Métamorphose

Chapitre 15

1 journée que je me creuse les méningue pour le sortir de là.
1 journée que n'empêche ses bourreaux de le blesser physiquement. 1 journée que je met tous en place.

Mon plan est simple mais en même tant très compliquer à mettre en œuvre.

J'ai piqué deux fine armure, j'ai inscrit deux soldats imaginaire au tour de garde de se soir et j'ai piqué du matériel a l'infirmerie pour pouvoir soigner Raphaël.

Le plan : se déguiser. Rien n'est mieux cacher que montrer à la vu de tous.

Il ne me reste plus qu'à aller chercher Raphaël.

Pour cela, il faut que j'attende la nuit et que je nourrisse le prisonnier. J'ai inscrit un nouveau soldat imaginaire pour se rôle.

D'ailleurs toutes cette mise en œuvre m'a coûté à aller ramasser le crottin de dragon du sergent.
1h ou je n'ai pas pu surveiller Raphaël et où il c'est pris des coup de fouet. Super la sauveuse.
J'ai aussi surveiller l'arrivé de Raphaël et Edwin. Je pense qui sont pas très loin à l'Est à en juger par les ragots des soldats.
Mais je ne suis pas encore sur à cent pour cent.

Le soleil est en train de se coucher. Mon véritable boulot commence maintenant.

......

Je n'aurais jamais imaginé que me déguiser en garçons pour la deuxième fois de la journée allait être si chiant. La première fois un simple casque et des habits masculin avait suffit. Se coup ci, j'ai 10kg de fer sur les épaules.
Et heureusement je n'ai pas la panoplie complète.

J'ai mis un large pantalon d'homme ceinturé d'une bande de tissus, avec mes bottes, heureusement mixte, j'ai enfilé une cotte de maille part dessus une tunique, ainsi qu'un magnifique hôme de fer, accompagné de gants armuré et d'epaulette de fer dont je ne sais pas le nom. J'ai ajouté ma cape et ma ceinture pour complété le tout.

J'ai ensuite mis le reste dans ma grande sacoche que j'ai caché sous ma cape, l'armure enrobé de tissus pour éviter le bruit de casserole qui accompagnerai mes pas.

Puis je suis allé chercher le repas du prisonnier. En veillant à demander à un autre soldat de m'acconpagner.

Nous sommes entré dans la tente et j'ai violement frappé le derrière du crâne du soldat avec une épée. Je l'ai ensuite traîné sur quelques mètres pour le mettre derrière la caisse et éviter qu'il soit repéré au cas où le suite des événements se passerait mal.

J'ai fourré la nourriture dans ma sacoche et je me suis approché de Raphaël en retenant un cris d'horreur.
Son habits en lambeau est trempé de sang. Son torse et ses bras son couvert de blessure et il a une belle éraflure sur la joue droite qui laisse échapper quelques gouttes de sang.
Le fouet.
Raphaël a la tête relever vers moi et le regard vide.

Je me retient de maudir les responsables de ses blessures et prend la parole pour dire quelques choses d'intelligent en chuchotent.

- Pose pas de questions et fais exactement se que je dis. Je vais te sortir de là.

Ma voie est étouffer par le tissus que j'ai mis sur ma bouche et mon visage pour ne pas être reconnu si je parle ou si mon home tombe , il ne doigts sûrement pas reconnaître ma voie. Mais je croise les doigts pour que cette tête de mule m'obeisse.
Je le detache. Puis je sors du sac de large bande de tissus et lui enroule autour des blessures qui saigne encore. Ensuite je l'aide à enfiler une tunique par dessus un pantalons en états, et des bottes. Je lui enfile la côte de maille et le reste de la panoplie similaire à la mienne.

Je l'entend plusieurs fois siffler de douleur à cause du poigts de l'armure. Je le plains sincèrement.

- Maintenant pas un bruit et c'est moi qui parle.