Chapitre 23

2.6K 225 26
                                        

Finalement, c'est le monstre des louches en bois qui m'attaque, je n'y avais pas pensé à celui-là.

Je vais vous le décrire :
Un homme un peu enrobé, vêtu d'un tablier crasseux, des cheveux éparses sur le crâne, une légère barbe, des yeux marrons banal et une affreuse louche en bois, accessoire indispensable, qui prend un malin plaisir à atterire sur mon crâne.
Alias le chef cuisinier du camp.

Ce dernier à voulu essayer de me faire laver la vaisselle. J'ai brisé deux gamelles de bois (va savoir comment j'ai fait), fissuré cinq verres, et tordu trois fourchettes, sans oublier que j'ai cassé la pointe d'un couteau, et renversé le bac d'eau pour le lavage des ustensiles.
Il m'a ensuite mis à la partie cuisine, pour faire à manger. J'étais plutôt doué jusqu'à se que je face tomber le plat où reposait tous se que je venais de préparer. Il m'a ensuite envoyer pour allé chercher dans la réserve, j'ai explosé un sac de farine, et ensuite en voulant emmené la vaisselle dans la salle commune, j'en ai renversé sur la terre battu du chemin.

Je me suis fais renvoyé à coup de louche sur le crane, auprès de mon maître.

Je suis donc allé aider Thomas a m'occuper des armes. Rien à signaler sur se côté là.

La journée finis, je suis allé me coucher dans mon lit.

.....

C'est une odeur de roussi, qui me réveil au milieu de la nuit.

Je me lève d'un bont et remarque que l'air ambiante et saturé d'une épaisse fumé.

Je retiens ma respiration et met une bande de tissu sur ma bouche et mon nez. J'enfile en vitesse mes bottes, ma ceinture d'arme et ma cape, par dessus des habits mis à la va vite.

Puis je sors de ma tente.

Le chao, des soldats courent partout, des cris, des hurlements, des lames qui s'entrechoquent.

Je cours jusqu'à la tente de mon maître et y entre, elle est vide. Pareil pour celle de Anthony et Raphaël.

Je remarque que la fumé viens de plusieurs endroits, des tentes éparpillés à trois endroits différents, dont les flammes se propagent rapidement.

Je m'elance vers les tentes enflammés les plus proches.

Mais je me fige à quelques mètres du lieu. Des soldats ennemis.

Je prend mon arc et lance  une premier flèche dans le bras d'un ennemis. Vite suivis par plusieurs autres. Je ne veux pas tué, juste blessé pour éviter que ceux de mon camp soit six pieds sous terre.
Mais plus j'en blesse, plus il y en vient.

Je continue quand même en restants à l'arrière. Me déplaçant plusieurs fois pour garder ma position de soutient.

Bientôt la petite troupe qui nous avaient attaqué est exterminé. Je regarde ailleurs pou éviter de voir le sang des victimes, visions de cauchemars.
Puis je m'enfonce dans le meandre des tentes pour aidée d'autres personnes.

Mais contre toute attente, les combats se stoppent vite. Reste alors le problème des flammes. Des chaînes se mettent en placent. Inutile.

Je m'elance vers un second départ de feu et vois que 10 tentes sont en proie au flamme.

Je m'avance vers une des tentes proches intacte et tranche les cordes qui la tienne debout,
Je fais de même avec deux ou trois tentes avec de me faire interpellé.

- Qu'es que tu fais ?!

- J'évite la propagation du feu sur le reste du camp. Parce si on enlève le combustible, le feu s'éteint.

Métamorphose Où les histoires vivent. Découvrez maintenant