Jusqu'à ce que la mort nous sépare - Partie 109

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Je me met à gigoter pour lui faire comprendre que je veux qu'il accélère le mouvement. Mon amant comprend que je lui donne le feu vert et se redresse pour m'empoigner les hanches. Son torse sculpté se dresse devant moi. Il est impressionnant en fait. Et dire que ce colosse a sa grosse bi** en moi... Je vais passer un sale quart d'heure...et heureusement hihii ! 

Il bouge enfin et donne un grand coup de butoir. Je me cambre d'un coup et attrape son bras. Je l'entend jubiler :
-Tu m'as donné le feu vert non ?
Je ris à sa connerie et lui donne un coup sur le bras. J'aime beaucoup son humour aussi je vous l'ai dit ? 

Nam se penche au dessus de moi et pose ses mains de chaque côté de mon visage sûrement très rouge. C'est qu'il me rend fou à chaque fois qu'il me fait l'amour lui ! Tout en gardant son regard si charismatique, il fait un divin mouvement de bassin qui a le don de me faire rougir de plus belle. Oh mon dieu mais comment il fait ?! Il a juste onduler son magnifique cul quoi ! Olalaaa j'en veux encore ! Il reprend d'ailleurs son mouvement et s'enfonce juste comme il faut dans mon trou. 

C'est tellement bon... 

Il recommence un fois, deux fois, trois fois,...de plus en plus vite et de moins en moins espacé. Ça y es il prend son rythme éfreiné et s'acharne sur mon pauvre trou. Je gémis tout ce que je peux en me perdant dans le noir de ses beaux yeux. 

J'ai la tête qui tourne. J'en veux plus. J'en veux plus ! 

Mais il sort d'un coup et m'attrape le poignée pour m'obliger à me mettre sur le ventre. 

O M G  LA LEVRETTE ! 

Je me met tout de suite à quatre pattes et lui présente ce qui le fait tant bander. Il se réinsert en moi et reprend ses coups de reins. Il y va si fort que j'ai la peau qui brûle derrière ! C'est trop bon ! J'en peux plus ! Ses mains se crispent sur la peau de mes hanches pendant qu'il répète mon nom sans pouvoir se contrôler. 

Nam ! Encore ! Encore ! 

Au bord de l'orgasme je renverse ma tête en arrière et lui demande un baiser. Ses lèvres avalent les miennes pendant qu'il tire sur ma nuque pour s'enfoncer encore plus loin en moi. J'aime tellement sa bestialité, ça m'excite trop ! J'en peux plus ! 

Il a à peine le temps de poser sa main sur mon sexe en feu, que je me contracte et me déverse plutôt bruyamment sur le matelas. Je lâche ses lèvres pour essayer de trouver de l'air. Oh mon dieu ! Il m'a à peine touché ! En même temps c'est un dieu du sexe, il m'a tellement préparé au début que j'avais peu de chance de tenir longtemps ! 

Ses doigts qui se crispent sur ma peau me font comprendre qu'il ne va pas tarder à jouir lui non plus. Mais je sens déjà ma tête s'embrumer. 

Non, tient le coup Jin ! Encore un peu allez ! 

Mon cœur s'emballe et mes poumons commencent à me brûler. Merde non ! Pas maintenant ! Mes bras cèdent sous mon poids et ma tête vient se poser sur le matelas. Mes yeux me piquent. J'en peux plus ! J'ai chaud, j'ai mal, il faut qu'il arrête ! Mais comment faire ?? Il est derrière moi, et il me maintient trop fort la nuque. Mais si je ne dis rien je vais encore faire une crise ! 

Et puis il m'a dit de ne plus me cacher... 

Je ferme les yeux, pas vraiment sur de ce que je fais, et le pousse en arrière de toute mes forces. Il s'assoie sur ses mollets, et avant qu'il ai le temps de se dire que j'avais juste envie de changer de position, j'attrape son membre et le maintient pour l'extirper de mon trou. 

Ah putain ça me brûle! Mais je réussi enfin à le retirer.

Je me laisse donc tomber à quatre pattes et pose ma main sur mon cœur. 

Bordel j'ai l'impression qu'il va exploser ! Le médecin à l'hôpital avait raison : mon cœur s'affaiblit de plus en plus...je sens la différence depuis quelques mois. 

Nam se redresse presque aussitôt et vient à côté de moi pour me demander plutôt paniqué :
-Jin ça va ??
Je fais non de la tête. Je peux pas lui mentir là, il le voit que j'ai plus mal que d'habitude! Je le vois essayer de rester calme, il a bien compris comment il fallait faire, et maintenant il réagit parfaitement bien à mes crises. Il caresse mon dos et me demande :
-Tu veux que j'appelle les pompiers ?
Pas tout de suite, je veux d'abord faire les premiers gestes pour savoir si il y a besoin d'appeler les secours. Je fait donc non de la tête.
-Ok, tu veux ton inhalateur ?
J'acquiesce en m'asseyant en tailleur. Il pose un baiser sur ma joue et se lève pour aller à mon sac.
-Ok bouge pas j'arrive.
Il ouvre mon sac et m'amène ma petite trousse de médicaments. J'ai été obligé de m'en acheter une, trop de truc à transporter en même temps... Je l'a prend et l'ouvre. 

Putain j'ai les mains qui tremblent ! Je déteste être dans cet état quand Nam est là. Moi aussi j'aimerais avoir l'air classe et mystérieux tout le temps ! Mais regardez moi, j'arrive à peine à retirer le capuchon de ce putain d'inhalateur ! 

Nam s'est approché. Je me stop et regarde ses mains faire.
-Attends laisse moi t'aider.
Elles ouvrent mon inhalateur et le porte à ma bouche. Je le prend entre mes lèvres et j'attends qu'il appuie.
-J'appuie.
J'aspire enfin cet air qui me libère les poumons. 

Aaaaah enfin...putain de santé pourrie. 

Mon amant, décidément très patient, me caresse les cheveux et pose un baiser dans mon cou. Je tourne un peu mon visage et lui fait face. Ma respiration s'est un peu calmé , mais en fait le regard qu'il a sur moi là tout de suite n'arrange pas mon état. Son visage s'approche encore et son nez se colle au mien. Son regard est doux et calme. Il a l'air si sérieux d'un coup. Mes joues rosissent lentement. Ses lèvres se posent doucement sur les miennes, pendant que ses doigts gardent ma nuque près de lui. 

C'est tellement...tendre en fait. 

Mon souffle se calme et lentement mes bras se lèvent et entourent son cou. Ses doigts quittent alors ma nuque et avec un bras il me tire et me colle à son flan. Mes jambes se posent sur ses cuisses pour être sûr d'être le plus possible collé à lui. Quand nous arrêtons finalement de nous embrassé je suis tout confus en fait... Ses joues se creusent et son adorable sourire apparaît. Il se met à rire doucement :
-Hahaa me regarde pas comme ça !
Je souris en coin. Je devais le regarder bizarrement, encore. C'est pas ma faute il est...parfait ! C'est à se demander si je le mérite vraiment. Je lui saute au cou et lui grimpe dessus. Il se redresse et m'embarque dans sa chambre. 

On passe bien une heure juste à s''embrasser tendrement. Ça fait du bien bordel...

Jusqu'à ce que la mort nous sépare.  TOME 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant