Chapitre 11

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Je me lève avant l'aube, en ne faisant aucun bruit pour ne pas réveiller le reste de la maison.

Je sors dehors.

La nature est encore enveloppés de nuit et de silence. Je commence à courir les pieds dans l'herbe rosé du matin.

Cela fais 2 semaines que Raphaël et Anthony loge chez nous. Edwin se rétablie doucement et Raphaël commence à devenir un bon ami. Il partage d'ailleurs ma chambre.

Mes pas crac dans les feuilles mortes qui sont resté du dernier automne. L'air frais traverse mes habits et le vent passe dans les arbres avec un bruissement de feuilles. L'air frais du matin rentre dans mes poumons à chaque respiration.
Tout est calme et sérénité.

Cela fais une bonne demi heure que je cours. L'aube s'installe et le ciel se part de couleur pâle.

Soudain un bruissement insistant se fait entendre, rompant le silence.
Un sifflement.

Je plonge au sol. Me sauvant la vie grâce à se magnifique réflexe.

Une arme de jet passe à côté de ma tête et m'erafle la joue.

Je regarde d'où vient l'arme et une silhouette emmerge des sous bois.

Malgré mon cœur qui tape précipitamment dans ma poitrine, je parle avec assurance :
- Encore vous ? Vous en avez pas marre de me courir après ?

4 autres silhouettes sortent à leur tour. Toutes habillé de noir. Une boule dans ma gorge se forme.

Aïe. Encore.

Je commence à courir. J'ai beau avoir plus d'atouts pour me défendre. J'ai toujours autant la trouille des es hommes qui me pourchassent.

Les 5 hommes me suivent.

J'accelere, et ils font de même.

Au bout de plusieurs minutes je remarque qu'ils font en sorte de me dirigé vers les falaises. Malheureusement quand je m'en rend compte il est trop tard. Le precipisse apparaît au sol.

Je m'arrête net et fais volte face. Le cœur battant.

Ils m'ont encerclé.

Je sors mon poignard et me met en position de défense.

Ils me lancent tous en même temps des sphères de feu ou des armes de jet.

J'en évite une ou deux, mais je me prend une sphère sur ma jambe gauche, brûlant mon pantalons et ma peau à cet endroit et deux armes de jet me coupe à l'epaule et la hanche.

Je pousse un gémissement de douleur.

- Tu es foutu ma pauvre. Prise au piège.

Ou est cette fichu panthère, elle ne peux pas se pointé maintenant et me sortir de se guêpier ?

Une sueur froide me coupe le long du dos. L'affolement monte en moi comme une vague.
Je ne sais pas me transformer, et je ne suis pas assez doué pour faire face à 5 hommes avec seulement un poignard.

Je me regarde derrière moi. Le vide. Plusieurs mètre de hauteur qui se finissent dans un petit ruisseau pas très profond.
Aucune chance que je m'en sorte de se côté là.

Je refais face à mes adversaires.

Je souffle un grand coup et me consentre.
Transforme toi !

Un pivotement me cour le long des bras. Je continue encore. Tentant par la même occasion de ma calmer.

Soudain mes ennemis passent à l'attaquent.

Métamorphose Où les histoires vivent. Découvrez maintenant