Métamorphose

Chapitre 24

Mes bras me font mal. Je remonte des tentes pour remplacer les 50 qui ont été détruite. Nous sommes 11 novices a faire ce boulot. Après l'attaque, les combattants ont été appelé en renfort. Seul une vingtaine de soldats sont encore au camp. Ils patrouillent où s'occupe de l'arriver d'un régiment de nouveau arrivant pour les former en soldat. Ils viennent du Sud. On doit monté plus de tentes pour eux, également.

Raphaël est avec son maître et il discute, sûrement de l'attaque.

Edwin s'occupe des nouvelles recruts.

Je tire une nouvelles corde et fait soulever la tente. A par le plus costaud du groupe. Nous nous sommes mis par groupe de deux pour redresser les tentes. Je suis avec un petit gringallait qui n'a aucune force dans les bras. Je dois sans cesse utiliser mes capacité animal pour compenser. Mais je suis en age, et un violent, mal de crâne m'indique que je suis à bout.

Je stabilise la tente en attachant  la dernière corde à un poteau. 23e tente debout. Il nous en reste 7 à faire.

- Doris, ammene moi une toile et des cordes s'il te plait ? J'en ai plus.

- Il faut allé en chercher auprès de Thomas.

- Ba va s'y !  Je dois planter les poteau !

Il sursaute et obéi à mes ordres.

Un incapable se gamin. Et deviner son animal ? Je l'ai trouver sans qu'il me le dise.
Un écureuil. Son animal est l'écureuil.

Je souffle un grand coup et tire les poteaux pour les emmener à quelques mètres de là, au nouvel emplacement de tente.

Je les redresse et tape comme une forcené avec une masse.
Les poteaux doivent faire environs 1m et je dois les enfoncer une vingtaine de centimètre dans le sol.

J'enfonce un premier poteau et en fait un deuxième.

- Tape plus fort fillette.

- Toi je vais t'en mettre une si tu m'appelle encore fillette, ok ?!

Je me retourne vers Thomas. Celui ci jete au sol des toiles de tentes et des cordes.

Je souffle.

- J'imagine que Doris n'arrivais pas à porter les toiles et les cordes ?

- Il a trop forcé et il est à l'infirmerie.

Je sens que je vais le tué se gosse.

- Génial ! Maintenant je vais devoir tout me taper toute seul. Déjà qu'il ne faisait pas grand chose !

Je tape un grand coup sur le poteau et il s'enfonce comme je le voudrai. Je passe au suivant.

- Tu compte rester la à me regarder !?

Il hausse les épaules.

- Je profite du spectacle. Tu sais ce n'est pas tout les jours que l'on vois une fille s'exciter sur un montage de tente. D'habitude elles préfèrent se faire une manucure en regardant l'homme bosser.

- Va t'en ! J'ai pas besoin de te supporter !

- En plus c'est amusant de te voir t'enerver toute seul.

- Tu rigolera moins quand se sera dans ta tête où la masse va atterire !

- En attendant dépêches toi. Tu as 30 min pour finir de monter ses tentes.

Je boue de fureur.
Je me retourne et marche, fine énervé dans sa direction.

J'ecrase la masse sur son pied et lui crache au visage.