Tout commence d'une rupture

4. Chap 18

- Enfaite vous tenez tellement à moi que vous aller pas vous faire sucer pour la Saint-Valentin. Constate-je.

- Surtout si on t'nait pas à toi, on t'aurait demander d'nous sucer. M'avoue Gringe.

J'bois dans la canette, et met le joint entre les lèvres. Et ouais, j'l'ai reçu. Mon tel sonne au même moment. "Le Dieu" ok. J'répond.

- ALLO?

- Alors t'es contente de récupérer ton tel?

- Ouais, par contre j'savais pas qu'un Dieu avait autant de ventre.

- Moi? Avoir du ventre ?

- Ouais Orel, t'as du ventre, et t'es pas musclé non plus.

- Vas-y si j'bandais tu m'aurais débandé.

- T'es pas avec ta meuf pour ne plus bander?

- J'viens de sortir, j'ai plus rien en stock dans mes couilles.

- Bah viens nous rejoindre chez toi. Y A DES JOINTS ET D'LA BIÈRE POUR TOI BÉBÉ!

- Bébé?

- Bah ouais un bébé c'est pas musclé et bouboule.

- Ok.. J'dois l'prendre comment là?

- Comme une invit' à me rejoindre dans ton lit? Pris-je un air chauffeur pour se marrer.

- T'es dans le lit là?

- Oui.. Et je pense fort à toi.

- T'es dans quel état? Rentre-t-il dedans mais comprenant que j'dis n'importe quoi.

- Je.. J'vais.. Mmm.. Mes doigts sont entrain... Mmm.. De jouer avec mon intimité.. Ils rentrent.. Ils.. Sortent..

- Stop ! Limite tu vas m'donner réellement envie.

Ah. Donc ouais j'vais arrêter, car...

- A nous aussi. Sort Gringe entendant un peu de là où il est ce que dit Orel.

... Car si j'commence à faire bander mes potes. C'est.. Voilà.

- Bon grouille ton boule!

- J'suis en bas, j'monte.

J'raccroche.

- On parlait t'à l'heure avec Gringe, de celui qui a le plus beau boule. Pour vous c'est qui? M'intéresse-je aux réponses de Bouteille et Ablaye.

- J'dirais Orel. Réfléchis même pas Ablaye.

- T'AS VU J'SUIS PAS LA SEULE A PENSER ÇA! OREL A LE PLUS BEAU BOULE!

- Pourquoi vous parler de mon boule? Arrive Orel.

J'me retourne pour m'adosser au dossier du canap' me mettant à genoux sur celui-ci.

- On dit que t'as LE PLUS BEAU BOULE DE NOUS TOUS !

- Vous le mater maintenant ? Parle-t-il de son boule.

- Nan, moi j'inspecte, c'est tout. J'veux savoir avec qui je traine.

- Mouais, et t'en profite pour te rincer l'oeil?

- Nan, pas sur mes potes.

La nuit se déroule tranquille.

- Bon, moi j'vais.. go chez moi! Allez à plus! Me barre-je comme une voleuse.

- Attend j'te raccompagne. Se propose Bouteille.

- Ok, allée à plus les autres.

On sort de l'appart d'Orel, j'peux vous dire que j'suis pas complément sobre. Mais à force d'avoir l'habitude ça passe crème.

- UN TIGRE !

Bouteille éclate de rire.

- Y a quoi?!

- Mais c'est un chat.

- Ah merde. Rigole-je aussi.

Le trajet allait se faire sans pose, mais mon cul a envie de rencontrer le sol, donc j'm'assois par terre.

- Vas-y on est à côté d'chez toi.

- Pas d'ma faute, mes fesses on voulu embrasser le sol, j'peux rien y faire mon gars.

Il m'tend la main pour m'aider a me relever, et j'lui tombe dans les bras. On recommence à marcher, et j'le fait rentrer chez moi, et lui tend une bière une fois passer par la case frigo.

- Merci.

Au lieu de boire une bière pour clôturer, on se retrouve à en boire trois chacun. Bouteille se retrouve lui case toilette.

- ALLEZ! ÇA VA ALLER BOUTEILLE! COURAGE!

Il revient après que j'ai entendu l'eau du robinet s'arrêter. Il s'assoit sur le canap' à coté d'moi, et j'pose ma tête sur son épaule. J'ferme les yeux, mettant mon bras autour de sa taille.

Puis j'fais glisser ma main sous son t-shirt caressant son ventre. J'me met à califourchon sur lui, prenant en possession ses lèvres. Mes mains dans ses cheveux après avoir enlevé son bonnet, il intensifie le baiser. Mes mains glissent  le long de son visage jusqu'à ça barbe de quelques jours, puis j'les descend le long de on cou. J'enlève son t-shirt, il fait de même pour moi l'embrassant le cou pour descendre jusqu'à ma poitrine en dégraffant mon soutif. J'le fais basculer pour qu'il soit allonger, restant au dessus de lui, gérant les commande.