Début de la guerre

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Tout le monde était dans le dénis total, ne sachant quoi dire et quoi faire. Beaucoup s'approchèrent, je recule petit à petit, Harry se tournant vers moi. Les élèves s'écartèrent pour laisser place à McGonagall.

Un blanc monstrueux, pesant dans cette salle.

Pansy: Qu'est-ce que vous attendez ! Que quelqu'un l'attrape, et trouvons la fille !

Je me retourne d'un bond, sortant mes griffes et les plaçant sous le mentons de Pansy qui se trouvait derrière moi.

L: LA FERME PARKINSON !

Elle recula dans les bras de Blaise, nos regards se croisèrent, il est là, devant moi. Un sourire au coin de mes lèvres. Un chaud dans mon cœur se fit, un soulagement.

Plein d'élèves se placèrent devant Harry, empêchant quiconque de le toucher.

L: Personne ne l'emmènera, si vous n'êtes pas avec nous, alors vous êtes contre nous. Parkinson, Zabini, Nott et tout les autres serpents, faites votre choix, mais aucun retour en arrière sera possible.

Ha : Héla, laisse, je peux me défendre.

Je continue de fixer mes anciens amis, je sais qu'ils sont dans son camp, mais j'espère au fond de moi que ce n'est pas de leur volonté, qu'il reste en eux, une lueur d'espoir.

L: Certes Harry, mais les amis sont là pour ça, se défendre coûte que coûte, peut importe les risques, alors si quelqu'un d'autre à quelque chose à dire, qu'ils viennent me le dire en face maintenant !

A cette phrase, je vis Blaise écarquiller les yeux, ouvrant et refermant la bouche à plusieurs reprise, mais ne laissant aucun son en sortir.

McGonagall s'avança vers moi, déposant sa main sur la mienne afin de me la faire baisser.

Rusard arriva en courant, du moins en sautillant telle une biche dans la prairie.

R: ELEVES HORS DES DORTOIRS ! ELEVE ERRANT DANS LES COULOIRS !

L: Toujours aussi utile lui, des pustules sur le visage lui referaient du bien !

George et Fred me regardèrent d'un coup en souriant, ils doivent être au courant. Je me dirige vers eux, et George me prit directement dans ses bras, suivit de Fred et leurs parents. Lupin vint à son tour, mais il n'a pas l'air très heureux de me revoir, il a un air inquiet.

Mc : Ils faut qu'ils soient hors de leurs dortoirs sombre crétin !

L: Aie, ça, ça fait mal !

R: Oh... Euh... Désolé madame...

Elle s'avança vers nous.

Mc : Vous arrivé au bon moment, emmené donc, si cela n'est pas trop vous demander, miss Parkinson et le reste de la maison serpentard hors de cette salle, immédiatement !

R: Ou je dois les amener exactement ?

L: J'ai une idée, mais elle ne va pas leur plaire !

Je regarde McGonagall avec un grand sourire au lèvre, sourire qu'elle me rendit légèrement.

Mc : Le cachot sera parfait !

Tout le monde applaudit, criant de joie de cette décision, au moins, ils ne seront pas dans nos pattes et à l'abri.

L: Attendez, conduisez aussi les premières au cinquièmes années, en dessous, ils ne se battront pas, c'est trop dangereux, ils seront un minimum en sécurité là bas.

Mc : Faite donc ce qu'a dit miss...

L: Miss Zab... Euh Héla, juste Héla...

J'ai faillit faire une gourde là.

Celle que je pensaisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant