Tomber pour mieux se relever

Chapitre 65

Samedi 13 Mars, 8h.

Je me réveille lentement en entendant l'alarme incessante de mon réveil que j'avais programmé hier après-midi pour ne pas l'oublier le soir même, anticipant la soirée de folie qu'on allait vivre. Je l'éteint immédiatement pour me laisser l'opportunité de réveiller ma douce avec des baisers.

Je me tourne vers elle, son visage est si angélique quand elle dort. Je passe la mèche qui traine sur son visage derrière son oreille et la couvre de doux baisers, elle émerge alors de son sommeil. Elle ouvre les yeux et vient planter son regard vert hypnotisant dans le mien.

-Bonjour mon amour. Me dit-elle de sa voix encore endormie.

-Bonjour mon coeur. Lui répondis-je en l'embrassant.

Sa main vient à la rencontre de ma peau, me caressant lentement et délicieusement ma taille.

-C'était magique hier. Me murmure-t-elle, encore endormie.

-Je ne te le fais pas dire, on devrait sortir plus souvent cela dit.

-En effet, cela m'a fait un bien fou. Dit-elle en esquissant un sourire au coin.

Ses lèvres reviennent se poser sur les miennes, son baiser et doux mais intense, assez pour me faire de l'effet.

-À quelle heure devons nous partir ? Me demande-t-elle.

-D'ici 9h30, on a 1h30...

Un sourire s'affiche sur son visage.

-J'ai une de ces douleurs à la mâchoire, mais ça valait le coup. Commence-t-elle en descendant sa main sur ma fesse nue avant de la presser.

-Tu en reveux ? Lui demandais-je alors.

-Oh oui, te sentir en moi me manque déjà.

-Oh tu sais quoi dire aux filles toi. Déclarais-je en la défiant du regard.

J'approche mes lèvres de son cou déjà marqué d'hier soir et l'embrasse, lui lèche la peau et la suce. Une de mes mains vient titillé son téton, le pinçant du bout des doigts, elle se cambre face à cette approche. Ses soupirs deviennent des gémissements, ses mains viennent se poser sur corps, se baladant tout en évitant mon ventre pour je ne sais qu'elle raison mais je l'ai bien remarqué.

Son regard m'implore de la baiser, elle a envie de moi, comme si elle n'était pas rassasiée d'hier. Je me met à califourchon sur elle et la regarde avec désir. Je la torture un peu plus longtemps, je lui mord la lèvre inférieure la faisant pousser un gémissement.

-Klark...

Ma main descend lentement vers son entrée, elle attend, se mordant la lèvre d'impatience. Je caresse son sexe mais ne met aucune pression histoire de la faire saliver. Elle s'agite alors en portant directement son sexe à ma main.