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La scène qui suit est assez violente, âme sensible s'abstenir

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Je sors de la maison en courant. Mes hommes ont attrapés Ivan. Enfin. Je rentre dans la forêt, et me rend dans la petite cabane que j'ai réservé pour mes ennemis. J'ouvre la porte en furie, et le vois, attaché, ses bras suspendus en l'air.

- Quelle belle surprise, dis-je en souriant, Ivan Romanov.

- Lâche-moi, Caleb ! Dit-il avec rage. Tu joues avec le feu !

Je me mets à rire en pliant les manches de ma chemise. Je lui tourne alors le dos et regarde les instruments que j'ai. Il va bien souffrir comme je lui ai promis. Je prends en premier le marteau.

Je m'assois devant Ivan, puis fais un signe de tête à mes hommes. Ils prennent une petite table et posent la main d'Ivan dessus.

- On va commencer doucement. Lui dis-je.

Je serre fortement le marteau, et frappe ses doigts un par un. Le choc est tellement violent que j'entends le bruit de ses os se craquer, malgré ses cris.

- Tu pensais pouvoir me piéger en enlevant Rayaa et Syra ? Dis-je, calmement.

Et je continue avec son autre main, laissant l'autre complètement brisé.

- Idiot. Je ne vois que par Syra, désormais. Et je ferais regretter à quiconque s'en prendra à elle. Lui dis-je.

Je recule ma chaise, comme si je venais de finir une opération sur ses mains. Elles sont toutes rouges, et les os brisés sont visible de loin. Je souris en voyant mon œuvre.

- J'aurais dû... la mettre dans mon lit devant toi... et la tuer ensuite. Dit-il difficilement.

- Tu penses que je t'aurais laissé faire ?

C'est au tour de ses orteils de pieds. Je n'épargnerais aucune partie de son corps. Les cris se font plus forts.

- Venge-toi de son violeur plutôt ! S'écrie-t-il. Il lui a fait plus de mal que moi !

- Oh, ne t'inquiète pas. Son tour arrive. Je n'épargnerais personne. Dis-je en souriant. Ni toi, ni Ilyes, ni son frère.

J'en ai finis avec le marteau. Je le range et le regarde à nouveau. Je fais un signe de tête à mes hommes et ils se saisissent d'un seau d'eau bouillante. Je vois la fumée sortir du seau. Un de mes hommes enlève la chemise d'Ivan puis à mon signal, ils versent l'eau bouillante.

Il crie. Et sa peau devient immédiatement rouge. Je fais signe à mes hommes de répéter l'action, pendant que je le regarde. Au bout de plusieurs minutes, je leur demande d'arrêter.

- Aïe. Ta peau a l'air si fragile... et si je faisais ça ? Dis-je en touchant son torse.

Il hurle de douleur. C'est si plaisant de le voir ainsi.

- Attachez ses pieds. Ordonnais-je à mes hommes.

Ils attachent donc ses pieds à des chaînes au sol, pour qu'il ne puisse plus bouger.

- Tu voulais profiter de Syra, c'est ça, hein ?

Il relève la tête, n'en pouvant déjà plus. Je reprends le marteau, et d'un coup sec, je lui donne un fort coup de marteau sur sa partie intime. Il tente de serrer les jambes du mieux qu'il peut, criant de douleur. Je lui redonne un coup, puis un troisième et enfin un quatrième.

- Une fois pour mon propre plaisir, une deuxième fois pour t'empêcher de te reproduire, une troisième ou une quatrième fois si j'ai aimé. Lui soufflais-je en faisant un sourire sadique. Ça te rappelle quelque chose ?

- A... arrête... ça... suffit...

Il pleurait tant la douleur était grande.

- Tu aurais pu continuer ta vie avec le riche héritage de ton père, mais tu as préféré te mettre contre moi. Dis-je en le regardant. Tu as préféré t'en prendre à ma femme.

Je prends ensuite un couteau.

- Tu sais, je pouvais faire comme toi et enlever ta mère et ta sœur, puis te forcer à en tuer une. Lui dis-je. Mais je ne suis pas aussi cruel.

Je lui ouvre ensuite sa bouche de force.

- Je n'ai jamais aimé ta voix, tu sais ? Lui dis-je en tenant sa langue.

Je pose le couteau dessus, et il se débat. Il pleurait. Mais ses larmes ne me font rien. Rien du tout. Si Rayaa n'était pas en vie, il allait... il allait abuser de Syra. Et l'image ne quitte pas ma tête. Ça me rend fou.

Alors sans réfléchir, je la lui tranche en un coup. Le sang gicle de partout, alors qu'il bougeait, pleurait et criait en même temps.

- Je pense que c'est suffisant. De toute façon, ce qui t'attend n'est pas le paradis. Lui dis-je. Tu devrais me remercier, je vais abréger tes souffrances.

Je prends mon arme, et lui tire une balle entre les deux yeux. Mort. Il est mort. Punaise. Ça m'étonne toujours autant la vitesse à laquelle l'âme quitte le corps d'une personne.

- Nettoyez ici, je retourne chez moi. Dis-je à mes hommes.

Je sors puis traverse une seconde fois la forêt. En quelques minutes, je suis à la maison. Je monte rapidement dans ma chambre avant que Syra ne me voit. Je refuse de la toucher dans cet état.

Je me déshabille puis rentre dans la douche. Ivan a eu ce qu'il mérite, je n'éprouve aucun regret, bien que ce que je lui ai fais subir est inhumain. Les prochains sont Ilyes et son frère, je leur réserve bien pire. Beaucoup plus pire.

Une fois la douche finit, je m'habille d'un jogging puis sors de la salle de bain. Je suis surpris de voir Syra assise sur mon lit, la tête baissée.

- Syra ?

En entendant ma voix, elle se lève puis s'approche de moi. Elle se met face à moi, et me regarde dans les yeux. Je ne comprends pas ce qui lui arrive d'un coup.

Elle se met sur la pointe des pieds, puis pose délicatement ses lèvres sur les miennes. Elle entoure mon cou de ses bras et me serre contre elle. Il ne m'a pas fallu longtemps pour coller mon corps contre le sien, et répondre à son baiser.

- Je t'aime, Caleb. Dit-elle contre mes lèvres. Je suis amoureuse de toi.

Sa confession me fait sourire. Enfin. Je l'entends enfin le dire. Je l'embrasse avec d'autant plus de passion et d'amour. Nos sentiments sont réciproques. Et ce simple fait me rend si heureux.

- Ne me laisse jamais, Caleb. Me supplie-t-elle. J'ai besoin de toi. Ne t'éloigne jamais.

- Jamais, mon amour. Lui soufflais-je. Ma rose à moi.

La Rose d'un CriminelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant