Chapitre 18

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Quand je rouvre les yeux. Je suis toujours affalé sur le lit de Raphaël. Mes mains serrant les siennes.

Celui-ci a meilleur mine, il n'a plus de fièvre, malgré son bandage coloré de vermeille.

Je tente de me levé et manque de me casser la figure.

Le bruit alerté Edwin qui était posté sur une chaise près de la porte, que je n'avais pas vu.

Il m'attrapé le bras et me porte jusque dans la salle commune où il m'assoie sur une chaise et pose sur la table devant moi, un bol de soupe avec des morceaux de viandes et des légumes.

- Tu as intérêt à manger.

Je ne tente même pas de répliquer et ammene une première cuillerée à ma bouche, rapidement suivis par d'autre.

Je finis d'au bol complet avant de vider une gourde d'eau.

- Merci.

Mon maître oche la tête.

Je me relève et part sans regarde ce dernier vers la chambre de Raphaël.

Je me poste sur le bord du lit et attend.

....

De faible gémissement me tire de la somnolence où j'étais.

Raphaël se réveille enfin.

Deux grand yeux vert s'ouvre sur mon visage soulagé. Et me surprennant, Raphaël empoigne mon bras et me tire jusqu'à lui, me serrant de ses bras.

Je pousse un léger cris de stupeur avant de rougir jusqu'au oreilles quand Raphaël pose sa tête dans mon cou.

Me voilà à genou sur le bord du lit, serré contre le torse nu de Raphaël, le rouge au joue, et le cœur battant.

Il finit par s'ecarté et m'empoigné par les deux épaules pour me regarder dans les yeux.

- Sa va ?

Son regard inquiet me scrute.

- Mieux que toi si c'est se qui t'inquiète. Mais si tu pouvais me lâcher mon épaule blessé j"irai encore mieux.
Une légère grimace accompagne ma phrase.

Il se confont en excuse en me lâchant.

- Et toi ? Comment tu vas ?

Il grimace.

- Nauséeux. Et le corps douloureux.

Je lui met une grande claque sur la tête et devant son regard interrogatif je lui crie à la figure.

- Espèce d'abruti sans cervelle, quand je dit qu'il ne faut pas faire le guignol, tu reste planqué. Ne va pas joué le héro pour te faire tué.

Ma voix se casse et des larmes de soulagement dévalent mes joues.

Il me reprend dans ses bras en serrant plus fort qu'avant.

- Sa va ne t'inquiète pas.

Malgré sa voie calme et ressurante je ne peux pas m'empêcher de faire une remarque.

- Il a fallut que je fasse un cambriolage d'une vitrine en pleine nuit pour empreinter une pierre de guérison, et tomber deux fois dans les pommes pour te sauver la peau des fesses. Puis tu as failli tué trois personne d'inquiétude gros balourd. Tu as failli y passé et tout se que tu trouve à dire c'est de ne pas m'inquiéter !

Je me lève d'un coup et sors précipitamment de la chambre en manquant de percuter Anthony.

Puis je rentre dans ma chambre fine énervé, en me tapant mon épaule blessé dans l'encadrement de la porte. Je siffle de douleur en regardant le sang s'étendre sur le bandage.

Métamorphose Où les histoires vivent. Découvrez maintenant