Partie 52

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Andrea se jeta dans les bras de son époux, tant il l'avait manquée. Une semaine sans respirer son doux parfum.

-- Souhaites-tu que nous dormions ensemble ce soir, interrogea le jeune homme.

-- Oui, mais je t'en prie, ne tente rien. Je ne me sens pas en mesure d'entreprendre quoi que ce soit.

-- Je ne tenterai rien. Viens, allons nous brosser les dents.

Il lui prit la main et Andrea le suivit. Dylan prit une brosse neuve dans la boîte posée à côté de la baignoire et ils se brossèrent les dents.

Le jeune couple s'installa sur le lit après que Dylan eut couché le petit endormi.

-- Veux-tu poser ta tête sur ma poitrine ? demanda-t-il.

-- Non, je préfère que tu m'entoures de tes bras.

-- À vos ordres, capitaine.

Il esquissa un léger sourire. Andrea lui rendit son sourire.

-- Andrea.

-- Oui, monsieur Marcabeli ?

-- Passe une bonne nuit !

-- Vous aussi, murmura-t-elle dans un éclat de rire. Je vous souhaite une bonne nuit.

                    [ Minuit]

-- Aaaahh !

Dylan sursauta. Becci, murmura-t-il. Il dégagea immédiatement le drap de son corps et courut jusqu'à la chambre de sa cousine.

 -- Becci, tout va bien ? Lui demanda-t-il en tapant sur la porte.

-- Mon amour, il y a un cafard qui vient de passer là. J'ai peur !

-- Ouvre-moi la porte s'il te plaît.

-- Elle n'est pas fermée.

Dylan poussa légèrement sur le poignet et entra pour apercevoir Rebecca arrêtée sur son lit, le doigt figé en direction du mur d'en face.

-- Il est là, dit-elle en le voyant.

-- Attends-moi deux secondes.

Dylan s'en alla dans sa chambre prendre un insecticide qu'il pulvérisa sur l'insecte qui tomba immédiatement.

-- Il est mort ? Demanda Rebecca qui n'avait pas bougé d'un cran.

-- Oui, il est mort.

Dylan souleva l'insecte et le jeta dans la poubelle de la cuisine, avant de revenir dans la chambre de Rebecca. Il lava ses mains.

-- Voilà, tout est réglé. Lui dit-il.

-- Merci beaucoup. Bonne nuit, mon amour.

-- Dors bien !

Il sortit de la pièce puis rejoignit celle de sa femme. Dylan fut surpris de retrouver Andrea assise, manipulant son téléphone.

-- Tu ne dors pas ? lui demanda-t-il en s'installant sur le lit.

-- Non, je t'attendais.

-- Voilà, je suis maintenant là.

Elle éteignit son téléphone et le déposa au chevet du lit.

-- Bonne nuit, dit-elle en tirant sur le drap.

La tête faisant face à son époux, Andrea ferma les yeux. Elle sentit des mains se promener tout au long de son visage. La jeune femme ouvrit immédiatement les yeux. Son regard tomba sur celui de Dylan.

Déchirante Promesse Où les histoires vivent. Découvrez maintenant