Captive🔥

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PDV Elizabeth:

Tout ce dont je me souviens c'est de ses mains qui m'étouffais, de ce sentiment de peur et de tristesse, de ces larmes qui coulais le long de mes joues et de son visage. Un bruit de porte qui s'ouvre me réveille. Elle s'ouvre d'un grincement, la porte semble lourde. J'ouvre lentement les yeux tandis qu'une silhouette s'approche de moi.

-Bon matin, voilà de la nourriture, dit une voix.

Coucher sur le côté je me redresse à l'aide de mes bras, mon cou me fais mal. Je le caresse de mes doigt frêle et la rabaisse vers le sol, froid et dur. Je lève la tête vers l'homme et réalise Estarossa, il se tient à une distance raisonnable.

-Où...où suis-je...

-Chez moi, dans ma cave, répondit-il.

-Quoi...? Pourquoi...

-Parce que tu es la plus belle et celle de mes domestique privé que je désire le plus, expliqua t'il en bougeant ses mains. Jamais je ne te laisserai partir, tu m'appartient!

-Je...n'appartient à personne, surtout pas à toi, répondit-je en fronçant les sourcils.

-Ah bon? Alors va s'y sors d'ici, personne ne viendra te chercher.

Mes points de serrèrent et je me levai pour courir vers la sortis mais je me sentis tirer par l'arrière et je tombai sur le dos, suivi d'un gémissement de douleur. Estarossa se mis à rire à gorge déployer.

-Tu pensais vraiment pouvoir t'enfuir aussi facilement!? S'écria t'il sourire en coin. Ce n'est que le début, ma chère.

Je remarquai que mes poignets étais enchaîné, une longue chaîne m'attachais au mur du fond. Estarossa me fis un dernière sourire en coin avant de sortir sans rien rajouter, il ferma la porte de métal à clé. Désormais seule, avec mes pied je me poussai au mur du fond et me recroquevillai sur moi même. Maintenant que je m'attarde mieux à la pièce, il n'y a qu'une simple fenêtre au dessus de ma tête. Rectangulaire, avec des barreau, je me lève pour regarder à travers. Je saute pour attraper deux barreau et me tirer vers le haut, je peux voir le long chemin jusqu'à la rue, si Meliodas passait là je pourrais crier son nom! La fenêtre est basse, je peux passer ma main à travers les barreau et touche l'herbe du sol, mais je ne peux traverser...Perdant espoir je me laisser tomber au sol et m'assis sous la fenêtre. Estarossa avait laissé de la nourriture, je pris le plateau et mangeai, il n'y avais malheureusement pas d'ustensiles qui aurais pu m'aider à m'enfuir. Je sens que ça va être long avant que l'espoir ne revienne...

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Quelque heure plus tard:

Je me suis rendormi, c'est la seule chose que je peux faire pour passer le temp. Je me redresse, c'est alors que les chaînes au mur se mirent à bouger et à se rétracter à l'intérieur du mur, mes bras se firent tirer dans les aires. J'avais désormais les deux bras dans les aires sans aucune chance de les bouger, mon dos accoter au mur et j'avais juste assez de hauteurs pour que mes pieds touche le sol.

-Qu'est-ce que...!?

La porte de ma prison s'ouvrît et laissa entrer Estarossa, il referma la porte derrière lui.

-J'y ai tant rêver, tu es encore plus belle que je le pensais dans cette situation, dit-il en se craquant les doigts.

-Que...Que vas-tu me faire, demandai-je craignant la réponse.

-Tout, maintenant je n'ai plus à craindre que tu t'en aille, répondit-il en souriant. Puisque...tu ne le peux pas.

-T'es un monstre...

Deux univers différentsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant