Deux univers différents

On est vraiment des imbéciles🔥

Soudain la porte de la cabine s'ouvrît et je me sentis tirer vers l'intérieur avant que la cabine ne se ferme. La première chose que je vis fut Elizabeth droite devant moi qui tenais mon chandail de ses deux mains. Je ne pus déchiffrer qu'elle émotion émanait de son visage tellement il était vide. En ai-je trop dit...?

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PDV Meliodas:

Elle me regardait droit dans les yeux avant que quelque larme n'apparaisse au coin de ses yeux.

-Me...Me...Meliodas...

J'arquai un sourcil en penchant la tête. Que va-t'elle dire? Pourquoi pleure t'elle!? Ai-je dit quelque chose de mal, je l'ai blesser?

-Je...J'ai déchiré la robe...

Eh? Eh!? Attend quoi, je crois que j'ai mal entendu. Je lui fais une belle déclaration et tout ce qu'elle a à me dire c'est qu'elle a déchirer sa robe? Je tombai à genoux tandis qu'Elizabeth descendais pour voir si j'allais bien. Soudain je pouffai de rire, je ne pouvais plus m'arrêter.

-Sérieusement...Elizabeth, riais-je en levant la tête vers elle. J'arrive pas à y croire.

Elle pencha la tête.

-Non! Sérieux Meliodas! J'ai briser la robe, regarde c'est déchirer, répéta t'elle en me montrant un fissure au bas de la robe. Que vais-je faire...

-C'est pas grave, je vais en prendre une autre et je vais la payer, répondit-je en me levant. Alors enlève-la.

Soudain elle se mit à rougir, qu'est-ce que j'ai dit?

-Euh...on...on est dans une cabine...

Ah? Ah!? Je lui ai demander de se déshabiller!? Quel idiot, je le pensais pas comme ça! Je la pris par les épaules.

-Non, c'est pas ce que je voulais dire! M'écriais-je en la rapprochant.

Nos visage étais très proche. Plus je continue plus ça devient louche ce que je dit, je dois me taire.

-Ce n'est pas l'impression que tu donne, répondit-elle en baissant le regard petit sourire.

J'écarquillai les yeux, elle a raison. Pourtant...le fait qu'on soit dans une cabine, si proche des gens. Je ne sais comment le dire mais ça m'excite. En plus, papa nous a arrêter ce matin, alors il m'a laissé sur ma faim. Elle leva les yeux vers moi et posa ses mains sur mon torse, je répondit d'un faible sourire.

-On est dans un magasin, informais-je en la regardant sérieux.

-Je sais, répondit-elle en massant mon torse du bout des doigts.

-Il y a une vendeuse à l'extérieur qui doit se demander ce qu'on fait, ajoutais-je en rapprochant inconsciemment mon visage du sien.

-Je sais, répéta t'elle en baissant ses mains vers mon entre-jambe sans manquer de me caresser au passage.

Je déglutis face à son initiative, il est rare que ce soit elle qui fasse le premier pas.

-Tu ne compte pas arrêter n'est-ce pas? Demandais-je en mettant mes mains sur ses hanches.

Elle répondit d'un baiser sur mes lèvres avant d'y souffler:

-Non...

Je fis un sourire en coin et la prit par les fesses pour l'accoter au mur. De ce fais elle me voyait de haut, elle enroula alors ces jambe autour de ma taille et ses bras autour de mon cou. On s'embrassa comme on ne l'avait pas fais depuis un moment, c'est à dire sexuellement. On s'était perdu depuis quelque temp, toujours occupé ou parfois ce n'étais pas le temp. Ce n'est encore pas le temp, mais on a une limite. J'aurais pus me retenir jusqu'à ce soir, mais elle non. De plus je ne m'attendais pas à ce qu'elle ai brisé la robe. Elle leva ses mains vers mes cheveux et se mis à les caresser et jouer avec, j'ai l'impression qu'elle est plus amoureuse de mes cheveux que de moi. Je la posai par terre et enlevai mon chandail en vitesse tandis qu'elle enlevait sa robe en faisant attention à se pas aggraver la déchirure. En quelque seconde on se retrouva nu dans la cabine d'essayage. On se rapproche tel deux amoureux en chaleur et on continua de s'embrasser amoureusement.