PDV Elizabeth:
Je marche sur le sable, vêtus d'une robe blanche qui vole dans le vent. Lorsque je tourne la tête a droite la vue de la mer qui s'étend à perte de vue m'émerveille. L'air est chaud et l'atmosphère reposante. Je ressens soudain une douceur à mes pied, je baisse la tête et vois l'eau de la mer s'étendre sur ceux-ci avant de retourner à la mer et ainsi de suite. Je relève la tête pour regarder le ciel d'un bleu pâle comme les miens. Je ferme mes yeux en continuant d'avancer sur cette plage paradisiaque. Je me sens bien, seule, dans cet endroits entre la jungle et la mer. Je voudrais y rester pour toujours jamais je ne voudrai partir-
-BIP BIP BIP-
L'alarme de mon réveille matin m'expulse de mon rêve. Je sors mon bras de sous les couverture, perdant ainsi la moitié de la chaleur me faisant frissonner, puis tape à droite et à gauche à la recherche de mon réveil matin sur ma table de nuit. Une fois trouver, je tape sur « Snooze » et ramène mon bras à moi.
-Encore...5...minutes, soupirai-je avant de refermer les yeux.
Soudain la porte de ma chambre s'ouvre et ma sœur, Margaret, entre à l'intérieur.
-Elizabeth tu dois te lever, c'est ton premier jour d'école tu ne devrais pas être en retard, dit-elle gentiment. Je vais ouvrir les rideaux.
Puis elle se dirige vers ma fenêtre, je la suis avec un regard incertain. Puis elle ouvre les rideaux faisant entrer la lumière du soleil dans la chambre, je grogne avant de cacher mon visage sous les couvertures.
-Allez Elizabeth! Je sors si tu n'est pas dans la cuisine dans 2 minutes je t'extirpe du lit, dit Margaret avant de sortir en fermant la porte.
Je restai 10 secondes avant de me redresser d'un bond, je me levai et regardai ma chambre à la recherche de mon uniforme. Cet uniforme m'avais coûter un bras, cette maudite école de riche. Mais je continue de me dire que c'est la que je veux aller si je veux devenir ce que je veux, je n'y peux rien. Lorsque je pense à quel point mon père dois travailler comme un fou pour me payer mon admission dans cette établissement...je me sens mal. Je trouve alors mon uniforme dans un coin de ma minuscule chambre assez grande pour contenir un lit simple, une table de nuit, un petit meuble à 4 tiroir et un bureau. Je met mon uniforme, une chemise blanche et une jupe bleu marine, la base. Puis descend à la cuisine.
-Bon matin Elizabeth, dit mon père lorsqu'il me voit sortir de ma chambre.
Notre maison est si petite que la salle à manger est dans la cuisine ainsi que le salon, c'est un espace ouvert. Il y a trois chambre, une pour moi, l'autre pour ma sœur et la dernière pour mon père. Ainsi qu'une toilette minuscule.
-Bonjour papa, je répondit en m'assoyais sur la table carré comportant quatre chaise.
Mon père lisait le journal avec une tasse de café. Une assiette avec un œuf et une taust au beurre apparut devant moi.
-Voila mange bien avant de partir, dit Margaret qui m'avais donner l'assiette. Ton sac est dans l'entrée ne l'oublie pas.
Ma sœur est la fille la plus douce et gentille que je connaisse, elle a 19 ans. C'est grâce à elle que la nourriture est prête et que la maison est propre. Elle reste à la maison, malgré son envie de travailler pour aider mon père. Elle a un corps fragile et faible, le pourquoi elle ne peux pas sortir souvent et donc travailler. Mais elle fait son possible pour nous aider de d'autre façon. Je l'adore.
-Elizabeth, appela mon père en me faisant sortir de mes pensées. J'espère que tout ira bien cette année à l'école et que tu te fera de nouveau amies.
-Papa tu le sais bien que j'ai déjà mes amies, répondit-je en souriant tout en mangeant mon œuf brouiller.
-Oui je sais je sais, mais ce n'est pas une raison pour ne pas socialiser ma chérie, dit il en se levant et en fermant son journal. Tu veux garder le journal Margaret?
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Deux univers différents
أدب الهواة« Liones » l'école privée connus pour être la plus prestigieuse dans tous Britannia. C'est là que va Elizabeth, qui peine à payer son inscription chaque année, fera la rencontre par pure hasard du garçon le plus riche et populaire de l'école, Meliod...