Chapiter 62

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Bon voilà pour les 10 personnes qui me lisent je suis vraiment désolée pour ce temps énorme que je mets à publier. Je suis juste dépassée par la quantité de travail que je dois fournir en cours et trop stressée, je n'arrive pas à me détendre. Quand j'écris je ne suis jamais satisfaite, je trouve toujours ça plat, nul, inintéressant et répétitif. Je ne sais plus comment faire. J'espère que vous aimerez quand même ce chapitre


Je me réveille, comme toujours avec la main d'Evan sur mes fesses. Evidemment, il la laisse quand je cherche à l'enlever et se met à rire.

« -Ha ha trop drôle.

-Mmmmhh fais-moi un bisou, dit-il avec les yeux encore fermés. »

Je lui fais son bisou, il met sa tête sur ma poitrine.

« -Mais qu'est-ce que tu fous ! Enlève ta tête de là, ça va pas ou quoi ??

-Mais non, j'suis bien là.

-Bouge !

-Nooooooon. »

Je commence à le pousser mais il s'agrippe à ma taille.

« -Je reste là, dit-il.

-Mais... mais... dis-je en continuant d'essayer de le pousser même si je sais que c'est inutile.

-S'il te plaît, j'aime trop être comme ça.

-Euh... ok... »

Il reste donc dans cette position tandis que je me détends peu à peu, bien que je sois gênée. Je me mets à lui caresser les cheveux. Je sens qu'il sourit.

Nous restons comme ça pendant un long moment, puis nous allons déjeuner. Nous faisons nos devoirs de maths ensemble, puis comme il y a du soleil dehors, nous sortons nous balader.

Je sors de ma dernière épreuve du baccalauréat, celle de SVT ; ça y est, le lycée est bien fini. Nous sommes tous contents, le sujet n'était pas particulièrement tiré par les cheveux et nous sommes heureux d'être officiellement en vacances. Personnellement, je pense avoir plutôt bien réussi.

Evan m'embrasse, nous sommes tous devant le lycée. Une fille de ma section italienne propose que nous allions au restaurant japonais à volonté. Je suis bien sûr la première à accepter avec enthousiasme. Certaines personnes qui étaient dans ma classe, bien qu'elles ne soient pas dans la section, viennent aussi, si bien que nous arrivons au restaurant japonais à plus de trente, mais par chance il n'y a personne. Nous faisons un bordel monstre, je me sens désolée pour les propriétaires du restaurant, mais j'oublie ce sentiment à peine la carte entre mes mains, où il y a des photos de sushis partout.

« -Elle bave plus devant les sushis que devant toi Evan, remise en question ! dit l'un de ses amis en riant.

-Ta gueule ! »

Je rigole en pensant que c'est probablement vrai, nous commandons et l'attente me semble interminable, mais au moins il y a une bonne ambiance, nous rions tous ensemble, Loan et Emilia sont mignons.

J'engloutis les sushis, nous en avons commandé beaucoup mais j'ai l'impression que ça ne sera jamais assez tellement j'ai faim et tellement c'est bon.

« -Je t'ai jamais vu manger autant, rit Evan.

-Mmh ch'ai chamais autant manché de ma vie, dis-je la bouge pleine. »

Il rit.

« -T'es sexy comme ça.

-Che sais, merchi. »

"Même les méchants rêvent d'amour."Où les histoires vivent. Découvrez maintenant