Aux pages de verdure un applaudissement
Qu'un souffle caressant et sans lèvres susurre,
Évanescent, le dieu, en sa ronde embrasure,
Naufrage après Neptune en feu scintillements.
Là, Blessure, hélas ! vient transcendantalement.
Enfuis embrassements ! Maternelle enlassure !
Caverne de mon père au tabac qui rassure
Que la guerre a sombré comme un éboulement !...
Et je reste, en ces nuits, un frère, mais si pâle,
Sous un œil abîmé que la noirceur exhale ;
Ô Fuites et Silence ! Incomplètes Saisons !...
... Peuh ! Quelle longue histoire ! Et que c'est mièvre et bête !
C'est par de tels clichés qu'on devient vos poètes,
Et pour vous être aimés, nourrir vos pâmoisons !
Écrit le 28 juillet 2021. Publié le 06 mars 2022.
VOUS LISEZ
À part
PoetryAvez-vous remarqué ? un recueil de poésie n'a (presque) jamais de quatrième de couverture ! Et comment ferais-je, alors, pour résumer mieux que les autres toutes les visions, toutes les sensations et toutes les idées qui me viendront au gré des jour...
