Jusqu'à ce que la motr nous sépare - Partie 108

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Il est 17h30, et nous sortons enfin du lycée. 

Nam dis au revoir au autres et nous partons. 

Durant tout le trajet j'observe mon amant dans les moindres détails. 

Ses cheveux colorés brillent au soleil, j'ai envie de mettre mes mains dedans... Sa main serre la mienne et il se met à sautiller à côté de moi. Il a un côté grand enfant... Sa voix profonde résonne dans la petite rue. Il ne s'arrête plus de parler ! Il me raconte ses journées sans moi, en me précisant à chaque fois qu'il aurait aimé que je sois là !
-Si t'avais pu être là...je l'ai déjà dit ça non ?
Je lui montre quatre doigts en soulevant un sourcil.
-Je l'ai dis quatre fois ?? Putain je radote. Et toi tes journées ? Pas trop remplie de beaux infirmiers ou de pompier super sexy ?
Je ris. On sent dans sa voix que c'est en fait une vrai question. Oui il est très jaloux Nam...heureusement qu'il le prend à la rigolade. J'aime pas trop avoir un copain trop jaloux, j'ai besoin de ma petite liberté moi.
-Pourquoi tu répond pas ??
Je glousse et commence à écrire sur mon téléphone. Ok tu veux une réponse ? Tu vas en avoir une ! Il se jette presque sur mon dos et m'attrape par la taille pour lire ce que j'écris : « Bof qu'une ou deux fois par jour, ça va ! ». Il grogne près de mon oreille :
-Attends qu'on rentre toi, je vais te démonter tes fesses...
Il rit et frissonne. Son souffle chaud se rapproche encore de mon oreille et il rajoute tout bas :
-Je me languis d'arriver...
Je me mord les lèvres pendant qu'il pose un baiser pratiquement dans mon cou. 

Olalaaa il a le don pour m'exciter lui. Mais ce qui a de bien c'est que moi aussi ! C'est qu'il est sensible mon homme... 

Nous arrivons devant la porte de son petit appart'. Pendant qu'il ouvre sa porte, je profite d'être encore devant lui, pour coller mon cul à son entre jambe. Il stop son geste dans la serrure, empoigne une de mes hanches et m'oblige à frotter mes fesses à son intimité maintenant dressée. 

Oh mon dieu j'ai tellement envie qu'il me prenne là tout de suite ! 

Sa main glisse sur ma hanche pour rejoindre ma braguette à l'avant. Il déboutonne mon jean et baisse lentement la petite fermeture éclair. Oh mon dieu il va me toucher là ?! Alors qu'on est encore dans son hall d'entrée ?! Ooooh c'est trop excitant ! 

Sans réfléchir je prends sa main et l'engouffre dans mon pantalon. Je le sens poser ses lèvres sur la peau de mon cou pour sourire. Quand sa main empoigne mon membre je lâche un gémissement de plaisir. Ça y est j'ai chaud ! Pendant qu'il monte et descend lentement la peau de mon sexe, il tourne la clef dans la serrure. Olalaa j'en ai trop envie ! 

Il ouvre enfin sa porte et me pousse à l'intérieur. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, je me retrouve pratiquement nu sur son canapé. Je m'aide de mes coudes pour me redressé. Je veux le voir se déshabiller. Il monte aussi sur le canapé et se place entre mes jambes. Je suis si impatient que je m'enfonce un peu plus dans la canapé pour atteindre le bas de son sweat, et le soulever. Une de ses magnifiques fossettes se dessine lentement sur sa joue. Il ADORE me voir dans cet état excitation. 

En même temps aucun mec n'a jamais dû réagir comme ça à son touché. Il a l'air tout fière de procurer tant de manque chez quelqu'un...tu n'as pas dû avoir une vie pleine de tendresse mon amour.... 

Son t-shirt qui se soulève me sort de mes pensées. Je vois enfin son torse musclé se dérouler sous mes yeux. Je ne perd pas une miette de ce corps qui peut me mettre en transe. Dès que son haut à toucher le sol il vient avaler mes lèvres. Pendant qu'il m'embrasse je soupire de plaisir et attrape son beau cul pour le coller à mon intimité qui s'impatiente. 

Plus vite s'il te plaît ! Je veux te sentir en moi ! 

Mes dernières fringues s'envolent dans la pièce. Je sens ses doigts se glisser entre nos lèvres. Il se redresse et me regarde humidifier ses doigts. Comme il voit mon corps le supplier de le prendre bien comme il faut, il me fait patienter en me masturbant. Olalaa sa main sur mon sexe me fait frémir. Mon bassin se soulève tout seul et vient onduler dans le vide. 

J'en peux plus ! Si il continue je vais jouir avant qu'il soit entré en moi ! 

Ses doigts quittent enfin ma bouche et deux d'entre eux s'engouffre en moi. Je renverse ma tête en arrière. Bordel c'est douloureux ! Ses lèvres chaudes posent des baisers dans mon cou. Pendant que ses doigts commencent leurs aller-retours en moi, il me suce la peau et la mord doucement. C'est bon...c'est tellement bon... 

Ses doigts s'écartent et moi je me tend partout. Si il en ajoute un autre je vais pas tenir ! 

Sa langue vient se glisser entre mes lèvres déjà entrouvertes. Il me branle plus vite encore et m'enfonce un dernier doigt. 

Oh non ! Si je joui maintenant j'aurais pas la force de continuer après, et il pourra pas avoir son plaisir ! 

Je tire sur sa main et il retire ses doigts. Il arrête aussi de me masturber, alors je soupire : ouf ! J'ai eu chaud cette fois... Mais il se place correctement entre mes cuisses, baisse son pantalon, prend son sexe d'une main et ma hanche de l'autre. Ça y est ! Il va rentrer ! Putain calme toi Jin ! Si tu joui avant lui, tu vas jamais tenir la distance ! 

Mon amant pousse son sexe gonflé dans mon trou qui s'étire encore douloureusement. Putain il est vraiment gros son engin ! Je ferme les yeux et serre les lèvres. Il faut que je me calme. Respire...calme ce putain de cœur qui fait sa vie là. 

Son visage qui vient se frotter contre le mien me sort de ma petite séance de yoga. Je remarque enfin qu'il n'a toujours pas bougé. Pourquoi ? Il frotte son nez à ma joue et ses lèvres glissent sur la coin de ma bouche. Avant de m'embrasser il chuchote doucement :

-Arrête de stresser mon cœur...
Il a sentit mon stress...heureusement qu'il est attentif. Et télépathe. Et patient! 

J'expire bruyamment pour essayer de me calmer. Il m'embrasse tendrement et va enfouir son visage dans le creux de mon cou. Je frissonne et glousse quand je le sens souffler sur ma peau. Ça chatouille ! Il rit contre ma peau :
-Tu es sensible du cou hein ?
Je hoche la tête. Oh oui très ! Ses lèvres glissent maintenant jusqu'à mon oreille. Il chuchote de sa voix suave :
-Je peux bouger ça y est ?
Je me mord les lèvres et hoche la tête. Toujours en gardant sa bouche près de mon cou, il soulève son bassin et le redescend lentement en moi. Ça fait encore un peu mal. Il va me falloir encore quelques secondes pour m'y faire. Dès qu'il a finit son trajet, il marque une pose et recommence, mais cette fois il lâche un long râle félin. Olalaaa de voir ses larges épaules se contracter durant l'effort ça me rend fou ! 

Il faut qu'il recommence... Encore ! Encore !


Jusqu'à ce que la mort nous sépare.  TOME 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant