seulement deux mois { Tome 1 & 2 } ( En Réécriture )

chapitre 14

Dans la nuit du 7 juillet ,

Après qu'il soit parti, je lui ai dit qu'on ne voulait pas lui parler, il semblait énerver mais Mia a essayé de calmer et qu'il m'a dit qu'il me reverra de la soirée, ce que je ne doute pas vu que c'est chez lui. Je suis partie boire, parce que j'en avais besoin mais je crois que j'ai exagérer.

Je suis totalement bourrée! Mais je m'amuse comme une folle.

J'ai perdue Mia et les autres pendant la soirée, j'ai plus aucun contrôle de mon corps, je tiens à peine sur mes jambes à vrai dire. Et dès qu'on me dit quelque chose, je rigole comme une imbécile et boit un verre, je n'arrange donc pas mon cas mais vraiment pas, j'ai l'impression d'être une alcoolique. Et les joints que je me suis enfiler, j'ai l'impression d'être une droguer, magnifique !

Je n'étais pas chaude pour sortir en soirée et là, je suis en train de me saouler la gueule comme pas possible, demain je vais regretter et fort. C'est pourquoi je n'aime pas sortir or que je ne voulais pas, je fais toujours n'importe quoi.

À penser ça, je me mets à pleurer comme une grosse imbécile, juste parce que je fais n'importe quoi toujours. Je sens une main sur mon épaule, je relève ma tête et découvre Justin, pour mon plus grand plaisir, notez l'ironie, je sais quand même rire quoi !

J'essuie mes larmes avec mes mains et le regarde en reniflant, pas si glamour que ça.

Il vient s'asseoir à côté de moi et me sourit.

Il est beaucoup moins déchiré que moi, juste les yeux légèrement rouges mais il a le contrôle de son corps, j'en suis sûre, ce n'est pas comme moi.

- Pourquoi tu pleures? Demande-t-il en souriant légèrement.

- Pour de la merde que je me disais dans ma tête, Je rigole.

Va te faire soigner, pauvre folle.

Il me sourit de toute ses dents et hoche la tête.

- Je vois, tu as beaucoup bue, non?

- Un p'tit peu, Dis-je en montrant avec mes doigts, mais je gèreeeee !

Il rigole doucement, pourquoi il rigole déjà ?

Pourquoi il me parle premièrement ?

- Pourquoi tu viens me parler? Je demande étant trop directe.

- Tu étais seule, Dit-il en haussant les épaules, je voulais te tenir compagnie et je me faisais chier.

- Pourtant c'est ta fête, c'est toi qui l'as faite.

- Ouais, justement c'est parce que je me faisais chier et j'aime faire la fête !

Il peut être gentil au final, non? Ou il se fait passer pour le gars lourd devant les autres mecs, je pense bien que c'est ça.

Il est mignon comme ça, je le vois sourire, je dois être rouge à l'avoir fixé comme ça. Je sourie timidement et baisse la tête, pour ne pas montrer ma gêne.

- Oh tu sais ! Ça ne me dérange pas que tu me regarde, mais là, j'avais l'impression d'être ton morceau de viande, Rigole-t-il.

- Ne croit pas que je vais te sauter dessus.

- Sait-on jamais, mais moi je peux.

Je fronce les sourcils mais je n'ai pas le temps dire quelque chose que ces lèvres viennent prendre possession des miennes, je réponds à son baiser et je ne sais dire pourquoi d'ailleurs. Peut-être pour me dire que je n'ai pas que Cameron dans ma tête ? Je n'en sais rien.

Il passe sa langue pour la faire danser avec la mienne, ce que j'accepte aussi.

Sa main derrière la nuque pour me maintenir, moi qui ai juste mes mains contre moi, j'ai l'air d'une pauvre fille en détresse.

Sauf que j'ai besoin d'air et donc recule pour pouvoir respirer, il reprend sa respiration lui aussi mais reprend vite mes lèvres, il mord ma lèvre inférieure, je soupire de plaisir et me colle plus à lui.

Bordel.

Il retire ses lèvres des miennes mais son front reste coller au mien.

- Allons dans ma chambre.

Il attrape ma main et me relève avec lui sans que je ne dise quelque chose, il passe entre tout le monde et je le suis à cause de sa main dans la mienne qui me maintient, nous sommes vite dans sa chambre, il me met contre la porte et m'embrasse encore et encore.

Il attrape mes cuisses et m'entoure autour de lui, je tire dans ses cheveux ce qu'il vaut un grognement de sa part.

C'est mieux Cameron tout de même.

Il nous couche sur le lit, nos corps ne faisant plus qu'un avec nos gémissements. Je m'endors, peu de temps après qu'il se soit endormi.