Le plus dur étant les deux u trois premiers pas, les autres ses ont fait plus rapidement malgré mon équilibre instable.

J'ouvre la porte et tombe sur Edwin qui est assis devant un vieux livre.

- Qu'es que tu lis ?

Il se tourne brusquement dans ma direction.

- Qu'es que tu fais debout ? Repose toi !

- Ça va mieux. Puis j'en ai marre de ne pas bouger.

Il détourne le regard résigné face à mon obstination.

- Fais comme tu veux, mais ne te plein pas si tu fais comme se matin.

Je ne répond pas et scrute la salle.

- Ils sont où ?

- Dehors en train de s'entraîner.

-Ok.

Je marche doucement jusqu'à la porte et l'ouvre. Je m'appuie contre l'encadrement de celle-ci et regarde les deux hommes s'entrainer au corps à corps.

On remarque tous de suite, qu'Anthony a plus de grâce et de souplesse que Raphaël qui est plus dans la force brute.

Le maître est sans aucun doute plus fort que l'élève et le lui montre bien.