Celle que je pensais

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Je finis par me lever, prenant le chemin vers le château. Le repas du soir venait sûrement de commencer. Je devais à tout prix aller chercher quelqu'un. J'entre dans la grande salle, tout le monde mangeait. Je sens des regards en ma direction.

Je me dirige vers la table des rouges et or. Hermione était de dos, Harry lui dit de se tourner en me voyant arriver vers eux. Je lui souris de toutes mes dents

L: J'aurai besoin de toi.

Her: A quel sujet ?

Je lui tends ma main, qu'elle saisit immédiatement. Je l'entraine hors de la salle. On s'arrête contre un mur. Je lui tends le livre qu'elle regarde un moment avant que je prenne la parole.

L: La vrai histoire, de ma vrai famille.

Her: Ta vrai famille ?

Elle avait l'air complètement troublée. C'est vrai, moi aussi, je lui sors ça comme ça, sans contexte. 

L: C'est une longue histoire, mais pour faire clair, je ne suis pas la sœur de Blaise.

Je regarde mes mains, les tripotant, tel que je le fais lorsque je ne suis pas bien.

Elle dépose une de ses mains sur mon épaule, me faisant un sourire réconfortant.

Her: Tu m'expliqueras lorsque tu seras prête, que veux tu que je fasse.

L: Lit le livre, lit l'histoire. Je sais que tu es la mieux placée pour voir des choses au travers des lignes. Je vais faires des recherches par rapport à cette histoire de mon côté.

Her: Promit, ne t'en fait pas.

L: N'en parle à personne pour l'instant s'il te plait.

Elle me fit un simple oui de la tête. Je la prend dans mes bras afin de la remercier, qu'est-ce que je ferais sans son aide. Tout le monde à besoin d'une Hermione dans sa vie, ça c'est sûr.

Des élèves commencèrent à sortir de la grande salle. On finit par se quitter, elle rentrant de nouveau dans celle-ci, et moi partant de mon côté. Je passe devant les cuisines de Poudlard, une odeur alléchante me montant aux narines.

?: C'est bien madame Zabini.

Une petite voix aigus m'interpella. Je me retourne, ne voyant qui avait énoncé mon nom.

?: C'est bien elle.

L: Qui est là !

Je sorts ma baguette, cherchant à mes alentours. Tout d'un coup, un elfe de maison sortie de la pénombre. Elle était petite, des gros yeux marron, un nez en forme de tomate. Ses vêtement était brûlés, et complètement taché.

A la vue de la jeune elfe de maison, j'abaisse ma baguette immédiatement.

L: Il ne faut pas me faire peur comme ça.

?: Ce n'était pas mon bute miss.

L: Qui es-tu, j'ai l'impression de te connaître.

Je la regardait de part et d'autre. Je suis sûr de déjà l'avoir vue. Elle ne met pas inconnue, et la dernière fois que j'ai eu cette impression, ça na pas fait bon ménage. Mes yeux se froncèrent, cherchant un détail me permettant de me souvenir. 

Elle s'inclina devant moi avant de poursuivre.

W: Winky, l'elfe de maison.

Lorsque le nom de l'elfe arriva à mes oreilles, une rage insurmontable s'empara de moi, je remit ma baguette en sa direction tout de suite. Je ne bougeais pas. Les images atroces encore présentent dans ma mémoire défilèrent.