PDV Meliodas:
Je regarde la voiture partir, une fois hors de mon champ de vue mes sourcils se fronce et mes poings se serrent. Je me retourne et marche d'un pas rapide vers la chambre de Zeldris. Arriver devant la porte je l'ouvre et entre dans ce qui est un grand salon. A droite une porte mène à sa chambre et à gauche un bureau. Au fond une immense cheminée dans laquelle un feux est allumer et resplendit sa lumière sur deux fauteuils pointant sur les flammes.
-Zeldris! Ai-je rugis en m'arrêtant après quelque pas dans la pièce.
Je le vois se lever du fauteuil de droite et marcher vers moi, il est à 5 mètre de moi.
-Pourquoi t'a fais ça!? C'est pas ton genre! M'écriai-je. Qu'est-ce qui t'es passé par la tête!?
Il baisse la tête coupable, qu'est-ce qui lui prend?
-Désoler...chuchota t'il.
-Quoi? Pourquoi?
Puis Zeldris fit quelque pas sur le côté pour laisser place à une autre personne. La personne se leva du deuxième siège et marcha vers moi.
-Que-
Ça faisait longtemps que je l'avais pas vue, il ne m'avait pas manquer, pas du tout. Mais que fait t'il là!? Je ne veux pas le voir, mais je crois pouvoir deviner la raison de sa présence. N'est-ce-pas...père?
-Fils, dit-il d'une voix grave. Qui est cette femme qui marchais dans ma demeure?
-Une fille de ma classe, répondit-je en baissant la tête et en prenant une posture plus respectueuse.
-Sois plus précis, dit mon père en fronçant les sourcils.
-Elle se nomme Elizabeth, c'est...mon amie, répondit-je craignant le pire.
-Ton amie? Répéta t'il. Je croyais t'avoir dit de ne pas t'attacher au gens et encore plus celle de son genre.
Je lève la tête d'un coup vers lui. De son genre, il est pas sérieux!?
-Que voulez-vous dire, père.
-Elle est pauvre en plus d'être une femme, répondit mon père d'un ton grave et stricte. Ça ce vois de pars son vocabulaire et sa gesture.
-Et alors...? Ai-je dit quelque seconde avant d'avoir regretter mes dires.
-Je ne veux plus que tu la fréquente, dit il avant de serrer le poing.
J'écarquille les yeux, il veut que j'arrête de lui parler...? Je ne peux pas. Je ne veux pas.
-Mais père c'est mon amie! M'écriai-je en levant la tête vers lui.
Il s'avança vers moi et d'une main forte me gifla. Je ne bougeai pas d'un poil, ça faisait longtemps la dernière fois qu'il m'avait gifler. Ça m'avait pas manquer.
-Je ne veux plus que tu lui parle, continua t'il en baissant sa main. Je ne veux plus que tu la regarde, le moindre regard, parole, qu'importe ce que sais, je le saurai.
Je ne répond rien, j'ai pas envie. Je veux continuer de lui parler...à Elizabeth.
-À TU COMPRIS! Cria t'il.
Je reste de marbre même si je voudrais m'enfuir, je dois rester fort.
-Oui.
-Bien, je ne veux pas que tu fréquente ce genre de personne, rajouta t'il avant de se diriger vers la porte. Ça ternira ta réputation et la mienne.
Juste avant de sortir il tourna la tête vers moi qui était dos à lui.
-Brise tes pont avec elle avant qu'il ne soit trop tard.
VOUS LISEZ
Deux univers différents
Fiksi Penggemar« Liones » l'école privée connus pour être la plus prestigieuse dans tous Britannia. C'est là que va Elizabeth, qui peine à payer son inscription chaque année, fera la rencontre par pure hasard du garçon le plus riche et populaire de l'école, Meliod...