Partie 76

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PDV ADAMA

Le lendemain, Jaïna m'avais l'air plutôt perplexe.

Moi: tu t'es lever du pied gauche ou quoi?

Elle: on peut dire sa comme sa, tu travail pas?

Moi: je veut être à tes côtés pour l'instant, on sais jamais.

Elle: t'es le directeur du concessionnaire Adama tu peut pas t'absenter comme sa pour moi, tu aurais pu rencontrer de gros client, et de gros contact va y je me porte bien.

Moi: t'es sur?

Elle: oui, je dois faire le ménage la serpillière et avec toi dans mes pâtes c compliquer.

Moi: dans tes pâtes c'est comme sa que tu me considère sale petasse?

Elle:*rire* mais nannnnn je rigole.

Moi: y a toujours une part de mensonge dans la vérité.

Elle: j'avoue.

Moi: tu t'enfonce.

J'ai rie avant d'aller à la douche.

C'est vrai que je suis pas trop présent au saint de mon entreprise, et c'est absolument ce que mon père ne voudrait pas que je fasse.

Je me suis préparer j'ai mis mon dernier costard puis je suis aller à ma voiture en direction du taff.

Myriam: Mais sa fait longtemps, monsieur le nouveau patron.

Moi: j'avoue, il fallait que je m'occupe de madame tu comprend.

Elle: oui, c'est le plus important.

Je suis aller à mon bureau, après avoir saluer tout le personnel, ce qui fu bien long en tous cas.

Myriam: bon si je doit t'expliquer en bref, les ventes stagnent on a pas fait plus ou moins de vente depuis la mort de ton père allah y rahmo.

Moi: bah on va faire changer sa, prend moi des rendez vous avec nos meilleurs client, on va faire un peu de travaux, je veut que le sol soit en marbre et on va gagner un peu d'espace là où sont garer les merco devant, bref je veut du changement aller bouge.

Elle: j'adore quand tes ambitieux comme sa! D'ailleurs tu vient demain?

Moi: j'ai rater quelque mois pas 10ans

Elle: l'a dernière fois que je t'aie vue c'était y a 3mois.

Moi: je sais.

Elle m'a regarder un sourire en coins, que je lui est rendue avant de me concentrer à mon travail.

J'avais rater de nombreuses choses, des rencontres avec des gens influant, je suis dégoûter.

J'ai passer quelque appels, je suis rester presque 8h à mon bureau, et quand j'ai eu finit ce que j'avais à faire, j'ai pris mes affaires et je suis partie.

Et comme à son habitude, Myriam était encore à son bureau.

Moi: il est presque 22h, tu veut pas rentrer chez toi?

Elle: j'ai l'habitude de travailler jusqu'à tards le soir depuis que tu n'es pas là, c'est moi qui gère tout, j'en suis épuiser.

Moi: aller vient lève toi, c'est moi qui devrais être à ta place.

Elle a ranger ses affaires avant de me rejoindre.

On s'est diriger vers l'ascenseur.

Elle: depuis le décès de ton père, ma mère va mal.

[2](Finis)Affoler, il n'y a qu'elle qui pourra me canaliser Où les histoires vivent. Découvrez maintenant